FTH: première rencontre du nouveau bureau avec la ministre du Tourisme

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La situation du secteur touristique, la restructuration de l’administration du tourisme, l’accès aux sources de financement et d’investissement ainsi que la qualité des prestations hôtelières ont fait l’objet d’une séance de travail tenue ce matin sous la présidence de Selma Elloumi-Rekik, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, avec les nouveaux membres du conseil exécutif de la fédération tunisienne de l’hôtellerie FTH, présidé par Khaled Fakhfakh et les responsables de l’administration centrale.

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Les deux parties ont exprimé une volonté commune de travailler ensemble et de maintenir une concertation permanente en vue de faire émerger un véritable partenariat capable de relever les défis et de mieux servir les intérêts d’un secteur d’une grande importance pour l’économie du pays, démarche indispensable pour la réussite, a souligné la ministre.

Les hôteliers ont saisi l’occasion pour exprimer plusieurs doléances se rapportant notamment à la solution de l’endettement du secteur hôtelier, à l’accès aux avantages fiscaux actuellement en examen au sein de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), aux modalités d’application de l’immobilier touristique et à la mise à niveau du parc hôtelier.

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Il a été convenu au terme de ce débat de constituer une commission conjointe chargée d’étudier toutes ces questions avec le ministère des Finances et les autres départements concernés. Il a été également décidé de mettre en place des mécanismes appropriés permettant de maintenir la concertation d’une manière périodique.

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 Source: ministère du Tourisme et de l’Artisanat



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Un nouveau musée des Arts à Monastir

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Un musée des arts plastiques, sur une superficie d’environ 1000 m², situé près de la corniche touristique la falaise va être créé prochainement selon le président de la délégation spéciale de Monastir, Nabil Hmida, cité par l’agence TAP.

Le musée a pour objectif de promouvoir le produit culturel et touristique de la ville de Monastir. Le coût de ce projet, qui s’inscrit dans le cadre de la coopération entre les villes de Monastir et de Münster (Allemagne), est estimé à un million de dinars et sera réalisé en collaboration avec l’Association des beaux arts de Monastir.



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Devises en baisse, recettes touristiques en légère hausse

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Les avoirs nets en devises à la Banque centrale de Tunisie (BCT) ont régressé, au 26 janvier 2017, à 12.261,2 MD contre 13.295,1 MD à la même date de l’année écoulée, soit 106 jours d’importation (contre 121 jours d’importation en janvier 2016).

Selon des données statistiques publiées hier par l’institut d’émission, les recettes touristiques cumulées, à la date du 20 janvier 2017, sont de l’ordre de 75,4 MD, contre 72,5 MD en 2016, ce qui correspond à une légère hausse de 2,9 MD.



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La CTN prépare une nouvelle ligne passagers

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A compter du mois de juillet 2017, la Compagnie tunisienne de navigation (CTN) ouvrira une nouvelle ligne maritime entre Marseille et Zarzis. Principale cible visée, les Tunisiens résidents à l’étranger originaire de la moitié sud du pays.

Faire accoster ses car-ferries à Zarzis permettra à la CTN d’offrir un avantage compétitif par rapport aux autres opérateurs au départ de la France et de l’Italie puisqu’elle permettra aux concernés d’éviter le trajet de la Goulette jusqu’au sud tunisien souvent éreintant durant la saison estivale.

Les réservations seront ouvertes d’ici la fin mars. La CTN n’exclut pas d’avancer la date d’ouverture de la ligne en cas de demande suffisante avant l’été.

Rappelons au passage que le ministre du Transport, Anis Ghedira, avait donné, le 9 décembre 2016, le coup d’envoi des travaux de curage du port commercial de Zarzis, qui devront se poursuivre jusqu’au mois de février 2017, moyennant une enveloppe de 23 millions de dinars.



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Les réceptifs le confirment: « sans levée des restrictions britanniques, les touristes européens ne reviendront pas »

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Les agences de voyages spécialisées dans l’incoming se portent mal. La conjoncture touristique de l’année 2016 ne leur a pas permis de renouer avec la croissance. La baisse des arrivées européennes de 50% sur les deux dernières années a, au contraire, aggravé leur situation financière.

Si aucune région n’est actuellement épargnée par la régression de l’activité touristique, ce sont surtout les agences de la région de Tozeur et de Douz qui suscitent des inquiétudes au vu de l’état de précarité qu’elles ont atteint. Leur cri d’alarme a été récemment relayé par la Fédération régionale des agences de voyages de Sousse lors d’une réunion organisée avec plusieurs agences réceptives de la région (Sousse, Monastir, Mahdia et Kairouan) pour évaluer la situation du secteur.

« Tant que les Anglais ne reviendront pas… »

Très proches de leurs partenaires tour-opérateurs, les agences réceptives sont particulièrement au fait de la tendance qui prévaut au départ des marchés émetteurs. De l’avis de nombre d’entre-elles, les restrictions de voyages vers la Tunisie décrétées par les autorités britanniques constituent le principal écueil à la reprise de toute activité touristique normalisée. Car le baromètre de la Sûreté tel que défini par le Foreign Office dans le domaine du voyage sert de référence à de nombreux autres pays. « Tant que les Anglais ne pourront pas revenir en Tunisie, le tourisme européen ne reprendra pas » s’est exclamé l’un des agents de voyages participant à la réunion de la FRAV.

En d’autres termes, la résolution de la problématique du marché anglais doit à tout prix constituer une priorité pour le tourisme tunisien. Les tour-opérateurs n’attendent que la levée des restrictions pour relancer la destination, reconnaissent les agences. Sachant que les arrivées européennes sur la Tunisie sont majoritairement liées au contracting des T.O, on mesure la nécessité fondamentale pour les autorités tunisiennes de trouver les moyens de dénouer ce noeud gordien.

Les Russes à la baisse

Selon les prévisions des agences de voyages réceptives, si l’année 2016 a enregistré l’entrée en Tunisie de plus de 623.000 touristes russes, en 2017 -et dans le meilleur des cas- à peine 50% de ces réalisations seront reconduites. Deux facteurs seront derrière la baisse inéluctable attendue. D’abord, le fait que les 3 premiers T.O russes sur la Tunisie (en termes de volume) soient d’origine turque fait que leur clientèle sera redirigée « naturellement » vers la Turquie [étant donné que les restrictions de voyages ont été levées entre les deux pays]. Autre paramètre et non des moindres, les autorités de l’aviation civile russe viennent d’autoriser la reprise des vols réguliers vers l’Egypte, ce qui constitue de toute évidence un premier pas vers la levée des interdictions qui frappaient jusqu’à présent les charters.

Et pour couronner le tout, le taux de 30% de mécontentement des touristes russes venus en Tunisie en 2016 doit donner lieu à un sérieux mea culpa. « La grosse erreur que l’on commet, c’est de penser que les Russes ne sont pas regardants sur la qualité du service » prévient un réceptif de T.O russe qui rappelle au passage également « les problèmes liés à l’escorte des bus de touristes » l’été dernier et qui auraient fait plus de mal que de bien à l’image du tourisme. « Nous ne sommes pas habitués aux spécificités des touristes russes » renchérit son collègue qui plaide en faveur d’efforts sur les plans culinaires, de la signalétique, de la communication et de la formation en langue russe ».

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Le scénario en Tunisie tel que le dessine les réceptifs est le suivant: le contracting pour 2017 va se focaliser sur les hôtels qui ont donné de bons retours mais pas sur les autres. D’ailleurs et pour le cas de Djerba, les « bons hôtels » ont déjà signé pour les allotements de la prochaine saison avec les T.O russes. Reste par ailleurs le cas de ce T.O qui aurait laissé une ardoise auprès de ses hôtels partenaires en Tunisie parce qu’il n’aurait pas touché la subvention promise par l’ONTT d’un montant de 1,5 MD. Version cependant à prendre avec des pincettes mais qui est de nature à relancer le débat sur la relations entre T.O et hôtels.

En tout état de cause et malgré ces facteurs conjoncturels, les agences réceptives estiment qu’il ne faut pas baisser les bras et qu’il y a lieu de tout mettre en oeuvre pour se focaliser sur ce marché « dont le potentiel demeure extraordinaire ».

Ce que 2017 réserve

Mis à part le marché russe et les marchés frappés par les restrictions de voyages, les agences incoming reconnaissent un « frémissement » dans les réservations à partir de la France et de l’Allemagne. Cependant, cette légère reprise est loin de couvrir le déficit cumulé ces dernières années. « Nous devons réaliser des actions préventives pour montrer que nous savons gérer les crises » recommande un agent de voyages représentant l’un des plus gros T.O européens. « Les normes de sécurité doivent être réétudiées. Nous devons faire en sorte de disposer désormais de certifications en tout genre, de procéder à des formations du personnel ». Car le défi sécuritaire apparaît aujourd’hui comme le frein principal à une reprise effective de l’activité touristique sur la Tunisie. « Des actions sévères de contrôle doivent être engagées par les autorités » ont plaidé unanimement les participants à la réunion de la FRAV. « Et que ceux qui ne s’alignent pas soient sévèrement sanctionnés » !

© Destination Tunisie

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Laico Tunis: le management reçu à l’ONTT mais une grande inconnue demeure

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La date d’ouverture de l’hôtel Laico Tunis (ex-Abou Nawas) a été l’un des principaux points de la rencontre qui a eu lieu hier au siège de l’ONTT. Le directeur général de la société Laico de gestion des hôtels et complexes, Dr Jassem Khalifa Al Idrissi, et la délégation qui l’accompagnait, ont été reçus par le directeur général de l’Office national du tourisme tunisien, Abdellatif Hamam.

Au cours de cette rencontre, les représentants de la société Laico ont passé en revue l’état d’avancement des travaux de l’hôtel qui a bénéficié, après son acquisition, d’importants investissements destinés à sa rénovation. L’annonce faite au cours de la rencontre, c’est que l’ouverture a été fixée pour le mois de juin 2017.

« La même réunion a permis de présenter le nouveau partenaire stratégique de la société Laico qui assurera la gestion de l’hôtel grâce à son expérience faisant de lui un des plus grands partenaires stratégiques dans le domaine de l’hôtellerie et du tourisme en Europe et dans le monde » a souligné Laico dans un communiqué rendu public aujourd’hui.

Cependant, ce qui n’a pas été dit, c’est la nature de l’enseigne hôtelière qu’arborera l’établissement. « Le directeur général de l’ONTT a réitéré la nécessité de faire le bon choix quant à la société qui sera chargée de gérer l’hôtel, tout en précisant que les autorisations accordées par l’Etat tunisien restent tributaires du choix d’une société de grande renommée internationale en la matière » a-t-il été précisé dans le communiqué. Sous entendu que l’administration du Tourisme presse les Libyens de Laico de confier l’hôtel à un partenaire de dimension internationale qui soit à la hauteur de l’établissement, de sa réputation en matière de tourisme d’affaires et de congrès (de l’époque où il était chez Abou Nawas) et de son emplacement face au palais des congrès de la capitale.

Car dans les coulisses, on estime que les autorités tunisiennes n’ont pas été satisfaites du brand proposé dans un premier temps, à savoir la chaîne Legacy. Les discussions seraient donc encore en cours côté société propriétaire pour aboutir à un consensus.

Côté médias, on continue de s’interroger sur les motifs du « report à une date ultérieure » de la conférence de presse qui aurait dû avoir lieu hier pour jeter toute la lumière sur la situation qui prévaut au sein du management de Laico. Le conflit entre les deux parties libyennes y serait très probablement pour quelque chose (lire notre article à ce sujet).

Le Laico Tunis nouvelle mouture aura une capacité d’accueil de plus de 300 chambres dont 30 pavillons et un pavillon présidentiel somptueux nous dit-on. Sans compter les restaurants, les deux piscines, les quatre salons de thé, le centre de relaxation, les saunas et la salle de conférences d’une surface de 1200 mètres carrés.

D.T



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Quand le conflit inter-libyen déborde sur l’ex-hôtel Abou Nawas Tunis

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L’ouverture de l’ex-Abou Nawas Tunis est devenu un enjeu politique entre les deux parties en conflit en Libye, l’établissement appartenant à la Laico.

La société libyenne Laico Hotels & Resorts Management Company et la société Libyan African Investment Company organisent demain une conférence de presse en présence du président et du directeur général de Laico Hotels & Resorts Management Company ainsi que des membres du Conseil d’administration de la société propriétaire, Libyan African Investment Company (Laico), pour annoncer les détails de l’ouverture de l’hôtel connu sous le nom d’Abou Nawas Tunis avant son rachat par le groupe libyen éponyme.

Fermé pour des travaux de rénovation qui se sont éternisés, l’établissement avait laissé entendre sa réouverture imminente sous une enseigne sud-africaine, en l’occurrence Legacy. Un haut responsable de cette chaîne est d’ailleurs en Tunisie depuis un moment dans le but de reconstituer les équipes à tous les niveaux (finance, marketing et commercial, cuisine, restauration, ressources humaines…) et a organisé à cet effet des journées portes ouvertes les 19 et 23 janvier courants pour le recrutement du nouveau personnel.

Rivalités partisanes

Cependant, les dirigeants du groupe Laico en place depuis 2012 ont été démis récemment de leurs fonctions et remplacés par de nouveaux responsables. Sauf que les dirigeants déchus ne l’entendent pas de cette oreille et seraient entrés en résistance considérant leurs remplaçants comme des rivaux illégaux. En effet, les deux parties en conflit appartiennent chacune à l’une des deux autorités actuellement en place en Libye et qui se disputent la légitimité du pouvoir: l’ancien management serait proche du gouvernement dit de Tripoli (Fajr Libya) tandis que les nouveaux responsables qui ont été récemment nommés à la tête de Laico Hotels & Resorts Management Company et de la société Libyan African Investment Company sont plutôt apparentés à celui de Tobrouk (basé aussi à Malte) et reconnu par l’Occident.

Le siège de Laico se situe aux Berges du Lac à Tunis lequel coiffe non seulement Laico Tunisie (avec ses 3 hôtels de Tunis, Yasmine Hammamet et Djerba) mais également la vingtaine d’autres établissements que la chaîne gère en Afrique sous les enseignes Laico et Ledger, outre ceux confiés à d’autres groupes hôteliers étrangers.

Actuellement, la tension serait à son paroxysme et la réouverture de l’ex-Abou Nawas Tunis un enjeu politique entre les deux parties qui se sont affrontées ces derniers mois par tribunaux libyens interposés, lesquels tribunaux auraient finalement « légitimé » les responsables nommés par Tobrouk. Théoriquement, la passation de l’hôtel de Tunis devrait intervenir demain 24 janvier. Une journée qui s’annonce très chaude pour les deux belligérants.

© Destination Tunisie

Lire aussi sur le même sujet :

Qui se soucie du devenir des hôtels libyens en Tunisie ?



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La marque « Sensimar » de TUI à Hammamet

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La marque commerciale « Sensimar » du tour-opérateur TUI débarque sur un nouvel hôtel. Après Djerba (sur le Palm Beach Palace), c’est à Jinène Hammamet que le concept Sensimar va s’installer sur l’hôtel Oceana qui portera désormais le nom de  Sensimar Side Resort & Spa Oceana Palace. Il s’agit d’un concept 100% adultes axé sur le bien-être, un peu de sport, peu d’animation, le tout sous le signe de « l’intimité ».

Sensimar est un label du voyagiste au même titre que Marmara, RIU, Splashworld, Suneo, Robinson, Family Life, Magic Life et Sensatori.



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Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie: Fakhfakh s’installe avec sa nouvelle équipe

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Les membres récemment élus à la Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie (FTH) ont tenu aujourd’hui leur première réunion afin d’élire leur nouveau bureau exécutif  (lire notre article). Et déjà, la couleur est annoncée avec un premier plan d’action.

Le nouveau Conseil National annonce en effet ses priorités : Œuvrer à positionner le secteur parmi les secteurs stratégiques prioritaires du pays; Valoriser la destination aussi bien sur le marché intérieur qu’à l’international; Fédérer et renforcer la représentativité des hôteliers au sein de la FTH; Mettre à niveau le produit hôtelier en trouvant les mécanismes adéquats pour solutionner la difficulté de financement des unités hôtelières; Moderniser la gouvernance de la FTH et appuyer sa décentralisation en réformant les statuts; Consolider les relations avec les principaux acteurs du secteur touristique (institutions et administrations) en étant une force de proposition et s’engager pour l’amélioration de la qualité des prestations hôtelières afin d’assurer leur conformité avec les standards internationaux.

Khaled Fakhfakh, le nouveau président du syndicat patronal hôtelier, a annoncé qu’un programme plus détaillé couvrant les 3 années du mandat de la nouvelle équipe dirigeante sera diffusé dans les prochaines semaines, et qu’une communication régulière avec les médias et le grand public sera instituée afin de rendre compte des activités de la FTH et de l’avancement des différents sujets.

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Suite à son élection à l’unanimité,  le nouveau président Khaled Fakhfakh (au centre) a chaleureusement remercié son prédécesseur, Radhouane Ben Salah (à dr.) et a ensuite rendu hommage à toute la génération d’hôteliers qui a construit le secteur depuis des décennies, affirmant qu’il espérait être digne de la confiance que ses confrères placent aujourd’hui en lui. Avec toute l’équipe autour de lui, il a affirmé que l’échec n’était pas une option envisageable et qu’il ne doutait pas que la nouvelle équipe serait à la hauteur de l’immense tâche qui l’attendait, en ces temps de crise sans précédent. A gauche sur la photo, on reconnait également Hichem Driss, président de la Fédération Régionale de l’hôtellerie de Sousse.

Composition du nouveau Conseil national de la FTH: 

  • Président : Khaled Fakhfakh
  • Secrétaire Générale : Rym Belajouza
  • Trésorière : Dora Milad
  • Vice-Trésorière : Amina Sta
  • Vice-Secrétaire Générale : Mouna Ben Halima
  • Vice-Président, Président de la FRH de Monastir, et Président de la commission Administrative, Sociale et Juridique : Slim Dimassi
  • Vice-Président, Président de la FRH de Djerba-Zarzis et Président de la Commission Financement : Jalel Henchiri
  • Vice-Président, Président de la FRH de Hammamet-Cap Bon et Président de la commission Marketing et Promotion : Mehdi Allani
Entrée très remarquée de la gente féminine au sein de la FTH avec Rym Belajouza (à dr.), Mouna Ben Halima (au centre) et Dora Miled.

Entrée très remarquée de la gente féminine au sein de la FTH avec Rym Belajouza (à g.), Mouna Ben Halima (au centre) et Dora Miled.

  • Présidente de la commission Formation et Communication : Mouna Ben Halima
  • Présidente de la commission Environnement et Développement Durable : Narjess Bouasker
  • Président de la commission Sécurité : Ahmed Belli
  • Vice-Président, Président de la FRH de Tunis Ahmed Kamoun
  • Vice-Président, Président de la FRH de Sousse : Hichem Driss
  • Vice-Président, Président de la FRH de Sfax : Mohamed Abid
  • Vice-Président, Président de la FRH de Mahdia : Ridha Taktak
  • Vice-Président, Président de la FRH de Tozeur : Moncef Makhlouf
  • Vice-Président, Président de la FRH de Tabarka : Nabil Ben Abdallah
    Une nouvelle génération d'hôteliers pour reprendre le flambeau de la FTH. Avec Khaled Fakhfakh, Amina Sta (debout), Rym Belajouza (assise) et Mouna Ben Halima.

    Avec Khaled Fakhfakh, Amina Sta (debout), Rym Belajouza (assise) et Mouna Ben Halima.

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Qui sont les 40 membres du Conseil national de la FTH 2017-2019 ?

 

 



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Air France Tunis récompense son réseau de vente

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La représentation de la compagnie Air France en Tunisie a organisé une soirée en l’honneur de ses partenaires agences de voyages à l’occasion de la présentation à Tunis de son nouveau siège Business long-courrier.

Les différents prix ont été remis en présence de Claude Maire, directeur d’Air France Tunis, et de Denis Hasdenteufel, directeur régional d’Air France-KLM pour l’Afrique du Nord et le Sahel, venu à Tunis spécialement pour la circonstance.

14 agences de voyages ont été récompensées par le « Trophée Best Partner 2016 ». Il s’agit des agences VIP, Atlantis, Artours, Voyageair, TGV, Continental, Oussama Voyages, PTS, Arabel Voyages, TAT, Destination Voyages, Syrine Tours, First Class et Take Off Travel.

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Air France a également récompensé ses 4 « Meilleurs vendeurs par Réseau ». Sur Paris, le prix est revenu à l’agence Arabel Voyages, tandis que l’agence Corporate Travel & Events a été récompensée sur l’Asie. Sur l’Afrique, c’est l’agence Artours qui a été primée tandis que sur l’Amérique du Nord, le prix est revenu à Atlantis.

Par ailleurs, Air France a organisé un « Challenge » sur l’Amérique du nord au cours de l’été 2016 et qui a récompensé 12 agents de voyages que sont Mehdi Jawadi (Corporate Travel & Events), Jenina Bennani (Continental Tours), Mehdi Cheniti (Syrine Tours), Amel Marrakchi (Amel Voyages), Habib Ellouze ( Voyages de Tunisie), Hatem Rebai (Safsaf Voyages), Sonia Abdellatif (Take Off Travel), Hanen Abdellatif (TGV), Zouhour El Abed (Achwak Tours), Sami Othmani (Yassine Travel Agency), Khaled Ben Salah (Carthage Tours Tunis) et Emna Touzri (Millesima Travel).

A l’issue d’un tirage au sort, Mehdi Cheniti (Syrine Tours) a été l’heureux gagnant d’un billet pour deux personnes vers la destination de son choix opérée par Air France (photo ci-dessous).

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La Goulette reçoit son premier bateau de l’année 2017

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Le terminal de croisières de la Goulette accueillera pour la première fois le navire de croisières Viking Sea de la compagnie Viking Cruises et ce le 18 janvier 2017. Il s’agit de la première escale de l’année 2017.

Afin de souhaiter la bienvenue au capitaine du navire et à ses passagers, la société GSC, qui exploite le terminal de croisières, a collaboré avec le ministère des Affaires culturelles pour organiser un mini concert de musique classique dans le village touristique qui sera assuré par des musiciens de l’Orchestre Symphonique Tunisien au profit des passagers de croisière.



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Air France présente sa cabine Business long-courrier à Tunis

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L’objectif pour le transporteur français étant de se mettre au niveau de la concurrence, voire de la dépasser avec cette nouvelle cabine.

Air France a présenté aujourd’hui à Tunis sa nouvelle cabine Business long-courrier. Il s’agit d’une nouvelle configuration et d’un nouveau concept imaginés en collaboration avec de grandes marques françaises et internationales.

Classée pour la première fois parmi le Top 10 des meilleures cabines au monde, Air France a investi énormément pour atteindre cette position. « 500 millions d’euros ont été débloqués jusque-là afin de servir les objectifs fixés », affirme Denis Hasdenteufel, DG de la compagnie Air France pour l’Afrique du Nord et les pays du Sahel lors d’une conférence de presse destinée à présenter la nouvelle cabine Business aux médias. « L’un des objectifs établis par la compagnie aérienne française, c’est de s’adapter à l’offre des concurrents et offrir des cabines personnalisées aux clients » a-t-il indiqué. En effet, Air France propose tout d’abord une nouvelle configuration de sa cabine Première aux clients, en passant de 7 à 4 fauteuils seulement. « Ceci permet un accès direct à l’ensemble des passagers », estime la responsable expérience-clients Business au sein  du département long-courrier d’Air France.

Courbes délicates, coque capitonnée, repose-pieds, accoudoirs habillés de cuir, surpiqûres sur les contours de la têtière, finitions métalliques, le fauteuil Business testé lors de la conférence allie design contemporain et élégance discrète. « Chaque détail a été pensé pour garantir bien-être, confort et intimité », se félicite-t-elle.

La délégation d'Air France à Tunis à l'occasion de la présentation du siège Business long-courrier.

La délégation d’Air France à Tunis à l’occasion de la présentation du siège Business long-courrier.

Chaque détail a été pensé
Modulable, le siège peut être ajusté selon le besoin en vol : travail, repos ou sommeil. Il s’agit, en outre, d’un espace complet (bureau, table de restaurant, lit) à l’abri des regards extérieurs. Smartphone, tablette, ordinateur… En cabine Business, chaque objet trouve aisément sa place dans des espaces de rangement prévus à cet effet. On peut aussi recharger des appareils électroniques grâce à une prise électrique et un port USB individuels. Un coffre individuel renferme, par ailleurs, un casque audio réducteur de bruits ainsi qu’un miroir de courtoisie. Côté éclairage, il s’ajuste selon chaque envie : liseuse, plafonnier, lumières d’ambiance.

Plats signés par de grands chefs étoilés

Quant à la partie restauration, des créations de grands chefs étoilés, tels Régis Marcon, Michel Roth ou encore Guy Martin sont proposées. Pour la cabine Business, les clients peuvent aussi réserver via Internet leurs plats préférés jusqu’à 24h avant le départ. Air France a en effet amélioré les arts de la table. Elle a fait appel au célèbre désigner Jean-Marie Massaud, dans le cadre d’une collection exclusive pour Air France : assiette de porcelaine signée Bernardaud, verres biseautés et couverts façonnés par la maison Christofle. Les salons Business à Paris-Charles de Gaulle seront renouvelés aussi dans les prochains mois en vue d’être aux standards des meilleures compagnies concurrentes.

Relooking général

Outre la cabine Business, les autres classes ont bénéficié aussi d’un relooking général. On notera le lancement du concept de Suites dans les 777 pour répondre à une demande d’une catégorie de clientèle qui cherche l’intimité. En effet, ces suites offrent la possibilité d’être isolé avec un rideau. Mais avec toujours la possibilité d’être ouvert aux autres passagers. Le siège est hautement confort et équipé d’un écran de divertissement de 23 pouces et d’une ambiance lumineuse, ainsi qu’une commande tactile pour contrôler l’écran à distance. De plus, la Suite assure une qualité de couchage au meilleur niveau et un kit nuit de grande qualité pour un meilleur sommeil. Les accessoires sont signés par de grandes marques. Des petits coins de rangement ont été aussi conçus et sont intégrés dans le design avec des couleurs assez sobres et assez chics.

La partie accessoires a été, pour sa part, revue. Une convention avec une grande marque de cosmétique a été signée pour fournir les trousses, les couettes, les kits d’accueil proposés et les coussins, etc. Grosso modo, toutes les classes ont bénéficié de grandes améliorations au niveau de la restauration et des arts de la table. En ce qui concerne la classe Économique, les clients gagnent plus d’espace dans leurs sièges avec beaucoup d’améliorations en termes de divertissement et de restauration, selon les responsables de la compagnie aérienne française.

2016, une année un peu particulière

Sur un autre plan, Denis Hasdenteufel a souligné que l’année 2016 était un peu particulière. « Nous avons toute une série de chantiers. Les dernières années ont été économiquement difficiles, les choses vont un peu mieux maintenant », a considéré le DG de la compagnie Air France pour l’Afrique du Nord et les pays du Sahel.

Denis Hasdenteufel.

Denis Hasdenteufel

« Nous avons pris une importante décision, celle de continuer à investir lourdement. Nous avons dépensé 500 millions d’euros pour introduire ces améliorations et porter nos services à un palier plus élevé. Une donne qui nous permet de voir l’avenir avec beaucoup d’optimisme », explique-t-il. Par rapport au marché tunisien, il avoue que l’année 2016 a été particulièrement difficile. « Mais nous tentons de commencer l’année 2017 avec beaucoup d’ambitions »a-t-il conclu.

K.C



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« Un Mémorial de la Révolution » sur l’Avenue Habib Bourguiba à Tunis proposé par des étudiants en architecture

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Des étudiants en Architecture de l’Université Tunis Carthage à la Soukra ont participé à un concours destiné à ériger un « Mémorial de la Révolution tunisienne » afin d’immortaliser ce moment historique dans l’Histoire de la Nation tunisienne.

Ce concours, auquel ont pris part des étudiants de 4e et 5e année Architecture, a été parrainé par le célèbre architecte américain Travis Price, spécialiste dans l’édification de mémoriaux à travers le monde et auteur de plusieurs grands prix nationaux et internationaux avec ses étudiants en Architecture de l’Université Catholique d’Amérique à Washington D.C.

56 étudiants ont pris part à ce concours et ont travaillé en groupes sur diverses variantes de projets. Le jury, constitué d’enseignants en Architecture tunisiens et américains, a attribué le Premier prix du concours à un groupe de 4 étudiants en 4e et 5e année Architecture à l’UTC,  Sonia Ben Yahia, Mohamed Béchir Chafra, Zeineb Smaoui et Mohamed Dardouri qui ont vu leur projet plébiscité.

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Baptisé « The flight of voices », le projet est composé de modules triangulaires en acier soudé qui représentent l’union du peuple. Le tout émerge d’un puits sombre (qui renvoie à l’oppression) et qui, par la suite, s’élève vers le ciel et devient de plus en plus léger pour représenter des voix au début silencieuse mais qui, petit à petit, se libèrent de l’oppression et parlent afin pour revendiquer leur droit. Cela se présente comme des colombes qui, libérées de leur cage, vont prendre leur envol, d’où l’intitulé du projet : « The flight of voices ». Durant la journée, le soleil illumine le projet dont l’ombre se reflète sur un sol en marbre blanc, comme pour représenter une feuille blanche où s’écrit une nouvelle page de l’Histoire de la Tunisie. Ainsi, chaque lever de soleil commémore  le combat et la victoire du peuple tunisien.

« L’idée aujourd’hui est de pouvoir matérialiser et installer ce mémorial sur le terre-plein central de l’Avenue Habib Bourguiba, idéalement en face du Théâtre municipal, et en faire une référence architecturale à très forte symbolique » explique pour sa part  Khaldoun Ben Taarit, président de l’Université Tunis Carthage, qui espère que les autorités répondront favorablement à l’idée.

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« J’ai été impressionné par les projets très bien pensés et l’imagination des étudiants tunisiens, a déclaré de son côté  Travis Price. Nous les avons accompagnés dans le cadre de workshops intensifs de 8 à 10 heures par jour pendant une semaine. Nous ne les avons pas corrigés, mais nous les avons poussés à l’inspiration, à la réflexion ». Price a, par ailleurs, annoncé que tous les travaux réalisés dans le cadre de ce concours seront exposés dans une grande salle appartenant à l’Ordre des architectes de Washington.

Il est à noter que d’autres prix ont été attribués, notamment aux vainqueurs des 2e et 3e places, de même que des récompenses ont été décernées aux 5 autres projets jugés « méritants ».

Les projets des étudiants sont exposés à la Galerie de l’Information, avenue Habib Bourguiba à Tunis du 16 au 18 janvier 2017 et ce à l’occasion du 6e anniversaire du 14 Janvier.

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La nouvelle menace qui pèse sur le tourisme tunisien

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Le couteau va de nouveau être remué dans la plaie: l’affaire de l’attentat de Sousse du 26 juin 2015 s’apprête à revenir sur le devant de la scène à compter du lundi 16 janvier 2017 avec l’ouverture en Angleterre du procès intenté par les familles des victimes à l’encontre du tour-opérateur TUI. Détail important: ce n’est pas l’Etat tunisien qui est poursuivi mais bien le voyagiste qui exploitait également l’hôtel Impérial sous l’enseigne RIU sur la plage duquel ont été tués 30 ressortissants britanniques et plusieurs autres blessés.

Dans la perspective de ce procès, la chaîne BBC a déjà diffusé en début de semaine un reportage orienté comme une enquête d’investigation qui n’a peut-être rien apporté de nouveau sinon que d’enfoncer encore plus l’image de la Tunisie en tant que destination touristique. Et ce n’est certainement là qu’un début car il est fort à parier que les autres médias britanniques vont s’emparer de l’affaire et en faire gorge chaude durant les semaines à venir.

Selon des informations obtenues par Destination Tunisie auprès d’une personne proche du dossier, une proposition aurait été faite à l’Etat tunisien d’indemniser les victimes pour éviter qu’elles n’aillent jusqu’au procès. La somme demandée selon notre source représentait l’équivalent de 130 MD. Or, les autorités tunisiennes n’auraient donné leur aval que pour un montant de 30 MD!

A défaut d’accord, la TUI se retrouve donc dans le box des accusés. Le premier tour-opérateur européen va sans aucun doute brandir les arguments qu’il faut pour défendre sa position. Et à ce niveau, c’est à n’en pas douter la gestion calamiteuse de la crise qui sera mise en exergue plus que l’acte en lui-même.

Car il n’est pas inutile de rappeler au passage que dans les jours ayant suivi l’attentat, les arrivées de touristes britanniques se sont poursuivies (certes avec beaucoup d’annulations, mais sans rupture totale). C’est en fait la visite d’inspection sécuritaire diligentée par Scotland Yard qui avait tout fait basculer: le rapport très négatif émis à l’époque avait entraîné la décision du gouvernement britannique d’imposer des restrictions de voyages sur la Tunisie.

Sur la plage de l'Impérial, au lendemain du drame.

Sur la plage de l’Impérial, au lendemain du drame.

Les conséquences d’une condamnation 

La grande inconnue désormais réside dans l’issue du procès. Et étant donné qu’il y a eu mort d’hommes, on voit mal la partie poursuivie s’en sortir indemne. Mais ce qui est réellement à craindre, c’est que la TUI soit condamnée lourdement. Dans ce cas là, il y a tout lieu de penser qu’elle suspendrait unilatéralement sa présence sur la Tunisie étant donné le risque que celle-ci fait peser sur ses activités.

Plus grave encore, la condamnation éventuelle de la TUI entraînerait des inquiétudes notamment chez le N°2 du marché européen et premier pourvoyeur de touristes sur la Tunisie (Thomas Cook pour ne pas le citer) qui pourrait théoriquement lui aussi décider de mesures drastiques de peur de se retrouver un jour dans une position aussi fâcheuse que son concurrent TUI aujourd’hui. Ceci sans parler des autres opérateurs qui seraient tentés d’opter pour de pareilles alternatives à titre préventif. On n’ose imaginer les conséquences qu’aurait un tel scénario sur le tourisme en Tunisie.

Effet boule de neige

La décision du Foreign Office d’imposer des restrictions de voyages sur la Tunisie en juillet 2015 avait tout de suite provoqué un effet boule de neige. La position anglaise avait immédiatement été suivie dans les actes par la Belgique, mais aussi la Hollande et les pays scandinaves notamment. A ce jour, aucun de ces pays n’a changé sa position à l’endroit de la Tunisie en dépit des multiples événements de nature aussi tragique survenus entre temps que ce soit en Europe ou ailleurs.

Du côté des professionnels du tourisme en Tunisie, nombreux sont ceux qui déplorent ce qu’ils qualifient de politique de « deux poids, deux mesures », qui fait que la destination est « toujours traitée comme une pestiférée » alors que d’autres pays touristiques (comme la Turquie pour ne pas user de langue de bois) a enregistré bien plus d’actes terroristes ces derniers mois et présente théoriquement plus de risques pour les voyageurs qui s’y rendent.

Autant donc dire que ceux qui continuent d’espérer une levée prochaine des restrictions de voyages sur la Tunisie sont loin d’avoir fini de manger leur pain noir.

Hédi HAMDI



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Sousse: l’hôtel El Ksar passe sous l’enseigne Vendôme

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L’hôtel El Ksar Resort & Thalasso à Sousse-Khezama (4 étoiles, 916 lits), propriété de Lazhar Sta, est passé depuis le 1er décembre 2016 sous l’enseigne Vendôme Hotels & Resorts dans le cadre d’un contrat de gestion pour compte pour une période pouvant courir jusqu’à l’année 2033.

Le management de l’hôtel a été totalement remplacé par une nouvelle équipe agissant sous la tutelle de Vendôme.

Outre la Tunisie, la chaîne projette d’ouvrir au moins 5 unités en Algérie dès le mois d’avril prochain avec un premier établissement à Oran. Les 4 autres hôtels devraient suivre au fur et à mesure à Alger, Sétif, Annaba et Béjaïa. En juin 2017, il est également question de l’ouverture d’un hôtel sous l’enseigne Vendôme au Tchad.



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Les vrais résultats de l’année touristique 2016 en Tunisie

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Les chiffres des entrées de touristes en Tunisie pour l’année 2016 sont désormais connus.

La destination a enregistré exactement 5.524.021 d’arrivées de non-résidents à ses différents postes frontières aériens, maritimes et terrestres, en baisse de 6,8% par rapport à 2015, mais surtout de 20,1% par rapport à 2014.

En apparence, ce chiffre officiel peut paraître satisfaisant dans la mesure où il n’est pas très éloigné des réalisations d’avant 2011 (6.902.749 visiteurs en 2010). Sauf qu’il y a un gros hic: désormais, l’ONTT, qui compile les chiffres sur la base des données que lui communique le ministère de l’Intérieur, prend  en considération les entrées de Tunisiens résidents à l’étranger. Oui, vous avez bien lu, les TRE !

En fait, l’administration du Tourisme, dans son décompte, n’a pas tout à fait tort puisqu’elle se base sur les normes édictées par l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) qui stipule que chaque individu passant au moins une nuitée hors de son pays de résidence est comptabilisé comme touriste.

En conséquence, tout le monde se retrouve dans le même panier. 1.198.259 Tunisiens sont rentrés au bled en 2016 dont certains ayant effectué plusieurs allers et retours au cours d’une même année et ont été comptabilisés comme touristes autant de fois qu’ils ont fait la navette entre leur pays d’accueil et leur pays d’origine.

Mais les TRE, aussi gentils soient-ils, ne font pas fonctionner les hôtels, encore moins les agences de voyages, et certainement très peu les autres opérateurs du tourisme. Donc, qui est réellement venu en vacances au cours de l’année 2016 en Tunisie ? En vérité, la destination a reçu 4.525.562 visiteurs étrangers l’année dernière, en baisse de 7,7% par rapport à l’exercice précédent.

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Les Européens à la peine

Ce n’est une surprise pour personne et l’administration du Tourisme l’a crié sur tous les toits: l’année 2016 restera incontestablement comme celle de l’année du tourisme russe avec 623.397 visiteurs en provenance de ce pays, ce qui correspond à une croissance de 1096 % (oui, 1096 %) par rapport à une année 2015 morose qui n’avait pas réussi à dépasser la barre des 53 mille visiteurs de ce pays.

Pour être très réalistes (et l’avenir nous le prouvera), ces chiffres ne seront plus atteints, du moins pas en 2017, n’en déplaise aux politiciens et aux responsables du tourisme qui ont osé se gargariser de ces réalisations. Les touristes russes seront moins nombreux en Tunisie à l’avenir car plusieurs facteurs exceptionnels sont entrés en ligne de compte: l’année 2016 a été marquée par un transfert de la clientèle russe initialement destinée à la Turquie vers la Tunisie en raison de la brouille politique intervenue entre les présidents russe Poutine et turc Erdogan. Depuis le 1er septembre 2016, le problème a été résolu et les charters russes ont de nouveau renoué avec la Turquie et notamment Antalya.

Deuxième facteur ne permettant pas d’atteindre les mêmes réalisations, près de 30% des Russes ont été insatisfaits du produit « Tunisie » selon des évaluations qui nous ont été communiquées par les réceptifs de T.O russes sur la Tunisie ! Et en la matière, les réceptifs sont indiscutablement les mieux placés car étant au cœur de l’activité.

Au départ des autres pays d’Europe centrale et de l’Est, on notera l’arrivée de 30.586 Tchèques, de 11.041 Polonais et de 11.271 Ukrainiens.

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« Nos frères algériens »

Avec 1.808.315 arrivées à nos frontières, les Algériens sont de très loin les premiers touristes étrangers en Tunisie en volume. Et ce qui est d’autant plus satisfaisant, c’est que la croissance se poursuit de plus belle avec une évolution de 22,1% par rapport à 2015 et de 40,8% par rapport à 2014. Ces chiffres sont le résultat d’une tendance, mais aussi de gros efforts de communication réalisés sur l’Algérie tant par l’administration que la profession. Mais pour être parfaitement honnêtes, il y a lieu de signaler à ce propos deux points importants. D’abord, le fait que 70% des Algériens ne résident pas en milieu hôtelier et privilégient des formules d’hébergement chez des particuliers. Soit, c’est de l’argent qui tourne dans les circuits en Tunisie même s’il s’agit de l’informel. Pour les hôtels qui reçoivent des Algériens, il n’est pas rare d’entendre parler de la nécessité pour eux d’être sélectifs notamment à l’égard d’une certaine catégorie, et spécifiquement les jeunes qui viennent en groupes de célibataires et qui ne brillent pas par leur comportement exemplaire.

Photo: ONTT Alger

Photo: ONTT Alger

Les arrivées de visiteurs en provenance du Maghreb ont constitué en 2016 exactement 52,2% du total des arrivées de l’étranger avec notamment une clientèle libyenne reléguée à la 2e place avec 1.117.007 entrées comptabilisées. Les Marocains sont loin derrière avec 46.547 arrivées.

L’effrondrement des marchés émetteurs classiques

En analysant les chiffres de l’année touristique 2016, il est nécessaire de ne pas perdre de vue qu’elle a répercuté les conséquences des attentats terroristes de l’année 2015 au Bardo et à Sousse. Les marchés émetteurs, que l’on a toujours considéré comme des marchés « classiques », ont rudement pâti de la conjoncture, à commencer par les Français qui ont baissé de 15,9% en un an à 390.684 entrées en provenance de l’Hexagone sur les 12 mois de l’année écoulée !! Au passage, on rappellera juste que la Tunisie avait totalisé 1.385.293 touristes français en 2010; 767.138 en 2011. Cherchez l’erreur…

Pour ce qui concerne le marché allemand, la baisse entre 2015 et 2016 a été de 40,9% avec désormais et uniquement 129.085 touristes en provenance de ce pays. Il fut un temps où un T.O avait réalisé ces chiffres à lui tout seul sur ce marché. Pour mémoire, les Allemands étaient 458.631 à visiter la Tunisie au cours de l’année 2010.

Au départ de l’Italie, l’année 2016 n’a guère été plus reluisante, avec 71.982 visiteurs en provenance de ce pays, en baisse de 13,7% par rapport à 2015 et de 71,5% par rapport à 2014 ! Autant donc parler d’une hécatombe touristique.

Le marché suisse ne s’est pas mieux porté avec à peine 18.157 touristes, ce qui représentait le total des réalisations d’un hôtel à lui tout seul à Sousse il y a encore quelques années.

Il y a ensuite ces marchés qui font l’objet de restrictions de voyages vers la Tunisie de la part de leur gouvernement respectif, ce qui est de nature à encore aggraver les réalisations touristiques. Au départ de la Grand-Bretagne, l’année 2016 a enregistré à peine 23.000 visiteurs tandis que la Belgique a totalisé 22.946 touristes et la Hollande 7740 personnes. Pour ce qui est de la clientèle scandinave, autant dire que la Tunisie touristique a touché le fond sur ce marché avec seulement 9525 touristes comptabilisés en 2016, soit une baisse de 13,7% par rapport à 2015. A titre de comparaison, la destination avait reçu 131.651 scandinaves en 2010.

En définitive, la Tunisie a recensé à ses frontières au cours de l’année 2016 exactement 1.415.334 non-résidents européens, en baisse de 24,7% par rapport à 2015 et de 49,6% par rapport à 2014. En d’autres termes, la Tunisie a perdu la moitié de ses touristes européens entre 2015 et 2016. Ces touristes européens qui en arrivent à devenir presque minoritaires avec désormais 24,7% du total des arrivées. Comparaison n’est pas raison dirait le dicton, mais l’on ne pourra s’empêcher de relever qu’en 2010, les Européens avaient été 3.814.402 à séjourner en Tunisie (TRE non compris), ce qui représentait à l’époque 55,3% du total des arrivées de non-résidents.

Le fric, c’est pas chic

Au-delà des arrivées des personnes, il y a lieu de s’intéresser à ce que ces visiteurs ont procuré aux caisses de l’Etat en devises. Au 31 décembre 2016, la Banque Centrale de Tunisie a comptabilisé 2322.9 millions de dinars de recettes touristiques, en baisse de 3,8% par rapport à l’année précédente et ce sans prendre en considération le glissement de la monnaie tunisienne par rapport aux principales devises étrangères pour le marché que sont l’euro (-9%) et le dollar (-9,4%).

Hédi HAMDI

Crédit photos: Adel Mhenni



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Qui sont les 40 membres du Conseil national de la FTH 2017-2019 ?

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A l’occasion de la tenue hier de l’assemblée générale ordinaire élective de la Fédération tunisienne de l’hôtellerie, ses adhérents ont élu 10 nouveaux membres qui s’ajoutent aux 27 représentants des fédérations régionales déjà élus et aux 3 membres des chaînes hôtelières de plus de 2000 lits lesquelles ont droit à trois sièges au sein du Conseil national.

Membres issus de l’élection nationale  du 6 janvier 2017 (en attendant la répartition des tâches) :

– Khaled Fakhfakh, hôtel Manar Hammamet (118 voix)

-Skander El Kateb, hôtel Kanta Sousse (116 voix)

-Hassen Kenani, hôtel Marina Palace, Yasmine Hammamet (112 voix)

-Mouna Ben Halima, hôtel La Badira, Hammamet (105 voix)

-Walid Ben Amor, hôtel Eden Club Monastir (99 voix)

-Malek Boujbel, hôtel Holiday Beach, Djerba (97 voix)

-Mossaab Battikh, hôtel Magic Life Pénélope, Djerba (92 voix)

-Mounir Sahli, hôtel Ksar Djerba (84 voix)

-Slah Ben Ahmed, hôtel Kaiser, Sousse (77 voix)

-Mohamed Ali Miled, hôtel Houda Golf & Beach Monastir (67 voix).

Membres issus des élections régionales:

Tunis: Ahmed Kamoun, président régional (Corail Suites Hotel), Moez Boudali (hôtel Maison Blanche), Karim Ben Smail (hôtel Carlton) et Nabil Essassi (hôtel Les Berges du Lac Concorde).

Hammamet: Mehdi Allani, président régional (hôtel Le Sultan), Habib Bouslama (hôtel Nahrawess), Narjess Bouasker (hôtel Menara) et Tahar Zahar (hôtel Alhambra).

Tabarka: Nabil Ben Abdallah, président régional (hôtel Rihana, Aïn Draham) et Mustapha Chouaïeb (hôtel Golf Beach).

Sousse: Hichem Driss, président régional (hôtel Marhaba Palace), Habib Ammar (Les Maisons de la Mer), Raouf Maârouf (Royal Kenz) et Amina Sta (hôtel El Ksar).

Sfax: Mohamed Abid, président régional (hôtel Layelli) et Zied Boussarsar (hôtel Les Oliviers Palace).

Monastir: Slim Dimassi, président régional (hôtel Helya), Ahmed Belli (hôtel Habib), Dora Miled (hôtel Sahara Beach).

Mahdia: Ridha Taktak, président régional (hôtel Mahdia Beach), Ahlem Tanfous Sfar (hôtel El Mehdi).

Djerba: Jalel Henchiri, président régional (hôtel Meninx), Ezzeddine El Kadhi (hôtel Al Jazira), Issam El Mesaabi (hôtel Golf Beach), Rim Belajouza (hôtel Rym Beach), Mourad Mhenni (hôtel Miramar).

Tozeur: Moncef Makhlouf, président régional (hôtel Les Jardins de Tozeur), Karim Cheraiet (Diar Abou Habibi).

Membres représentants les chaînes de plus de 2000 lits:

-M’hamed Driss (chaîne Marhaba)

-Adel Boussarsar (Golden Yasmine Hotels)

-Karim Milad (hôtels du groupe TTS).

 



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Tabarka: après 6 ans, une nouvelle vie pour l’hôtel El Mansour

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L’hôtel Club El Mansour à Tabarka (4 étoiles, 306 chambres – 750 lits) devrait rouvrir ses portes le 1er juin 2017.

Depuis 2011, il n’avait plus accueilli un seul client. Le Mansour va en effet être repris par la société Magic Hotels Tunisie, qui représente Magic Life, pour une période de 7 ans sous un régime spécifique de location-gérance variable selon résultats. L’accord devrait être signé incessamment entre son propriétaire, Tarek Cherif, et le PDG de Magic Life Tunisie, Mossaab Battikh.

Dans la foulée, des travaux de rénovation devraient être engagés pour un montant estimé à 3,5 MD.

Ouvert en 2002 moyennant un investissement de 40 MD à l’époque, l’hôtel fit partie pendant de nombreuses années des fleurons hôteliers de la Cité du Corail, tout d’abord sous l’enseigne allemande Robinson avec de passer sous le label italien Valtur.

Au lendemain du 14 Janvier, l’hôtel connut une grave crise sociale qui entraîna sa fermeture jusqu’à ce jour.

Le nouveau gestionnaire devrait lui modifier son appellation pour Thabraca.



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Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie: passage de témoin générationnel

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C’est une page qui se tourne au sein de la Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie (FTH). Son président, Radhouane Ben Salah, ne va pas rempiler pour un nouveau mandat.

Après quatre années (dont 9 mois au-delà de son mandat initial), Radhouane Ben Salah cède la place à un nouveau conseil national marqué par l’entrée en force d’une nouvelle génération d’hôteliers qui entendent bien « secouer le cocotier » de leur syndicat patronal qu’ils jugent inadapté à la réalité et à la conjoncture qui prévaut dans le tourisme.

Mais avant de tourner cette page, il fallait que se tienne une assemblée générale ordinaire élective appelée à approuver les rapports moral et financier de la FTH entre 2013 et 2016. Une simple formalité dont s’est acquitté le bureau sortant quasiment sans contestations. Il faut dire aussi que les comptes de la Fédération ne sont pas dans le rouge, bien au contraire. A la date du 31 décembre 2016, elle disposait dans ses caisses de 702.000 dinars! Wajdi Skhiri, secrétaire général sortant de la FTH, n’a pas manqué à ce sujet de saluer la rigueur de son président dans la gestion des deniers de l’organisation, soulignant que celui-ci avait même pris à sa charge ses différents frais de déplacements à l’étranger.

Faire bouger les choses

Mais ce montant est aussi la résultante d’une augmentation substantielle des cotisations des professionnels du secteur. Désormais, la FTH compte 280 hôteliers actifs, dont un grand nombre de la « nouvelle génération » qui, depuis octobre 2015, a décidé de faire bouger les choses. Et c’est dans les régions que la vague a entamé sa déferlante lors des élections dans les fédérations régionales qui ont été marquées par un rajeunissement notable de leurs structures dirigeantes.

Cependant, si l’entrée en force des hôteliers de nouvelle génération est perçue comme une reprise en main de la destinée de leur syndicat professionnel, la stratégie engagée n’est pas vue d’un très bon œil par tout le monde, et notamment par ceux qui ont été désavoués par la voie des urnes et qui n’hésitent pas à qualifier l’approche des jeunes de « coup d’Etat inter-générationnel ».

Et dans ce nouveau groupe composé d’une soixante d’hôteliers, le nom de Khaled Fakhfakh a émergé et s’est présenté presque de manière naturelle comme étant le candidat consensuel à la succession de Radhouane Ben Salah. Agé de 54 ans , Fakhfakh n’est autre que le fils de feu Mokhtar Fakhfakh, figure de proue de l’économie tunisienne post-indépendance et l’un des fondateurs de la BIAT notamment.

Khaled Fakhfakh, qui a hérité de l’hôtel El Manar à Hammamet-Nord, et après une carrière notamment dans le secteur bancaire, est aujourd’hui à la tête d’un fonds d’investissement.

FTH nouvelle génération

Dans la liste des 40 membres  élus le 6 janvier 2016 et qui composent le nouveau conseil national de la FTH, Khaled Fakhfakh va selon toute vraisemblance prendre le relais sur Radhouane Ben Salah (photo ci-dessus du sortant et du nouvel entrant). La FTH nouvelle génération n’arrive pas les mains vides et a déjà clairement élaboré son programme de travail.

Sur le plan des statuts tout d’abord, un grand chantier a été échaudé pour procéder à leur refonte. Grosso-modo, il s’agira tout d’abord d’élargir les adhésions à la FTH à toutes les autres formes d’hébergement et non plus uniquement aux hôtels. Ensuite, plus d’autonomie sera accordée aux 9 bureaux régionaux. Enfin et sur le plan électoral, un nouveau mode de scrutin de liste sera soumis aux prochaines assemblées générales pour approbation.

Sur le plan professionnel, un programme de travail détaillé dénommé « FTH 2020 » a déjà été élaboré et recense les différents sujets touristiques (et non pas uniquement hôteliers) sur lesquels le syndicat patronal a l’intention de se pencher et qui laisse supposer que les choses vont sans aucun doute bouger très vite.

H.H

 



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Le président de « Voyageurs du Monde » préconise de continuer à se rendre en Tunisie

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Interviewé par France Info dans l’émission « L’interview Eco », Jean-François Rial, président de « Voyageurs du Monde » et spécialiste du voyage sur mesure au départ de la France, a indiqué que la situation du secteur touristique va très mal en Tunisie. « Ça va un petit peu mieux en Égypte et en Jordanie, ça va moyennement bien au Maroc et ça va très mal en Tunisie et en Turquie »a-t-il estimé.

« Mais j’estime qu’on ne peut pas et qu’on ne doit pas laisser tomber ces destinations ». Sa raison pour continuer à travailler sur ces destinations dont celle tunisienne, c’est : « parce que moins vous avez de touristes dans ces pays, plus les économies de ces pays s’effondrent et plus le risque terroriste augmente pour eux et pour nous ».

Ceci ne signifie pas, selon ses lui, d’envoyer des gens dans des zones dangereuses, mais il y a certaines villes qui ne posent plus de problèmes, voire qui sont moins risquées que de rester à Paris. « Il n’y a pas de raisons que l’on déprogramme ces destinations… Mais il y a aussi des personnes qui se posent des questions et nous pouvons les conseiller sur ces destinations» a-t-il argumenté.



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Tunisair: Mnakbi, nouveau PDG

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Elyès Mnakbi a été nommé président du groupe Tunisair selon un communiqué du ministère du Transport rendu public aujourd’hui. Colonel dans l’Armée de l’Air, il remplace Sarra Rejeb qui occupait le poste depuis le mois d’avril 2015.

Passage de flambeau à Tunisair entre Sarra Rejeb, mutée à la tête de la SNCFT et Elyès Mnakbi qui prend la présidence de Tunisair.

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A l’hôtel The Residence, une fin d’année aux couleurs de l’Espagne

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L’hôtel The Residence Tunis, établissement de catégorie 5 étoiles situé sur les Côtes de Carthage à Gammarth, célèbre l’Espagne à l’occasion de la fin d’année.

Depuis le 25 décembre, une semaine gastronomique espagnole y est organisée tous les soirs au restaurant L’Olivier. Pour la circonstance, l’hôtel a invité Jordi Gimeno, grand chef espagnol qui sillonne le monde en tant qu’ambassadeur de la cuisine notamment catalane.

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Dans une ambiance cosy agrémentée par un duo de musique espagnole, les clients sont invités à un parcours culinaire initiatique qui s’ouvre au choix par des sautés de calamar et légumes à huile de picado, des croquettes de poulet, poisson et épinards, ou par une soupe fraîche à base de tomate et concombre « Gaspacho ».

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La carte propose également plusieurs types de paëllas de viande, aux fruits de mer ou façon « Mer et montagne », le tout accompagné de crus rouges ou blancs d’Espagne. Et en guise de dessert, on recommandera la crème Catalana au « Carquinyolis » ou les « Churros » au chocolat.

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Mais c’est aussi la soirée du 31 décembre au Residence qui retient actuellement toute l’attention. Fidèle à ses habitudes, l’hôtel organise, pour le réveillon, une soirée à thème qui sera placée cette année sous le signe de l’Espagne en général et de l’Andalousie en particulier. Elle débutera par un open bar au lobby de l’hôtel pour ensuite se déplacer à la Ballroom Chichkhan.

Ballroom Chichkhan qui accueillera le dîner-gala du 31 décembre.

Ballroom Chichkhan qui accueillera le dîner-gala du 31 décembre.

Sur le plan artistique tout d’abord, les réjouissances débuteront au son d’une guitare sèche qui donnera le la avec également du flamenco. Place ensuite à un quartet puis à la bande de joyeux drilles que sont les Khneffess, ce groupe de jeune artistes qui revisitent à leur manière et avec beaucoup d’entrain les grands classiques de la chanson espagnole tout d’abord mais également française, italienne et autre. Et pour ceux qui décideront de faire durer plus encore la fête, deux DJ (Maya et Tagga) se relaieront aux platines jusqu’aux premières heures du jour.

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Sur le plan gastronomique, l’hôtel a également concocté pour ce dîner gala un menu de standing avec en entrée une « Assiette The Residence » comprenant mousse de foie gras caramélisée, crevettes au guacamole, tartare de loup de mer… Pour la suite, le menu sera constitué d’un médaillon de langouste et d’un filet d’agneau à l’andalouse.

Et sans supplément, les clients ayant réservé leur soirée de St Sylvestre à The Residence se verront offrir la chambre pour une nuitée gratuite afin de se remettre tranquillement de leurs émotions et entamer la nouvelle année de la plus belle des manières.

 



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Continuez à faire les coqs !

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La Tunisie n’a pas été touchée par un attentat sur son sol, mais c’est tout comme. Ce qui s’est passé cette semaine à Berlin équivaut presque à un acte terroriste qui l’a frappée dans sa dignité, dans son honneur. Les médias européens s’en sont donnés à cœur joie en soulignant en boucle l’origine « encore une fois » tunisienne du terroriste.

A ceux qui considèrent que l’attentat de Berlin est une affaire germano-germanique, je leur réponds que ce qui s’est passé est tout aussi grave pour la Tunisie que l’attentat de Djerba en 2002 qui avait visé des touristes allemands.

Il y a eu mort d’hommes, c’est terrible. Toutefois, le coupable aux yeux de l’opinion publique, ce n’est pas seulement cet homme radicalisé en Europe, mais le pays qui l’a vu naître, son gouvernement qui ne l’a pas reconnu une première fois, ses compatriotes qui, bien malgré eux, se retrouvent pointés du doigt.

La Tunisie a été lynchée dans les médias européens, allemands en premier lieu. Et dans cas là, c’est le tourisme tunisien qui paye la facture encore une fois. Car tout le travail de reconstruction de l’image de la destination qui a été engagé après les attentats du Bardo et de Sousse autant par les pouvoirs publics que par les professionnels tunisiens s’est effondré.

En dépit de la gravité de ces événements, il se trouve encore certaines personnes qui sous-estiment l’affaire arguant du fait qu’aucun pays n’est à l’abri de l’aveuglement terroriste de Daech et consorts. Seulement voilà, à force de faire les coqs et de refuser de voir la réalité en face, certains de nos compatriotes continuent de se morfondre dans ce déni.

Et pourtant, il serait temps qu’ils arrêtent de faire les coqs et de sortir de leur basse-cour, l’heure est grave pour le tourisme tunisien pour qui des heures tristes s’annoncent à l’horizon.

D.T



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Bravo Hotels accroche une 2e enseigne à Djerba

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La chaîne Bravo Hotels se consolide à Djerba. Karim Mzali, son PDG, vient de louer un nouvel hôtel sur l’île, en l’occurrence le Haroun (propriété de la famille M’Sallem).

L’établissement de 90 chambres (3 étoiles) va subir des travaux de rénovation avant de rouvrir ses portes en avril 2017.

Il s’agit du 2e établissement pour Bravo Hotels à Djerba et le 4e au total en prenant en compte les hôtels de la chaîne à Monastir et Yasmine Hammamet.



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Aloès appelle à la réouverture du Centre culturel Dar Cherif à Djerba

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L’Association Aloès, créée à la mémoire du galeriste Hamadi Cherif, appelle à la réouverture de Dar Cherif, Centre culturel que ce dernier avait fondé à Sidi Jemour à Djerba et qui est aujourd’hui fermé.

Lors de la cérémonie de remise de l’Aloès d’Or pour l’année 2016, et saisissant l’occasion de la présence du ministre de la Culture, Mohamed Zine El Abidine (photo), le comité de l’association a lancé un vibrant appel pour que les autorités interviennent afin de trouver une solution à la fermeture de ce centre dans le sillage de la disparition subite de son fondateur. Ce dernier n’ayant pas de descendant, le Centre culturel de Sidi Jemour s’en retrouve par conséquent dans un imbroglio étant donné que la Fondation créée pour tenter de perpétuer l’oeuvre du défunt n’est pas reconnue en Tunisie sur le plan juridique.

Dar Cherif avait été ouvert en 2010 et avait très vite constitué un lieu de convergence et de rassemblement pour les artistes de tous bords avec des actions culturelles à rayonnement international. « L’un des plus beaux cadeaux à faire à l’île de Djerba, à ses habitants et à la Tunisie tout entière, serait de rouvrir ce centre pour perpétuer l’engagement de Hamadi Cherif en faveur de l’art et de la culture » a déclaré Edith Zäch, membre de l’Association Aloès, lors d’un vibrant plaidoyer. « Hamadi Cherif était l’âme et l’esprit de ce centre » a-t-elle lancé.

Aloès espère que 2017, qui correspondra avec le 70e anniversaire de la naissance de Hamadi Cherif, marquera symboliquement la réouverture du Centre de Sidi Jemour, sachant que l’Association promet d’en faire bon usage grâce aux mécènes disposés à soutenir toute action en sa faveur.

Et pour confirmer son engagement en faveur de l’art, les membres d’Aloès, amis de Hamadi Chérif, ont décerné cette année encore l’Aloès d’Or de l’année 2016, récompensant Sofiène et Selma Ouissi, fondateurs du festival d’art contemporain Dream City. D’un montant de 10.000 dinars, ce prix est une manière d’encourager tous ceux qui s’impliquent en faveur de l’art et de la culture dans leur sens le plus noble. Sofiène et Selma Ouissi, récipiendaires du prix 2016, auront, à l’égard d’Aloès, un devoir moral d’accomplir une oeuvre spécifique durant l’année 2017.

A l’acropolium de Carthage où s’est déroulée la cérémonie, en présence par ailleurs des ambassadeurs de Suisse et de France en Tunisie (respectivement Rita Adam et Olivier Poivre-d’Arvor) le public a eu droit à un formidable concert du guitariste Christoph Denoth et du quatuor Cadences. Un récital à la hauteur des objectifs et des ambitions d’Aloès.

D.T



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Berber: on la choisit parce qu’elle est 100% tunisienne, on y goûte pour ses ingrédients naturels et on l’adopte pour son goût supérieur

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Berber, la marque de bière 100% tunisienne, poursuit sa quête d’innovation et remporte 2 Golden Stars auprès du prestigieux institut International de la qualité et du goût (ITQI Bruxelles), un organisme mondialement reconnu dont la mission est de tester et de promouvoir les produits alimentaires et les boissons.

C’est ainsi que le groupe Sonobra, fort de son expertise dans la production de boissons alcoolisées  et non alcoolisées, ainsi que de ses efforts en recherche et développement, aboutit à un produit à l’équilibre parfait et aux saveurs riches.

Il s’agit de la nouvelle Berber qui se présente aujourd’hui au consommateur sous un nouveau jour. Elle est à présent  bien équilibrée, avec un léger goût floral de houblon et de malt raffiné. Outre le goût, le design a aussi été retravaillé pour devenir encore plus moderne et original. Et ce n’est pas tout: afin d’enrichir la gamme et mieux s’adapter à la demande des consommateurs, la marque est aujourd’hui disponible en deux formats de canettes 24cl et 33cl.

La bière Berber est disponible dans deux formats de canettes 24cl et 33cl.

La bière Berber est disponible dans deux formats de canettes 24cl et 33cl.

Depuis son lancement en février 2014, la marque a mûri au contact du consommateur tunisien. Ce dernier est devenu de plus en plus exigeant, ses goûts et attentes ont changé. Pour rester en phase avec ses fans, Berber se devait donc de se renouveler tout en gardant ses caractéristiques propres, celles qui ont fait son succès.

Pour mettre tous les atouts de son  côté et dans le cadre d’un programme d’amélioration continue de la qualité, Sonobra et son directeur supply chain, Marc De Meyere, n’ont pas hésité à faire subir à la nouvelle Berber l’épreuve du feu : un test auprès d’un prestigieux institut de Bruxelles (ITQI) dont le jury est composé de maîtres sommeliers européens reconnus dans leur profession. Ces derniers ont loué chez Berber « une sensation rafraîchissante, une saveur riche et harmonieuse en bouche, des arômes subtils et équilibrés ».

Riadh Ben Néji, directeur général de Sonobra Group, a souligné à cet effet :« la distinction reçue par Berber est certes une fierté pour nos équipes et pour notre entreprise, mais c’est aussi une fierté pour tous les Tunisiens. Saluons la performance de ce produit 100% tunisien : recevoir une distinction internationale aussi prestigieuse que le ITIQI ne peut être qu’encourageant et stimulant pour notre économie.

Créé en 2007, Sonobra est l’un des plus importants producteurs et distributeurs de boissons, alcoolisées et non alcoolisées en Tunisie. L’investissement du groupe a permis l’acquisition, en 2008, d’une brasserie et d’une usine de boissons non alcoolisées, avec un capital de 50 millions d’euros. Depuis, Sonobra Group, filiale de Heineken International, a investi 30 millions d’euros supplémentaires dans les machines, l’amélioration de la sécurité, les conditions de travail et les différentes activités commerciales. (Communiqué)



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Merike Hallik, présidente de l’ECTAA : « la Tunisie est une destination sûre »

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La Confédération européenne des associations d’agences de voyages et de tour-opérateurs (ECTAA) annonce son soutien à la Tunisie et invite les pays européens à lever les restrictions de voyage sur la destination.

Pendant deux jours, le 1er et le 2 décembre, l’ECTAA a tenu à Tunis sa 114e assemblée générale semi-annuelle à Tunis (Gammarth), une première dans un pays non européen. Ceci grâce au travail acharné consenti par la Fédération tunisienne des agences de voyages (FTAV), qui a su convaincre l’ECTAA de changer ses statuts et accepter d’autres membres hors de l’Europe. Ainsi, elle a pu intégrer la fédération tunisienne en tant que membre international..

De ce fait, la Tunisie a ouvert la porte au Maroc qui a aussi intégré l’ECTAA tandis que d’autres pays comptent le faire bientôt. Après ce premier pas important, puisqu’il permet à la Tunisie d’être toujours présente dans la mémoire des agences de voyages et tour-opérateurs européens, Mohamed Ali Toumi, président de la FTAV, avec son équipe, se sont appliqués à faire tenir l’assemblée générale de l’ECTAA en Tunisie. Une chose qui a été faite « comme du papier à musique » (dixit le SG de l’ECTAA) et dont les retombées sur le tourisme tunisien seront d’une très grande valeur, surtout que l’événement s’est déroulé dans des conditions favorables, et que les membres de l’ECTAA participant à l’assemblée se sont montrés très satisfaits.

L’ECTAA veut soutenir la Tunisie

Merike Hallik, présidente de l’ECTAA, a indiqué, lors de la conférence de presse organisée à Tunis en marge de leur assemblée générale (photo ci-dessus), que : « nous sommes là principalement pour soutenir la Tunisie et découvrir de près la destination. Après ces deux jours que nous avons passés ici, nous considérons la Tunisie comme une destination sûre ».

Merike Hallik, présidente en exercice de l'ECTAA.

Merike Hallik, présidente en exercice de l’ECTAA.

Mohamed Ali Toumi a expliqué, pour sa part, que l’intégration de la FTAV à l’ECTAA est dans le but d’être proche des centres de décision et d’être aussi informés de tout ce qui se passe sur le marché européen. Il a précisé qu’avec la tenue de son assemblée générale à Tunis, l’ECTAA sort pour la première fois de l’Europe. « La Tunisie a gagné ce pari et ce privilège », s’est félicité le président de la FTAV.

Dans son intervention, le secrétaire général de l’ECTAA, Michel de Blust, a considéré que la Tunisie est victime du principe de précaution. « Bien sûr, il y a eu des événements dramatiques qui ont touché le pays, comme c’était le cas pour Paris, Nice, Londres ou Madrid. Nous pensons que sur la base de la situation qui est tout à fait tranquille régnant en Tunisie depuis presque deux ans, les Etats de l’Union européenne qui ont un avis de voyage déconseillant encore le pays sont appelés à revoir leur avis. Je sais que les tour-opérateurs britanniques, hollandais, belges et norvégiens attendent qu’ils puissent reprendre leurs opérations vers la Tunisie. J’espère que cela se passera très vite », a-t-il estimé.

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Michel de Blust, secrétaire général de l’ECTAA.

« J’ai invité l’ambassadrice de Pologne avec ses collègues de l’UE à réfléchir à ne plus déconseiller tout le pays, mais uniquement les frontières algériennes et libyennes. Je pense que cette idée a pris son chemin. Notre présence actuellement en Tunisie, la Conférence Tunisia 2020 et la visite du président tunisien en Belgique, ce sont des choses qui vont aider à changer l’avis des pays réticents », a ajouté le secrétaire général de l’ECTAA.

Faire de la Tunisie la destination préférée de l’ECTAA

Mohamed Ali Toumi a, par ailleurs, révélé, que le prochain objectif de la FTAV est de déclarer la Tunisie « destination préférée de l’ECTAA ». Michel de Blust a informé, dans ce contexte, que le programme de choisir un pays comme destination préférée de l’Europe offre plusieurs avantages au pays concerné et une grande visibilité sur le marché européen. Dans le programme, figurent la tenue d’une assemblée générale de l’Association dans la destination sélectionnée, faire une promotion ciblée de la destination auprès des tour-opérateurs et des agences de voyages qui sont membres et sur les réseaux sociaux, y organiser des Roadsows et des éductours et la conception des packages ciblés pour le pays. M. de Blust a déclaré que la destination de 2017 a été éjàd choisie. Pour 2018, l’ECTAA a été déjà approchée par la Malaisie. Donc, le choix de la Tunisie en tant que destination préférée de l’Europe est fort possible pour 2019.

K.C

Mohamed Ali Toumi, président de la FTAV.

Mohamed Ali Toumi, président de la FTAV.



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Croisières à la Goulette: reprise timide mais reprise quand même

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Le terminal de croisière de la Goulette a accueilli hier le navire Amadea MS de l’armateur allemand Phoenix Reisen avec à son bord 441 passagers germanophones qui a fait escale de 11h00 à 18h00.

Plus de la moitié des passagers avait réservé des excursions en bus pour visiter les attractions phares de l’escale: les ruelles et les souks de la Médina, les ruines de Carthage ou encore Sidi Bou Saïd.

D’autres ont préféré prendre des taxis ou se balader à pied dans le village de croisières de la Goulette où diverses échoppes leur étaient réservées proposant des produits locaux d’artisanat ou du terroir.

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L’escale du navire Amadea est la deuxième escale de l’année après celle du navire Europa en octobre dernier. Elle confirme le retour de la destination Tunisie dans les itinéraires de croisière en Méditerranée.

Le terminal de croisière de la Goulette et les professionnels du secteur de la croisière se réjouissent de cette escale et ne comptent pas arrêter leurs efforts pour promouvoir la Tunisie lors des prochains RDV de l’industrie de croisière à l’échelle internationale.

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A Gammarth, « la Cigale » va implanter un complexe touristique Premium

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En marge de la Conférence internationale de l’investissement tenue les 29 et 30 novembre 2016,  Selma Elloumi-Rekik, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, a procédé ce matin au Palais des Congrès de Tunis, et en présence de Youssef Chahed, chef du gouvernement, à la signature d’un accord d’investissement avec le groupe « Majda Tunisia Holding » portant sur le lancement d’un mégaprojet touristique intégré à Tunis pour un investissement global de 200 millions de dollars.

Le projet La Cigale, qui sera implanté dans la zone touristique de Gammarth (banlieue Nord de Tunis), porte sur plusieurs composantes dont notamment un hôtel de catégorie cinq étoiles avec une capacité de 550 lits, 90 villas de haut standing d’une capacité de 500 lits, un palais de congrès de 5000 places, un centre de thalassothérapie, un centre commercial dédié aux grandes marques internationales et plusieurs salles de cinéma.

Le projet, dont les travaux démarreront en décembre 2016, fournira 1500 emplois directs. La ministre a, à cette occasion, salué l’engagement et la confiance de ce groupe à l’égard de la Tunisie et de son tourisme exprimant la disponibilité de son ministère à soutenir et à accompagner la réalisation de ce projet dans les meilleures conditions.

Plus tôt dans matinée, Adel Alaya, directeur général de Majda Tunisie, société ayant racheté la Société des villages de vacances, propriétaire de l’ancien hôtel Dar Naouar, sur lequel sera implanté le nouveau projet, avait précisé, sur les ondes de la radio Express FM, qu’il s’agissait du projet ‘La Cigale’, un complexe touristique qui sera opérationnel en 2020, tandis que l’hôtel fera partie d’une seconde composante.

Le directeur général de la société Majda Tunisie avait indiqué, dans le même contexte, que sa société travaillait sur ce projet depuis un an et attendait juste les autorisations nécessaires pour donner le coup d’envoi des travaux.

D’ailleurs, le mémorandum d’entente signé avec le ministère du Tourisme et de l’Artisanat leur permettra de travailler sous la couverture de l’autorité de tutelle. « Une chose qui aidera à faciliter les aspects procéduraux à la société et accélérera les démarches pour mettre le projet sur pied » a précisé A. Alaya.

Il est à rappeler, in fine, que la société Majda Tunisie, appartenant à l’homme d’affaires Victor Nadhim Agha, a racheté la Société des villages de vacances (SNV) en mai 2016 pour un montant s’élevant à 18,215 millions de dinars.

Lire nos articles sur le même sujet:

Le groupe qatari « La Cigale » débarque à Gammarth

Vente du Dar Naouar: tempête dans un verre d’eau

 



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La petite phrase de Manuel Valls sur le tourisme

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Le Premier ministre français Manuel Valls a réitéré son appel, le 28 novembre lors de son discours annoncé à la Kasbah en présence du chef du gouvernement Youssef Chahed, aux touristes français pour revenir en Tunisie et profiter de « ce beau pays ».

Il est à rappeler, dans ce sens, que M. Valls avait lancé le même appel, il y a à peine deux semaines, lors de la visite de Y. Chahed en France, en invitant les Français à aller en Tunisie.

Par ailleurs, Mohamed Fadhel Abdelkefi, ministre du Développement, de l’Investissement et de la Coopération internationale a regretté que la Tunisie subisse encore les conséquences des restrictions de voyager imposées par certains pays importants, en les appelant à lever ces restrictions.

Il a ajouté aussi que le gouvernement ne ménagera aucun effort pour les convaincre de le faire, tout en rappelant que la Tunisie est en train de repenser aujourd’hui son modèle du tourisme et repositionner ce secteur afin de jouer un rôle plus important dans l’économie tunisienne.



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Chiraz Triki El Ghoul: honneur à l’illustre pâtissière

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Il faut croire que, comme un amour  longtemps caché, la gastronomie s’est réveillée ces dernières années pour atteindre les plus récalcitrants des citoyens et ouvrir la voie aux jeunes ambitieux qui prennent le chemin de la cuisine.

Vendredi, Mounir Arem, président de l’Académie nationale de la cuisine, a organisé une soirée en l’honneur de Chiraz Triki El Ghoul, chef pâtissier, lauréate du Prix de la meilleure pièce artistique du concours la Toque d’or catégorie « Professionnels pâtisserie »,  et propriétaire de la pâtisserie Saveur Magenta; le maître de céans a mis les petits plats dans les grands pour accueillir ses pairs, les journalistes et le cercle d’amis viveurs gastronomes.

Les cuisiniers, tous en toques et en habit de chef, rehaussés de médailles sur cordons de différentes couleurs, s’en sont donnés à cœur joie pour communiquer leur adresses, converser sur les activités de leurs associations, leur projets personnels… Il y régnait un parfum de convivialité, un esprit de corps et la saveur du métier bien fait. En vedette, Chiraz arrive un peu tard, applaudissements et discours de bienvenue, Arem ne tarit pas d’éloges: « Elle fait honneur à la profession, son sacrifice, sa pugnacité, son ouverture sur l’autre, tant de qualités que nous devons adopter dans notre métier, elle est un modèle de réussite… Et il continue: « nous avons toutes les conditions pour aller loin et concourir dans les meilleurs rendez-vous culinaires, Chiraz est un exemple pour les jeunes ». Un discours nappé de compliments qui nourrit l’ambiance d’optimisme.

Mounir Arem et Chiraz Triki El Ghoul

Mounir Arem et Chiraz Triki El Ghoul

Les membres du bailliage de la confrérie de la Chaîne des Rôtisseurs sont venus en force,  les Toques blanches et d’autres représentants d’associations tournant autour des métiers de bouche se sont rencontrés autour d’un buffet riche rehaussé par des pâtisseries préparées par la vedette de la soirée qui a prononcé un discours de remerciement «  je crois à la noblesse de notre métier quand il est fait avec conscience… », précise-t elle.

Entre deux bouchées,  le jeune chef et coqueluche des gastronomes Ali Dey Dali, lauréat du premier prix Toque d’or en 2015 « plat imposé » et actuellement maître des fourneaux au restaurant Baboucha ( quartier du Lac) adresse ses félicitations à Chiraz en termes enrobés et chaleureux.

 



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Air Algérie ouvre une ligne Annaba-Tunis

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Le transporteur public algérien a confirmé la mise en place à compter du 22 mars 2017 d’une nouvelle desserte entre Annaba et Tunis.

Les vols d’Air Algérie seront assurés par un ATR 72 et sera opéré à raison de 3 fréquences hebdomadaires, les mercredi, vendredi et dimanche sous le numéro AH 4008/4009.

Le départ de Annaba se fera à 9h25 pour une arrivée une heure plus tard à Tunis tandis que l’appareil, un ATR 72, redécollera de Tunis à 11h15 pour arriver à 12h20 à Annaba.

Le vol n’est cependant pas encore ouvert à la réservation.

 



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Rencontre des Anciens tunisiens de l’une des meilleures écoles au monde en « hospitality » management

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Zouhaier Sammoud, Ambassadeur du chapitre Tunisie de l’Association des anciens de l’Institut de Hautes Etudes de Glion en Suisse (A.A.G), a organisé une rencontre des anciens de différentes générations (promotion 1962 à des étudiants en cours de cursus académique)Autour d’un cocktail dînatoire, près d’une trentaine d’anciens de Glion se sont rencontrés au restaurant The Cliff – La Marsa, géré par sa propriétaire Glionnaise, Sophie Fourati.

La présence des ambassadeurs d’honneur, les vétérans Mounir Ben Miled (promotion 1962) et Béchir Ennouri (promotion 1962), figures emblématiques du tourisme tunisien, constituait la cerise sur le gâteau. La rencontre était fructueuse dans une optique de consolider le réseau de l’A.A.G Tunisie, de fructifier des collaborations Business to Business au sein du chapitre Tunisie et de tisser des liens avec les autres chapitres à travers toute la planète (70 pays).

Il est à noter que le réseau A.A.G compte plus de 13.600 anciens de Glion dont une bonne partie occupent des postes de décideurs dans des grandes multinationales du secteur de tourisme, des marques de luxe, des banques privées etc.

Sans oublier les anciens de l’International School of Hotel Management Le Roches, représenté par Ghizlaine Lahrabi (Conseillère d’éducation Maroc et Tunisie) et Sara Jaziri Stenberg, racheté par le même groupe  Eurazeo, ce qui amène la communauté à plus de 25.000 membres à travers le monde.

 Pour l’année 2017, le Chapitre Tunisie se déploie comme suit :

  • Organisation de plusieurs rencontres au sein du réseau A.A.G Tunisie.
  • Renforcer les échanges du chapitre Tunisie avec les autres chapitres à travers le monde
  • Nouer des liens d’échange, de Networking et de rencontres B2B avec d’autres associations d’Alumni d’universités prestigieuses ou de communautés qui œuvrent pour des causes similaires ou interférentes.

 

 

 



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Traveltodo lance un espace VIP pour les séjours Club Med

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L’agence de voyage Traveltodo annonce l’inauguration de son nouveau « espace VIP dédié aux voyages sur mesure et séjours Club Med », au premier étage de son point de vente situé sur les Berges du Lac à Tunis. Il s’agit d’un espace ultra connecté destiné à accueillir sa clientèle la plus exigeante dans un cadre convivial, professionnel et chaleureux afin de lui faire prendre le temps de choisir, de l’orienter et de la conseiller de façon personnalisée. Les conseillères voyages Seniors ont été formées de sorte à répondre à toutes les demandes des voyageurs, même les plus complexes.

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C’est aussi l’occasion pour Traveltodo de mettre en avant son identité de spécialiste du voyage en proposant à sa clientèle haut de gamme des prestations et des produits sur-mesure, à la hauteur de leurs attentes et adaptés à leurs besoins.

Hormis cet espace luxueux, ce point de vente dispose de tous les services habituels proposés par l’agence, à savoir les voyages organisés, la billetterie et autres prestations.

L’agence Traveltodo lance par la même occasion des produits exclusifs  tels que les séjours « Club Med  » dont elle détient l’exclusivité de la vente au départ  de la Tunisie.

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La Marina de Monastir, premier port de plaisance en Afrique à obtenir la certification ISO 14001 V 2015

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La Marina de Monastir annonce avoir obtenu la certification ISO 14001 V 2015 spécifique à un système de management environnemental qui contribue au pilier environnemental du développement durable.

« Il s’agit du premier port de plaisance en Afrique à l’obtenir » souligne l’exploitant du port. Délivrée par le bureau d’études international Veritas à la Compagnie Touristique Arabe (CTA) gestionnaire de la marina, cette certification témoigne d’un engagement ferme de l’ensemble de la Compagnie et de la mise en place à tous les niveaux de la Marina de dispositifs systématiques qui constituent une valeur ajoutée significative. Elle s’inscrit dans une démarche environnementale qui est consacrée par l’obtention renouvelée chaque année depuis 2009 de l’écolabel international Pavillon bleu qui récompense et valorise les gestionnaires des plages et ports de plaisance pour leurs efforts en matière de protection de l’environnement.

« C’est l’expression de notre sens de la responsabilité environnementale, déclare Hédi Reguig, PDG de la CTA, et de notre volonté d’offrir aux plaisanciers, mais aussi aux résidents et visiteurs un cadre ami de la nature, respectueux de l’environnement, conforme aux exigences internationales. Il s’agit pour nous d’un axe stratégique qui, au-delà de la Marina, s’intègre dans la démarche tunisienne d’ensemble en faveur du développement durable

Le Port de plaisance de Monastir est doté de 300 anneaux, proposant à ses plaisanciers toutes les commodités nécessaires et donnant à leur sécurité une importance capitale puisqu’il est surveillé 24h/24 par des agents de sécurité et par des caméras de surveillance.
Outre le port de plaisance, la Compagnie Touristique Arabe (CTA) gère un ensemble d’appart-hôtel composé de 56 appartements et 10 locaux commerciaux.

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La Marina de Monastir, construite en 1985, se distingue par nombre d’atouts attractifs. D’abord son emplacement quasiment au centre-ville de Monastir, avec son patrimoine historique très riche et son animation continue toute l’année. Et ensuite sa proximité à 6 km seulement de l’aéroport international Habib Bourguiba. Elle est également à 25 km de Sousse. Autant d’avantages qui en ont fait l’une des destinations connues et appréciée dans la région. Son port de plaisance qui est à la fois un port d’escales, de passages, d’hivernages et de régates, a fait de la Marina et de la ville le point d’appui des clubs nautiques les plus réputés en Europe et un lieu de rencontre international convivial et privilégié.



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Korbous: Férid Abbès confirme son partenariat avec le groupe Louvre Hotels

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Férid Abbès, propriétaire de la société hôtelière Port Prince, qui achève actuellement la construction d’un hôtel à Korbous, a confirmé la signature d’un accord avec le groupe Louvre Hôtels.

« Nous avons le privilège de vous faire part de la signature de l’accord entre notre Société Hôtelière et le Groupe Louvre Hôtels pour la prise en gestion de notre établissement par Royal Tulip Korbous Resort & Spa ». En effet, l’établissement sera exploité sous l’enseigne Royal Tulip. « Notre établissement vous offrira dans le cadre exceptionnel d’une crique surplombant le Golfe de Tunis des prestations hôtelières d’un standing de cinq étoiles agrémentées par les plaisirs de la découverte d’une thalasso pleine vue mer et des bienfaits d’une source chaude au cœur de notre espace thermal. Notre hôtel s’emploiera, en vous invitant, à faire revivre les heures de gloire du village de Korbous et de ses sources chaudes millénaires » a également ajouté le promoteur (à gauche sur la photo).

127 chambres et 41 suites

Il s’agit d’un établissement situé en front de mer sur la partie sud du Golfe de Tunis. Il a été construit sur un flanc de montagne en plein cœur d’un maquis méditerranéen, riche de couleurs et de  senteurs. Il semble suspendu entre le ciel bleu, la terre ocre et les eaux turquoises de la mer d’une limpidité exceptionnelle. De catégorie 5 étoiles, il comprend 127 chambres de luxes de 45 m², 41 suites de 90 m², 1 suite présidentielle de 250m², 3 villas (2 de 250 m² et une de 500 m²) avec piscine privée. Toutes les chambres sont dotées d’une salle de bain en marbre et de chauffage central.

Pôle de tourisme de santé

Un centre de tourisme de santé regroupera un centre de thalassothérapie et un centre thermal (3500m²) constitué de 40 cabines de soins, d’une  piscine couverte, d’un bassin de relaxation, d’un  hammam et d’un sauna. Quatre cabines doubles de luxe avec terrasses privatives surplombant la mer ont été réalisées pour y dispenser aux couples les différents soins proposés. La capacité du centre est de 200 curistes par jour.

L’hôtel dispose en outre d’une salle de conférences qui permet d’accueillir 300 personnes, d’un business centre, d’un night-club et d’un café maure. Egalement 4 restaurants et 2 bars avec terrasses dominant la mer.

Tradition arabo-mauresque

Ahmed Smaoui, président-directeur général de la société, a déclaré pour sa part : « A moins d’une heure de Tunis et dans un cadre naturel exceptionnel, Korbous a longtemps été le lieu de prédilection de la détente et de la relaxation, l’hôtel Royal Tulip ambitionne de faire revivre cette tradition. L’hôtel a l’architecture d’inspiration arabo-mauresque et propose des chambres spacieuses, des suites luxueuses et des villas équipées de piscine privée. En associant l’eau de mer aux eaux thermales de Korbous, le centre de soins pourra proposer des traitements exceptionnels » .

Ahmed Smaoui et Amine Moukarzel (à dr.) lors de la signature de l'accord.

Ahmed Smaoui et Amine Moukarzel (à dr.) lors de la signature de l’accord.

De son côté, Amine E. Moukarzel, président du groupe Louvre Hôtels et de Golden Tulip pour la région MENA, a déclaré lors de la cérémonie de signature : « Nous tenons à remercier les propriétaires pour un tel investissement qui nous permettra de renforcer notre présence en Tunisie et nous aidera à atteindre notre objectif en diffusant notre nom dans un pays si merveilleux, où l’hospitalité et la convivialité résident dans le cœur. La forte présence de nos hôtels en Tunisie et dans la région du Moyen Orient & Afrique du Nord est soutenue par le groupe Louvre Hôtels qui compte actuellement plus de 1250 hôtels dans 50 pays et qui est également le deuxième plus grand groupe hôtelier en Europe, capitalisant toujours sur les normes internationales, les saveurs locales, avec des suites d’hôtels et des unités allant de 2 à 5 étoiles ».

Dans le top 5

Louvre Hotels Group est considéré comme l’un des plus grands groupes hôteliers d’Europe et dans le top 5 des opérateurs globaux, soutenu  par sa force d’actionnaires et sa taille dans l’industrie hôtelière. Sous la propriété de Jin Jiang, Louvre Hotels Group fait partie d’une plate-forme qui comprend plus de 5500 hôtels et plus de 640.000 chambres dans plus de 51 pays.

Basé à Paris, France, le groupe opère  6 marques hôtelières: Première Classe (hôtellerie Low Cost), Campanile (réseau d’hôtels-restaurants 2 et 3 étoiles), Kyriad (du 2 au 4 étoiles), Tulip Inn (hôtels 3 étoiles axant sur le rapport qualité/prix), Golden Tulip (hôtels 4 étoiles avec standards internationaux) et Royal Tulip (hôtels 5 étoiles).

Lire aussi sur le même sujet:

Un hôtel Royal Tulip à Korbous: inauguration prévue pour le premier semestre 2017



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La Tunisie dans le programme de la première semaine de la cuisine italienne dans le monde

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La première Semaine de la cuisine italienne dans le monde se déroule du 21 au 27 novembre 2016. Au programme, environ 1300 événements qui promeuvent la cuisine italienne de qualité, 295 missions diplomatiques et consulaires ainsi que des instituts italiens de culture qui coordonnent les initiatives de divers acteurs du Made in Italie. Rencontres avec des chefs, dégustations, dîners et cours de cuisine mais aussi des projections de films et de documentaires liés à la cuisine italienne, des séminaires portant sur l’histoire d’une cuisine ancestrale de plus de 3000 ans. Des concerts, des cours de langues ainsi que des expositions photographiques sur le thème de la cuisine italienne seront organisés. Les acteurs centraux seront en effet des cuisiniers italiens de renommée mondiale ainsi que les jeunes des écoles triés sur le volet.

En Tunisie, l’événement démarre à Sidi Bou Saïd. En effet, avec la participation de l’ambassade d’Italie, l’Institut italien de la culture et la Chambre tuniso-italienne de commerce et d’industrie (CTICI), et avec la participation du Consortium « Enjoyapulia », une soirée est organisée à partir de 20h00 le 21 novembre au restaurant Dar Zarrouk sous le thème de la cuisine et la gastronomie italiennes et plus exactement des produits de la région de la Puglia, avec la présence du chef italien Giuseppe Galena qui fait partie de quatre générations de grands chefs, diplômé de la prestigieuse Académie de Galena, véritable phare du sud de l’Italie en matière de cuisine et de gastronomie. Vainqueur aux Jeux Olympiques de la cuisine, il a été également chef du Prince Albert de Monaco et a participé à de nombreuses émissions télé.

Il s’agira d’une occasion non seulement pour faire connaître les produits du terroir Pugliese mais également de créer des opportunités d’échange et de partenariat dans le domaine agroalimentaire et de faire connaître les produits d’excellence tunisien.

La cuisine est l’une des composantes essentielles de l’identité et la culture de chaque pays. Elle a toujours été un pont entre les peuples, un vecteur d’art culinaire mais aussi de fraternité et de convivialité.

Lieux où vont se dérouler les événements relatifs à la Semaine de la cuisine italienne dans le monde.

Lieux où vont se dérouler les événements relatifs à la Semaine de la cuisine italienne dans le monde.



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Un hôtel Royal Tulip à Korbous: inauguration prévue pour le premier semestre 2017

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L’hôtel de luxe sous l’enseigne Royal Tulip à Korbous, érigé sur le site de l’ancien hôtel Aïn Oktor qui a été racheté et transformé en l’hôtel Port Prince par l’homme d’affaires Férid Abbès, sera inauguré fin du premier semestre 2017 si l’on en croit les annonces faites.

Cet établissement de catégorie 5 étoiles et dont les travaux sont à l’arrêt depuis 2005 fait partie de tout un projet dans le tourisme médical. Outre l’hôtel d’une capacité de 300 lits, il comprend aussi un grand centre de thalassothérapie et un centre thermal de grande qualité et d’une capacité de 200 curistes par jour.

Le ministère du Tourisme a annoncé récemment dans un communiqué rendu public que toutes les contraintes qui entravaient  l’achèvement des travaux de l’hôtel Royal Tulip à Korbous ont été résolues et que les travaux ont redémarré tambour battant pour qu’ils soient achevés dans les plus brefs délais.

La ministre du Tourisme, Selma Elloumi Rekik, en visite récente sur le site de l'hôte, en présence de son promoteur, Férid Abbès, et de son PDG, Ahmed Smaoui (à l'extrême gauche).

La ministre du Tourisme, Selma Elloumi-Rekik, en visite récente sur le site de l’hôtel, en présence de son promoteur, Férid Abbès, et de son PDG, Ahmed Smaoui (à l’extrême gauche).

Cette première et unique unité hôtelière dans la Méditerranée spécialisée dans la thérapie sur la base de l’eau de la mer et l’eau thermale vise, en fait, à assurer aux curistes des services de très grande qualité et à diversifier l’offre touristique dans la région, ainsi qu’à attirer une nouvelle niche de touristes.

Les professionnels estiment que ce projet aura pour effet de créer une certaine dynamique dans la région de Korbous et de répondre aux besoins d’une clientèle spécifique et exigeante. Néanmoins, il reste un problème qui guette les habitants de la région. Il s’agit de l’infrastructure désuète et la route qui mène à la ville hors service depuis plusieurs années.

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Réservation en ligne: Chancia, la nouvelle petite soeur de Traveltodo

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Le groupe Splendid Tour SA, propriétaire notamment de Traveltodo, première agence de voyage en ligne en Tunisie, annonce le lancement officiel de son tout nouveau portail de réservation hôtelière Chancia.

www.chancia.com. Il s’agit d’un site permettant la réservation d’hôtels en Tunisie en ne payant qu’une petite avance par carte bancaire, le solde étant réglé à l’arrivée du client à l’hôtel.

Tarek Lassadi, directeur général de Traveltodo, explique le pourquoi du lancement de Chancia: « Selon la dernière étude stratégique réalisée par un cabinet de renommée pour le compte de Splendid Tour SA, 45% des clients préfèrent payer leurs séjours directement à l’hôtel. C’est pour cette raison que nous avons créé Chancia.com pour servir cette catégorie importante de consommateurs en complément à note site traditionnel Traveltodo ».

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Et pour ceux qui ne souhaitent pas payer l’avance en ligne, il est toujours possible de s’adresser à l’une des 31 agences et points de vente sous l’enseigne Traveltodo pour payer l’acompte nécessaire à la validation de la réservation faite sur Chancia.com. De plus, les clients qui souhaitent profiter de l’expertise d’une conseillère de voyage continueront à s’adresser aux agences de Traveltodo.

« Chancia.com s’adresse à une clientèle connectée, qui peut se servir seule via le site en toute autonomie. C’est pour cela que les prix seront plus intéressants vu l’économie générée avec ce nouveau modèle que nous avons mis en place » explique encore Tarek Lassadi.

Autre atout de Chancia.com, c’est que le client qui réserve une chambre d’hôtel jouit d’un accès ultra rapide à l’information étant donné l’absence volontaire de photos sur le site (il est cependant possible de visualiser la partie média en cliquant sur un lien qui figure sur la fiche de l’hôtel choisi).

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Bénéficiant de l’expertise de Traveltodo en matière de réservation en ligne, Chancia.com comprend deux innovations majeures. Tout d’abord les « ventes privées ». En effet, sur simple inscription, les clients peuvent disposer (via un espace sécurisé) de remises exceptionnelles pouvant atteindre les 80% sur certains hôtels. Des opérations de déstockage de dernière minute seront lancées régulièrement sur le site pendant des horaires limités de la journée. Ces avantages ne seront accessibles qu’aux seuls inscrits et ne seront pas visibles ni sur la Toile ni par les robots des moteurs de recherche.

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Et pour être encore plus attractif et séduire un maximum d’utilisateurs, les clients pourront à n’importe quel moment gagner une chambre gratuite. En effet, un compteur est placé derrière chaque hôtel  qui comptabilise les chambres vendues. Chaque 20 chambres réservées, le système génèrera un voucher gratuit pour la 21ème chambre réservée.

Il est à noter que le site Chancia.com s’adapte à tous les écrans (responsive) et que son application sous Android et Apple Store est disponible en téléchargement gratuit.

 



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A Shanghai, l’ONTT lorgne vers China Southern Airlines

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A l’occasion de la tenue du dernier salon du Tourisme de Shanghai en Chine, le directeur général de l’ONTT, Abdellatif Hmam, a rencontré plusieurs responsables d’agences de voyages et de tour-opérateurs locaux et ce dans le cadre des actions de promotion engagées au départ du marché touristique chinois vers la Tunisie.

Mais il a également rencontré des responsables de la compagnie aérienne China Southern Airlines à qui il a adressé une invitation à venir en Tunisie pour prendre part à la conférence internationale sur l’investissement qui se tient à la fin du mois courant.

Durant cette prise de contact, le responsable de l’ONTT, mandaté par la ministre du Tourisme et de l’Artisanat, a souligné la disposition des autorités tunisiennes d’étudier tout projet et notamment celui d’ouverture de ligne aérienne.



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Un quatuor de chefs tunisiens à la Coupe du Monde de la Pâtisserie 2017

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Un groupe de chefs pâtissiers tunisiens sont qualifiés pour la Coupe du Monde de la Pâtisserie qui aura lieu à Lyon les 22 et 23 janvier 2017 dans le cadre du SIRHA (Salon International de la Restauration et de l’Hôtellerie).

Au  SIRHA de Lyon, 22 nations participent, dont la Team tunisienne conduite par son président, le chef Feker Jlassi, qui sera entouré de ses confrères Wissem Essoufi, Said Ali Ounalli et Ramon Kooli.

Depuis 2008, la Tunisie s’est à chaque fois qualifiée et souvent distinguée lors des concours de sélection à cette prestigieuse coupe, en remportant notamment le 1er Prix de l’œuvre en Chocolat en 2010 (sélection CMP), la Médaille d’Argent à la Coupe d’Afrique à Casablanca en 2011 ainsi que la Médaille de Bronze à la Coupe d’Afrique en 2013 et 2015.

Feker Jlassi rappelle que la sélection tunisienne s’était déplacée en mai dernier à Marrakech au Maroc pour prendre part à la Coupe d’Afrique de la Pâtisserie (8 pays participant) et avait décroché la médaille de bronze.

« Cette année, nos objectifs volent beaucoup plus haut et la Team se prépare activement, exactement comme des athlètes sportifs le feraient. Nos ateliers de formations nous amèneront non seulement en Tunisie, mais aussi à l’étranger pour maîtriser les techniques de l’art du sucre, du chocolat et de la glaceNous remercions du fond du cœur les sponsors et les partenaires qui nous aident déjà dans cette quête de l’excellence, mais nous espérons encore plus d’aide des pouvoirs publics que nous avons sollicités et desquels nous attendons un franc soutien… »

Une Coupe du Monde placée sous le signe de la finesse, de l’excellence et de la précision technique

Dans le cadre de ce prestigieux concours et sous le pavillon tunisien, Chef Wissemeddine Essoufi confectionnera une pièce artistique en chocolat et 15 desserts à l’assiette identiques ; Chef Saïd Ali Ounalli, une pièce artistique en sucre et 3 entremets au chocolat identiques tandis que Chef Ramon Kooli préparera une pièce artistique en glace hydrique sculptée et 3 entremets glacés aux fruits, identiques.

Plusieurs sponsors ont soutenu cette équipe qui s’entraîne tous les lundis afin de parfaire leur participation qui sera suivie de près par la cinquantaine de TV notamment qui couvriront cet événement et dont la portée se répercute également sur l’image de la Tunisie en tant que destination touristique.



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Une centaine d’agents de voyages français attendus en Tunisie

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L’ONTT France organise du 17 au 20 novembre 2016 un mégatour  avec le voyagiste Mondial Tour destiné à une centaine d’agents de voyages français. S’inscrivant dans le cadre des actions de relance de la destination et pour permettre aux prescripteurs de voyage de s’enquérir de la situation sur le terrain, cette opération les conduira à Tunis, Carthage et Hammamet. Le transport de la délégation sera assuré par la compagnie Nouvelair, partenaire de Mondial Tour. Une deuxième action du même genre est attendue pour le mois d’avril 2017.



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Le Wi-Fi fait désormais partie du voyage au point d’avoir une incidence sur le choix en matière d’hôtels

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Pass Inc., fournisseur de solutions de connectivité mobile leader sur le marché mondial, a dévoilé aujourd’hui les conclusions de son rapport 2016 sur les professionnels mobiles. Compilant les réponses de plus de 1 700 professionnels mobiles du monde entier interrogés sur leurs habitudes et leurs préférences en matière de connectivité, le rapport d’iPass souligne l’influence toujours croissante du Wi-Fi sur notre quotidien.

Les principales conclusions de cette étude sont les suivantes :

  • 40 % des participants interrogés placent le Wi-Fi au premier rang de leurs priorités dans la vie quotidienne, avant la sexualité (37 %), le chocolat (14 %) et l’alcool (9 %).
  • 75 % des participants déclarent que le Wi-Fi a amélioré leur qualité de vie.
  • 63 % des personnes interrogées préfèrent utiliser les points d’accès Wi-Fi plutôt que les services de données mobiles
  • 75 % des participants déclarent attacher plus d’importance au volume de données qu’au temps de communication dans le choix de leur forfait mobile

« Nous tenons tous à rester connectés et productifs dans notre vie personnelle et professionnelle. Les professionnels mobiles, en particulier, tiennent à rester connectés en toutes circonstances : à leur domicile, durant leurs déplacements d’une réunion client à une autre, à l’hôtel et même en avion », explique Patricia Hume, directrice commerciale d’iPass. « Nous avons tous une préférence pour le Wi-Fi en raison des débits plus élevés, des économies et de la meilleure qualité d’expérience utilisateur dont il nous fait bénéficier. Avec une population mondiale de travailleurs mobiles dépassant largement le milliard d’individus, les employeurs doivent donc se tenir prêts à satisfaire la demande de leurs employés en leur procurant la connectivité à laquelle ils aspirent. »

Le Wi-Fi a une incidence sur les choix en matière de déplacement

Pour les travailleurs mobiles soucieux d’éviter des frais de données et d’itinérance exorbitants, le Wi-Fi fait désormais partie du voyage au point d’avoir une incidence sur leurs choix en matière d’hôtels, de compagnies aériennes et autres options de déplacement.

  • 72 % des participants on déjà pris l’expérience Wi-Fi en considération lors du choix d’un hôtel, et 21 % déclarent appliquer systématiquement ce critère.
  • 35 % des personnes interrogées déclarent avoir déjà tenu compte de l’expérience Wi-Fi pour choisir une compagnie aérienne.
  • 72 % des participants utilisent l’accès Wi-Fi gratuit lorsqu’il est disponible dans les aéroports.
  • 73 % des participants n’ont jamais utilisé d’accès Wi-Fi payant dans un aéroport à des fins professionnelles, un pourcentage qui grimpe à 78 % pour les utilisations personnelles.

« L’expérience Wi-Fi a de plus en plus d’incidence sur les choix des professionnels mobiles en matière de déplacement, et ce, y compris dans les airs, puisqu’un tiers des personnes interrogées ont déjà choisi une compagnie aérienne en fonction de son offre de connectivité Wi-Fi. L’époque où le Wi-Fi à l’aéroport ou en vol constituait simplement « un plus appréciable » est bel et bien révolue. Les travailleurs mobiles ne se satisfont plus de rester oisifs en attendant leur vol. Ils entendent au contraire profiter de ce temps précieux pour rester productifs ou simplement se distraire », poursuit Patricia Hume.

Méthodologie

Ce rapport s’appuie sur les informations recueillies dans le cadre d’une étude menée par iPass auprès de 1 700 employés mobiles. Les participants à cette étude ont été interrogés sur leurs habitudes, leurs préférences et leurs attentes en matière de connectivité, et invités à émettre des opinions sur leur degré de dépendance vis-à-vis de la connectivité mobile.

Réalisée entre le 12 et le 31 août 2016, cette étude a recueilli les réponses d’un échantillon d’employés mobiles couvrant différentes tranches d’âge et zones géographiques. 60 % des participants étaient issus d’Amérique du Nord, et 40 % provenaient de différents pays européens. Les réponses ont été examinées par région, par tranche d’âge et par sexe.

 



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Deux chefs tunisiens au Trophée de la Toque d’Or 2016

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Deux chefs tunisiens, l’un cuisinier et l’autre pâtissier, ont été sélectionnés à participer au Trophée de la Toque d’or 2016 qui va avoir lieu le 16 novembre en France.

Le chef Bilel Wechtati, du restaurant Le Baroque à Tunis, dans la catégorie « Professionnels de cuisine », avec mention spéciale du jury, et le Chef Chiraz Triki El Ghoul, de « Saveur Magenta », dans la catégorie « Professionnels Pâtisserie », prendront part à ce prestigieux concours organisé par l’Académie Nationale de Cuisine, la plus grande association de chefs en France. Ce concours comporte un palmarès général et des prix spéciaux par catégories.

Le chef cuisinier Bilel Ouechtati.

Le chef cuisinier Bilel Ouechtati.

Suite à une première présélection, ces deux Tunisiens ont été admis à participer à la finale de ce concours dans les catégories « Toque d’or cuisine » et « Toque d’or pâtisserie ». Réservés aux professionnels âgés de plus de 23 ans et justifiant de cinq années minimum de pratique après l’apprentissage, les candidats se devaient, pour être retenus, de proposer une recette inédite de cuisine ou de pâtisserie, réalisée avec des produits d’une province ou d’une région de leur choix.

Le chef Bilel Wechtati participera donc à ce concours avec une recette détaillée présentée à l’assiette ou en plat comportant une définition succincte du plat, le bon d’économat et une photo en couleur du met proposé qui tournera autour du thème du saumon. Chiraz Triki El Ghoul sera tenue aux mêmes conditions pour la présentation de son dessert sur le thème du chocolat.

Chiraz El Ghoul, chef pâtissier.

Chiraz Triki El Ghoul, chef pâtissier.

Le jury est composé de 70 membres dont certains noteront l’aspect technique tandis que d’autres jugeront le côté dégustation. Pour Mounir Arem, président de la délégation tunisienne de l’ANC (Académie nationale de cuisine), la présence de deux participants tunisiens à ce concours prestigieux est déjà une victoire en soi.

Au-delà de la présence symbolique de ces compétiteurs tunisiens, il s’agit aussi et surtout d’une reconnaissance pour les professionnels des métiers de bouche qui ne sont pas assez valorisés selon Karim Ellouze, membre de l’ANC. « C’est une fierté pour nous de porter cette blouse blanche » confirme pour sa part Mounir Arem, président de l’ANC.

Cette académie œuvre en tout cas à faire évoluer la gastronomie et la cuisine en Tunisie, secteurs fondamentaux dans l’offre touristique tunisienne (photo ci-dessus des membres de l’Académie).

Lors de l’édition 2015 de la Toque d’Or, le chef tunisien Ali Dey Dali (restaurant Babboucha aux Berges du Lac), avait remporté le 1er prix dans la catégorie plat imposé.

 



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Safi Said ou le « terrorisme verbal » à l’encontre du tourisme

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Dans un communiqué commun (suffisamment rare pour être souligné) qu’ils ont rendu public aujourd’hui, les syndicats patronaux et ouvriers du Tourisme, l’UGTT, la FTH et la FTAV ont exprimé leur indignation par rapport à ce qui s’est dit sur la chaîne TV El Hiwar Ettounsi dimanche dernier dans une émission en Prime Time.

Les mots pour dénoncés ses déclarations sont lourds de sens: « propos irresponsables » « ignorance totale », « une somme d’inepties».

L’invité de cette émission a en effet tiré à boulets rouges sur le tourisme tunisien et sur tous ceux qui y travaillent avec un dédain et des moqueries d’un niveau de bassesse rarement vu. L’UGTT, la FTH et la FTAV, eu égard à la gravité de ces propos, les ont qualifiés de ‘’terrorisme verbal’’ tant leur intention de nuire au tourisme tunisien est évidente ont-elles estimé. « Elles s’insurgent contre les insultes proférées à l’égard des employés du secteur qui exercent des métiers des plus nobles de service et non de servitude » est-il souligné dans le communiqué. Car justement, le fameux invité de l’émission s’en est pris à tous et même aux employés du secteur allant jusqu’à railler leur profession.

Cet invité, que le communiqué ne nomme pas, n’est pourtant pas un inconnu du grand public. Ce n’est ni plus ni moins que Safi Said, qui se présente comme journaliste, écrivain, intellectuel, et qui fut candidat aux dernières élections présidentielles (il récolta moins de 1% de voix).

Dans ce talk show hebdomadaire qui réserve chaque semaine son lot d’indignations, ce dimanche, c’était donc au tour du secteur du tourisme d’être lynché par un personnage plein de contradictions, tenant des propos populistes à outrance et tout bonnement dangereux. Alors qu’il parlait déjà pour ne rien dire, le sieur Said enchaîna sans crier gare et sans que l’animateur de service ne lui ait rien demandé, sur une critique contre le dernier bateau de croisière arrivé au port de la Goulette, méprisant la nature de cette opération. « Dénier aux professionnels de la croisière, une branche sinistrée, de se réjouir d’une reprise de leur activité, est le signe d’une ignorance totale de l’espoir que représente une telle reprise pour les artisans, les guides, les taxistes, les restaurateurs, etc. » a souligné le communiqué.

« Ces mêmes professionnels considèrent n’avoir aucune justification à apporter à leurs détracteurs les plus zélés, sauf que de leur rappeler les entrées en devises que leur secteur procure au pays, les centaines de milliers de postes d’emploi qu’il génère dans toutes les régions ainsi que l’effet induit sur les autres secteurs vitaux de l’économie ».

« Les signataires insistent particulièrement sur le non-sens de l’idée de la substitution du tourisme par l’agriculture, deux secteurs ô combien complémentaires et réciproquement nécessaires au développement de l’économie nationale. Ils pointent du doigt la somme d’inepties débitées et qui ne sont que la preuve d’une parfaite méconnaissance des rouages les plus élémentaires du secteur du tourisme ».

Mais en définitive, l’individu aura atteint son objectif, créer le buzz et faire parler de lui. En bien ou en mal, ce qui lui est de toute évidence égal.

 

 



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Hôtel La Maison Blanche: « Le Madison » New Look est arrivé

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Le Madison, restaurant-Lounge de l’hôtel La Maison Blanche à Tunis, annonce sa réouverture officielle le jeudi 10 novembre 2016 et ce après de grands travaux de rénovation.

Le Madison a en effet bénéficié d’un rajeunissement complet et d’une nouvelle décoration subtile particulièrement design et chic signée Fakher Turki avec pour objectif d’améliorer le confort des lieux et de les rendre encore plus agréables et plus accueillants.

Le Madison New Look se caractérise par de nouvelles couleurs avec une dominante tons de bois et des coloris relativement foncés ornés de touches de bronze.

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Des espaces feutrés plus intimes.

Les éclairages ont également été revus afin de conférer aux lieux un aspect chaleureux et tamisé (installation de lampes LED intelligentes sur des rails qui répercutent des faisceaux de lumière sur les tables).

Côté mobilier, 80% de la salle  a été  dotée de salons (canapés et fauteuils) et 20% de tables bistrot afin de répondre aux différentes attentes de la clientèle.

Côté gastronomique, on découvrira une nouvelle palette de tapas avec une carte de mets se basant spécialement sur des produits frais avec une connotation méditerranéenne pour une expérience culinaire sans cesse renouvelée que ce soit pour une bouchée rapide ou pour un menu gourmet à midi dans un cadre professionnel ou en soirée entre amis, collègues ou en toute intimité.

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Nouvel emplacement pour le bar principal qui devient linéaire et court sur 18 m.

Et pour rester dans le concept qui a toujours fait le succès du Madison en soirée, un programme artistique quotidien est proposé à la clientèle avec un Live Band et des performers, suivis de DJ (Guest ou résident) avec l’assurance d’une ambiance parmi les plus branchées et les plus Select au niveau de la capitale.

Le Madison- Hôtel La Maison Blanche, 45, avenue Mohamed V, Tunis

Horaires d’ouverture et fermeture : tous les jours à partir de 12 :00 pour le service déjeuner et jusqu’à tard le soir.

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Une délégation chinoise au ministère du Tourisme

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Un groupe d’investisseurs chinois et des représentants du forum sino-africain de la coopération et de l’investissement a été reçu ce matin par Selma Elloumi-Rekik, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, qui a mis en relief l’importance du marché chinois aussi bien pour l’économie nationale que pour le tourisme tunisien.

Elle a également exprimé la volonté du ministère du Tourisme et de lArtisanat de développer avec la Chine des partenariats aux plans de l’investissement et de l’accueil des groupes chinois et ce à travers des connexions aériennes directes, la simplification des modalités d’octroi de visa d’entrée en Tunisie et l’adaptation des programmes de formation spécifiques au marché chinois.

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Les membres de la délégation chinoise qui ont déjà visité le Cameroun et le Sénégal ont porté un intérêt particulier au marché africain tout en mettant en exergue le positionnement géographique de la Tunisie lui permettant d’être une excellente plate-forme pour accéder à ces marchés africains. Plusieurs propositions d’investissements mixtes ont été examinées et il a été convenu de lier des relations directes avec les services compétents du ministère en vue de les concrétiser dans les meilleures conditions.



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FRH Hammamet-Nabeul: la jeune génération prend le relais

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Constitution du nouveau bureau de la Fédération régionale de l’hôtellerie de Hammamet-Nabeul suite aux élections organisées le 5 novembre 2016 qui voit l’entrée de 19 nouveaux membres sur un total de 20.

-Mehdi Allani (Président) Le Sultan (photo ci-contre)
-Mouna Ben Halima (Secrétaire Générale) La Badira
-Amine Miled (trésorier) Houda Yasmine
-Mohamed Ben Ezzedine (Secrétaire adjoint) Le Président
-Hatem Khechine (trésorier adjoint) Résidence Hammamet

-Hassen Kenani (vice-président) Marina Palace
-Habib Bouslama (vice-président) Nahrawess
-Tahar Zahar (vice-président) Al Hambra
-Narjess Bouasker (vice-président) Menara
-Khaled Fakhfakh (vice-président) Manar
-Philippe Fourati (vice-président) Sindbad
-Leila Deya (vice-président) El Olf
-Amine Ghammem (vice-président) ChichKhan
-Mohamed Chouchane (vice-président) Nozha Beach
-Sarra Kenani (vice-président) Taj Sultan
-Aziza El Kateb (vice-président) Aziza
-Zied Boussarssar (vice-président) Méhari
-Leila Driss (vice-président) Marhaba Palace
-Sofiane Ghorbel (vice-président) Eden Yasmine
-Sophia Fourati (vice-président) Samira Club



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La saison touristique 2017 en débat: Algérie et Russie en priorité

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L’évaluation de la saison touristique, la préparation de la saison 2017 ainsi que l’analyse du comportement des marchés émetteurs ont été au centre d’une séance de travail tenue ce matin sous la présidence de Selma Elloumi-Rekik, ministre du Tourisme et l’Artisanat, en présence de Radhouane Ben Salah, président de la Fédération  tunisienne de l’hôtellerie, des responsables de l’administration centrale et des présidents des fédérations régionales de l’hôtellerie.

Le programme promotionnel pour l’année 2017 a été à cette occasion examiné. Celui-ci a identifié des marchés prioritaires tels que la Russie et l’Algérie, outre la relance des marchés émetteurs traditionnels d’Europe qui sont en baisse ainsi que les marchés qui présentent un potentiel émetteur tels que la Chine et les pays du Golfe ou encore d’Afrique.

Concernant les axes de la politique promotionnelle, l’accent a été mis sur le ciblage par groupe de marchés, l’organisation d’événements touristiques d’envergure, le renforcement de la communication digitale et la consolidation de la démarche commerciale du produit tunisien.

La ministre a souligné la nécessité de consolider les acquis réalisés sur certains marchés et d’assurer une allocation efficace des budgets de promotion disponibles. Les discussions ont également porté sur d’autres questions se rapportant à l’endettement, à l’immobilier touristique, à la formation professionnelle et au tourisme intérieur qui fera l’objet d’une vaste opération promotionnelle.

Pour la propreté et la sauvegarde de l’environnement, la promotion du tourisme alternatif, culturel et de plaisance, la ministre a précisé que tous ces chantiers ont fait l’objet de concertations avancées avec les départements ministériels concernés.

(Communiqué)



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Le PDG d’Air Algérie veut une ligne Annaba-Tunis

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Le PDG d’Air Algérie, Mohamed Abdou Bouderbala, a déclaré hier que sa compagnie réfléchissait à l’ouverture d’une ligne régulière Annaba-Tunis.

« Nous pensons à une ligne Annaba-Tunis pour laquelle la demande est forte » a-t-il déclaré à l’occasion de l’inauguration d’une nouvelle desserte entre El Oued et Paris dans une déclaration à TSA-Algérie. Pour cette nouvelle ligne, le journal cite un passager qui exprime sa joie de voyager au départ d’El Oued: « Avant, je devais passer par Alger et parfois même par la Tunisie pour rejoindre Paris. Je payais le billet 35.000 à 38.000 dinars alors que j’ai déboursé 28.000 dinars pour ce voyage » a-t-il déclaré.

Le premier responsable de la compagnie publique algérienne a indiqué que cette ligne El Oued-Paris faisait partie d’une stratégie visant à être plus compétitif et à se rapprocher des clients.

Air Algérie lancera entre 2018 et 2025 un nouveau programme d’acquisition d’une quarantaine d’avions pour renforcer essentiellement ses destinations long courrier. La première partie de ce programme sera réalisée entre 2018 et 2020 durant laquelle quatre appareils seront réceptionnés rien qu’en 2018, tandis que la seconde phase sera effectuée entre 2020 et 2025 selon l’APS.

 



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Fédérations régionales de l’hôtellerie: vague de rajeunissement dans les bureaux

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Les élections au sein des fédérations régionales de l’hôtellerie battent leur plein actuellement dans la perspective très prochaine de l’assemblée générale élective de la fédération nationale, la FTH.

A Djerba le weekend dernier, les élections pour la région du sud-est ont été marquées par l’arrivée d’une nouvelle vague de jeunes membres tels que Rym Belajouza (Seabel Hotels), Ahmed Kamoun (Iberostar Mehari) ou encore Mossaab Battikh (Magic Hotels). Quant à Jalel Henchiri (Meninx), reconduit président pour un second mandat, il pourra également compter sur Malek Boujbel (Djerba Holiday Beach) qui occupera le poste de secrétaire général et sur Issam Messaabi (Golden Beach) trésorier.

A Monastir où Slim Dimassi (Helya Beach) sera désormais président de la fédération régionale, il est à noter l’entrée de Dorra Miled (Sahara Beach) en tant que vice-présidente et représentant la FRH au conseil national de la FTH aux côtés de Slim Dimassi et Ahmed Belli (Delphin Hotels). A noter qu’Aymen Dhouib (Résidence Corniche) a été élu secrétaire général et Houda Miled (Houda Hotels) trésorière.

A Sfax, le rajeunissement du bureau de la fédération régionale de l’hôtellerie se traduit notamment par l’arrivée de Hamadi Abid.

A Sousse, Hichem Driss, réélu président, compte également autour de lui plusieurs hôteliers de la jeune génération.

A Hammamet, les élections doivent se dérouler le weekend prochain tandis qu’elles sont également attendues pour très bientôt à Tabarka et à Tozeur.



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Mise en place du système de visa électronique au courant de l’année 2017

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L’instauration d’un système de visa électronique (E.Visa) a fait hier l’objet d’une table ronde animée par des  experts de l’Organisation internationale de l’aviation civile avec leurs homologues tunisiens en présence de Selma Elloumi-Rekik, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, des responsables de la présidence du gouvernement, des ministères des Affaires étrangères, de l’Intérieur, des Technologies de la Communication et de l’Economie numérique ainsi que les représentants des organisations professionnelles du secteur.

Une occasion de prendre connaissance des expériences de plusieurs pays ayant opté pour le système électronique de voyages et d’examiner les possibilités de l’introduire en Tunisie.

Introduisant les travaux de cette table ronde, la ministre du Tourisme a indiqué que la décision de mettre en place ce dispositif a été prise par le gouvernement et qu’une commission nationale réunissant toutes les parties concernées a été constituée. Laquelle commission a déjà tenu plusieurs séances de travail. Elle a fait remarquer que la relation entre la facilitation du voyage et le développement du flux touristique est très étroite, ajoutant que les expériences internationales ont démontré que plus les entrées aux frontières sont fluides, plus le nombre de touristes a tendance à se développer.

La  Tunisie, a souligné encore Selma Elloumi Rekik, est consciente de la nécessité de la libéralisation des entrées aux frontières tout en conciliant entre les impératifs de la sécurité nationale et les besoins de la croissance des flux touristiques. Déjà, nombre de démarches ont été engagées pour la facilitation des entrées de certaines nationalités dont notamment la Russie, la Chine et certains pays Africains. « Notre ambition est de faciliter davantage le processus d’obtention de visas à toutes les nationalités, en optant pour  la mise en place du système du visa électronique au plus tard au courant de l’année 2017 » a précisé encore la ministre.

Pour sa part, Narjes Abdennebi, experte au sein de l’Organisation mondiale de l’aviation civile, a annoncé un programme de coopération entre  la Tunisie et l’OACI en vue d’accélérer la mise en place de ce système.



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L’hôtel La Badira reçoit le « World Luxury Hotel Award »

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Pour la première fois depuis la création du World Luxury Hotel Award, un hôtel tunisien figure parmi la liste des qualifiés au prix.

L’hôtel la Badira à Hammamet s’est distingué, le 29 octobre à Doha, en honorant le savoir-faire touristique de la Tunisie après avoir reçu le prestigieux prix, World Luxury Hotel Award dans la catégorie Best Luxury New Hotel pour la région Afrique du Nord.

Le mérite de la Badira, c’est que c’était le seul hôtel tunisien inscrit dans la liste des qualifiés au prix et que la Tunisie figurait dans la compétition pour la première fois depuis la création de ces prestigieux Awards dont c’était la 10e édition ce weekend. Le trophée a été remis à Mouna Allani Ben Halima, propriétaire de l’établissemet (photo).

Le World Luxury Hotel Award, créé en 2006, représente un plus appréciable pour les hôtels distingués car il consolide la confiance des clients et leur fidélité. Il permet aussi de faire parler de la Tunisie vu le grand nombre de médias présents à Doha et donner une nouvelle image de la destination tunisienne trop souvent perçue comme low-cost.

Il est à signaler, par ailleurs, que pas moins de 60 catégories, selon le type d’établissement (hôtel, resort, safari et lodge, villa…) et selon le pays, puis la région, puis le continent, ont été récompensées lors de la manifestation organisée le 29 octobre.

 



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Le Corail Suites Hotel obtient le certificat de sécurité de Cristal International Standards

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Le Corail Suites Hotel, sur les Berges du Lac 2 à Tunis, vient d’obtenir le certificat de sécurité attribué par l’organisme international Cristal International Standards.

Lors d’une cérémonie, organisée le 21 octobre pour célébrer cette certification de sécurité, Ahmed Kamoun, DG du groupe hôtelier Mehari Beach, propriétaire notamment du Corail Suites Hotel, a rappelé que l’établissement a ouvert ses portes depuis à peu près trois ans. « Depuis l’ouverture de l’hôtel, nous essayons de nous adapter aux demandes des clients et des collaborateurs. En les écoutant, nous nous sommes rendus compte que la sécurité est une revendication commune entre clients et collaborateurs », a-t-il expliqué. « Au niveau du contrôle de la cuisine, des étages, des chambres et des eaux, les choses que le client ne voit pas, Cristal nous a accompagnés depuis l’année dernière pour arriver à des standards de contrôle reconnus à l’échelle internationale ». Le responsable a ajouté que des opérations d’audit ont été opérées par des experts en sécurité.

Changer le mode opératoire

En effet, le travail de Cristal International Standards a aidé à changer la façon de faire les choses au sein de l’hôtel pour devenir plus efficace en matière de sécurité. « Nous avons pu faire comprendre à nos employés de sécurité qu’ils ne sont pas au bas de l’échelle sociale de l’hôtel, mais plutôt au sommet de l’échelle parce que c’est eux qui nous gardent quand il y a un problème car ils sont tenus de déceler les problèmes en amont. De ce point de vue, ils sont en première ligne de notre staff », a souligné Ahmed Kamoun.

Pour sa part, Mehdi Ben Thabet, directeur des ventes et marketing de l’hôtel, a considéré que, techniquement, cette certification est un gage de garantie aux yeux des clients qui est donc rassuré à tous les niveaux de sécurité dans l’hôtel. « Associer la sécurité avec le confort est une nécessité. C’est tout un process comprenant la formation, les équipements, les enregistrements, la communication et même les e-mails. Il faut atteindre 70% par rapport aux normes établies pour pouvoir avoir ce certificat », a-t-il indiqué.

Cristal, partenaire officiel de la FTO

La valeur de la certification de sécurité se justifie par les références de l’organisme certificateur. A ce niveau, il est à noter que la société britannique est le partenaire officiel de la FTO (Fédération internationale des tours opérateurs). « Elle a fait des opérations avec Thomas Cook, Thomson et d’autres célèbres T.O. En matière de l’hôtellerie, Cristal International Standards travaille avec les grandes enseignes comme Club Med, Hilton, Sheraton, Marriott, etc. Par ailleurs, la société commercialise 17 modules dont le module de base est lié à l’hygiène alimentaire », a souligné Chaker Heni, directeur régional de Cristal International Standards.

Cristal - Security - Icon.ai

 

 



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Lancement de la première édition BTOB Tourisme Tunisie-Algérie

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Les premières Rencontres des professionnels du tourisme de la Tunisie et de l’Algérie auront lieu les 17 et 18 novembre 2016 à Tunis. Environ 100 entreprises opérant dans le monde touristique et 500 professionnels y sont attendus.

A l’initiative de AH Conseils, une agence de communication et d’événementiel spécialisée dans l’organisation des événements professionnels, les premières Rencontres des professionnels du tourisme de la Tunisie et de l’Algérie « BTOB Tourisme » se tiendront les 17 et 18 novembre à Tunis. En partenariat avec, notamment la FTAV (Fédération tunisienne des agences de voyages), l’ONTT (Office national du tourisme tunisien), l’organisation Conect internationale et plusieurs autres professionnels du tourisme, l’agence organisera deux matinées de rendez-vous B2B entre des décideurs de 100 entreprises tunisiennes et algériennes.

Au total, 500 personnes sont attendues lors de ces rencontres et jusqu’à 10 rendez-vous individuels sont prévus, soit plus de 1000 rendez-vous en 2 matinées. « L’idée est de faire fusionner les efforts des deux pays voisins en vue de créer des synergies positives », a indiqué Amel Hantous, patronne de AH Conseils, lors d’un point de presse pour annoncer l’événement (photo ci-dessus).

Le timing de ce dernier trouve toute sa légitimité dans le plan stratégique algérien lancé dernièrement, ambitionnant construire entre 800 et 1400 projets touristiques durant la prochaine décennie sans prendre en considération la mise à niveau de ses structures hôtelières existantes. De ce fait, il y aura un important potentiel à exploiter par les professionnels tunisiens du tourisme et des partenariats à nouer entre les sociétés tunisiennes et algériennes.

Bénéficiant d’une expérience de plus de 50 ans dans le tourisme, un savoir-faire développé et une main-d’œuvre qualifiée, les professionnels du tourisme tunisien pourront ainsi mettre à la disposition des sociétés algériennes leurs compétences pour développer le tourisme dans ce pays voisin.

b2b-t

Résoudre les problèmes d’ordre juridique

«L’Algérie est aujourd’hui le premier marché en termes de visiteurs. Au 10 octobre, plus de 1,2 million d’Algériens sont entrés en Tunisie, soit une progression significative par rapport à la même période de l’année 2015 », a souligné de son côté Mohamed Ali Toumi, président de la FTAV. « Nous devons changer notre vision et arrêter de la percevoir comme étant un marché saisonnier en commençant à élargir les champs de travail et de coopération. En matière d’investissement, avec le savoir-faire que nous avons, la Tunisie peut beaucoup aider l’Algérie en la matière. Les Algériens, pour leur part, peuvent aider la Tunisie dans plusieurs autres domaines. En tout cas, cette initiative est susceptible de donner un nouvel élan et une nouvelle dimension aux relations bilatérales », a-t-il estimé.

Rafik El Faleh, vice-président de la CONECT, a ajouté pour sa part que les Tunisiens ont investi dans plusieurs domaines en Algérie. Cette action constitue une opportunité importante pour entrer aujourd’hui dans le secteur touristique. « Nous n’avons que soutenir cette action afin de libérer les investissements entre les deux pays », a-t-il repris.

Abdelwaheb Htira, président de la commission des relations extérieures à la Chambre tuniso-algérienne du commerce et de l’industrie a regretté que : « certaines lois algériennes ne sont pas encore libéralisées. Cela malheureusement gène les entrepreneurs tunisiens qui vont partir investir en Algérie ».

Nassim Louati, représentant de la société Louati Trading a considdéré, pour sa part, que les efforts déployés au niveau des relations économiques entre les deux pays sont trop faibles par rapport au potentiel existant et par rapport aux opportunités d’investissements dont regorge l’Algérie. » L’Algérien regarde souvent vers le Nord. Il fallait faire de notre mieux pour attirer son attention », a-t-il conclu.

Il s’agit de rappeler, par ailleurs, que deux autres éditions seront tenues prochainement. La deuxième édition sera, en effet, consacrée au tourisme médical et de bien-être. Cette édition aura lieu aussi en Tunisie. Néanmoins, la troisième édition sera organisée en Algérie, selon Amel Hantous. Elle sera dédiée aux professionnels du tourisme de loisir. Notons aussi que la fermeture des inscriptions de la première édition aura lieu le 31 octobre 2016. L’ouverture du catalogue en ligne se fera le 1er novembre pour que les inscriptions soient fermées le 7 novembre. Du 8 au 16 octobre, il s’agit de la phase de mise en relation. La dernière étape, le 16 novembre 2016, est la remise du planning des rendez-vous.

Kemel Chebbi 



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L’aspiration de la Russie à un futur séduisant

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Le 58ième congrès de la Fédération Internationale des Journalistes et Ecrivains de Tourisme –FIJET – s’est tenu à la fin du mois de septembre 2016 dans la capitale de la Russie, Moscou, sur invitation du Département du Tourisme du Gouvernement de Moscou.

Parfaitement organisés par l’agence « Intourist », les travaux du congrès se sont déroulés dans une ambiance sereine avec la participation des 180 représentants des associations nationales ainsi que d’observateurs de 31 pays dont plus de 100 journalistes spécialisés en tourisme.

D’éminents conférenciers ont animé les réunions par leurs interventions traitant du tourisme international et son développement dans une conjoncture mondiale marquée par les nombreux défis.

 Élection et Hommage

Le fait saillant de ce congrès est la réélection à l’unanimité, pour la cinquième fois consécutive, de Tijani Haddad ancien ministre tunisien du Tourisme à la présidence de la Fijet.

L’élection du comité exécutif de la fédération, composé de 7 membres parmi 16 candidats originaires de 16 pays, s’est déroulée par la même occasion.

Ont été élus les candidats de l’Égypte, de Roumanie, de Turquie, d’Espagne, de Bulgarie, de la Russie et de la Croatie alors que conformément aux statuts de la Fijet, le président élu a nommé une Française et une Croate pour assurer respectivement le poste de trésorière et celui de secrétaire général.

Choix et conviction

Justifiant leur choix de Tijani Haddad, les  membres électeurs ont exprimé leur conviction que sous sa présidence  la fédération a réalisé plusieurs objectifs afin d’asseoir les bases solides pour une meilleure contribution dans  la promotion et le développement du tourisme durable.

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Moscou…une destination ouverte

Bien qu’elle soit parmi les destinations touristiques les plus visitées, avec plus de 6 millions de touristes et visiteurs par an,  Moscou est considérée comme un berceau d’une civilisation ancrée dans l’histoire ancienne tout en aspirant à  un avenir marqué par la grandeur historique.

L’émerveillement architectural se manifeste aussi à travers les nombreux bâtiments historiques entourés de parcs naturels, des espaces séduisants de verdure, des zones piétonnières. Les larges boulevards témoignent de la grandeur du passé et les statues des grands hommes de la fidélité aux symboles politiques et culturels.

Charme et admiration

Beaucoup d’aspects sont éblouissants dans la capitale russe dont le centre ville qui attirent sentimentalement et historiquement les visiteurs pour admirer la grandeur du Kremlin, la fascinante Place rouge avec sa gigantesque galerie commerciale et pour vivre aussi des moments de détente et d’admiration lors d’une mini-croisière sur  le fleuve Moskova qui traverse Moscou et dont le parcours est de 502 km.

Le soir, les participants au voyage de Moscou garderont les meilleurs souvenirs d’un spectacle fascinant de lumières qui fait oublier par sa beauté artistique la fraîcheur météorologique nocturne à la température de 5 degrés.

Émerveillement et nostalgie

L’infrastructure  hôtelière dont dispose Moscou est caractérisée par le luxe, le confort et la rénovation du gigantesque hôtel Metropole considéré comme une légende qui date du début du 20ème siècle et qui a été visité par les plus grandes personnalités du monde politique et artistique.

Évènement mondial fair-play

La Russie se prépare à accueillir le plus grand événement sportif: la Coupe du monde de Football en 2018. Tout est fin prêt pour ce grand rendez-vous au niveau des infrastructures sportives, transport, hébergement et organisation d’une façon générale, ce qui lui garantira une augmentation massive du nombre des visiteurs. C’est pourquoi d’ailleurs, Moscou a amplement mérité le Trophée de la Fijet –La Pomme d’Or- qui a été remis à la fin de 2015 par Tijani Haddad au Maire Sergei Sobyanin en récompense aux efforts  déployés pour le développement du tourisme à Moscou.

La Russie est devenue aujourd’hui l’une des destinations prisées dans le monde.

 

                                                                    Ali Chemli



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ONTT: nominations de nouveaux directeurs

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L’Office national du tourisme tunisien (ONTT) a annoncé aujourd’hui dans une note de service interne la nomination de nouveaux directeurs à la tête de plusieurs de ses départements:

Leïla Tekaya: direction des Relations publiques, de la Communication et de l’Accueil (en remplacement de Raja Ammar Chehata nommée à l’étranger). Mme Tekaya occupait jusqu’à présent le poste de commissaire régionale au Tourisme pour Tunis-Sud et Zaghouan. Elle y sera remplacée par Fethi Charfi.

-Amel Malouche Kallel: direction des Marchés touristiques par intérim (en remplacement de Riadh Dkhili nommé à l’étranger). Mme Malouche était ces dernières années représentante de l’ONTT à Bruxelles.

Mohamed Mehdi Hlioui: direction de l’Encadrement du Produit. M. Hlioui était jusqu’à une date récente commissaire régional au Tourisme de Mahdia.

-Haroun Ouni: direction des Investissements et de l’Encadrement des Promoteurs.

Mohamed Ali Serghini: direction des Affaires financières et comptables.

Besma Dargham Zine El Abidine: direction de la Promotion de la Qualité.

Mejda Ben Sedrine: centre de Formation hôtelière et touristique Kerkouane.

Wahid Ben Youssef: Ecole hôtelière de Nabeul.



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Suppression de la taxe d’entrée imposée aux véhicules algériens

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Le chef du gouvernement, Youssef Chahed, a annoncé, lors de sa visite de travail à Alger hier, l’annulation de la taxe imposée aux véhicules algériens à partir de 2017.

Finies les altercations autour de la taxe imposée à l’entrée des véhicules algériens en Tunisie. L’annulation de cette taxe -qui avait provoqué la colère et le mécontentement des Algériens l’été dernier- a été confirmée par le chef du gouvernement à l’agence TAP lors de sa visite hier à Alger.

Cette nouvelle mesure entrera en vigueur à partir de l’année prochaine avec l’application de la loi de finances 2017. Selon la même source, Youssef Chahed a informé les responsables algériens de cette décision, en qualifiant d’excellents ses entretiens avec le premier ministre algérien.

Il est à rappeler, dans cette optique, que l’annulation de la taxe imposée aux véhicules algériens va permettre de renforcer les mesures de la libre circulation entre la Tunisie et l’Algérie et d’inciter nos voisins algériens à visiter la Tunisie.

Notons que les Algériens ont relativement sauvé les deux dernières saisons touristiques. Dans le même cadre, Youssef Chahed a annoncé qu’une structure commune sera créée prochainement pour la coordination entre les deux pays dans le but de mieux canaliser les efforts bilatéraux.



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Au départ de Londres, elle est allée 125 fois en Tunisie

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Le vol Tunisair TU791 Londres-Tunis a accueilli le 8 octobre à son bord une passagère hors du commun. Il s’agit de Jayne Scott, globe-trotter britannique qui a choisi Tunisair pour aller passer ses vacances en famille en toute quiétude et pour la 125ème  fois dans son pays d’adoption, la Tunisie.

Jayne Scott s’est dite « émue de la belle cérémonie d’accueil organisée par Tunisair » où, au nom de la « flying gazelle », Zakaria Fathallah, son représentant à Londres, lui a réservé un accueil VIP à la hauteur de l’évènement: Sky Lounge et voyage en classe Privilège.

Les hôtesses de la compagnie l’attendaient sur le perron de l’avion pour lui offrir un joli bouquet de fleurs en guise de remerciements pour sa fidélité. Le commandant de bord lui a spécialement adressé un beau message de bienvenue.

Jayne Scott, fidèle amie de la Tunisie, est une professionnelle du Tourisme comme on aimerait en voir plus souvent. Elle  assure la promotion de la destination inlassablement depuis plus de trente ans.



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« Le Gourmet » fête ses 10 ans avec beaucoup de goût

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A l’occasion de son 10ème anniversaire, « Le Gourmet » fait peau neuve et se démarque par le dynamisme et la créativité de ses équipes.

L’enseigne de pâtisserie de prestige, implantée à La Marsa, El Menzah V et Mégrine, fait souffler un vent de rénovation dans ses voiles avec tout d’abord  l’adoption d’une identité visuelle remodelée basée sur une nouvelle charte de couleurs plus sobres et un graphisme élégant et modernisé.

Ce changement a également concerné les boutiques, désormais rénovées avec un look moderne et encore plus accueillant, l’enseigne se voulant aujourd’hui inventive et à l’écoute de ses clients et des tendances. Toutefois, chez « Le Gourmet », on s’attache à préserver son mode de production artisanale qui a fait sa réputation et son succès.

« Nous modernisons notre image et nous innovons dans nos produits, mais nous sommes profondément attachés à notre mode de production artisanale qui est le garant d’une qualité sans faille et du soin spécifique accordé à chaque pièce produite » souligne dans ce contexte Amen Allah Sinaoui, co-fondateur et gérant de l’entreprise « Le Gourmet ».

De gauche à droite: Amen Allah Sinaoui, co-fondateur et gérant du Gourmet, Faker Jelassi, Executive Chef, et Saida Taktak, directrice Qualité et Communication.

De gauche à droite: Amen Allah Sinaoui, co-fondateur et gérant du Gourmet, Faker Jelassi, Executive Chef, et Saida Taktak, directrice Qualité et Communication.

« Le Gourmet » marque son dynamise et se démarque de ses concurrents en mettant en place une série d’événements tout au long de l’année, tel que « L’éclair du mois » qui consiste à présenter par exemple chaque mois un éclair avec une saveur nouvelle inspirée des fruits de la saison. A ce titre et en collaboration avec la marque de chocolat belge Valrona, on se prépare chez « Le Gourmet » à l’organisation d’un « weekend du chocolat chaud » prévu début novembre 2016.

Au niveau managérial, « Le Gourmet » poursuit la réorganisation de ses structures en tant qu’entreprise, initiée par la mise en place d’un service Qualité, outre l’engagement dans un process destiné à obtenir très prochainement les certifications ISO 9001 et ISO 22000.

Fort de sa très grande expérience dans l’hôtellerie haut de gamme, Nebil Sinaoui, fondateur et directeur général de l’entreprise, exprime son attachement à la qualité : « Pour nous, la qualité concerne le produit, mais aussi le service et la communication. Nous avons d’ailleurs engagé un directeur Qualité pour veiller à toutes les étapes de la fabrication de notre produit jusqu’à son arrivée entre les mains de nos clients. Sur le plan de l’hygiène, nous ne faisons aucun compromis et nous avons renforcé notre équipe par un deuxième hygiéniste pour veiller à ce que tout se fasse dans les normes les plus strictes ».

« Le Gourmet » a permis la création d’une centaine de postes d’emplois. Dans la foulée de ce dynamisme, l’enseigne lance ses projets pour l’avenir avec la construction de son nouveau laboratoire de production de 1200 m² avec un équipement ultra moderne. La fin des travaux prévue en 2017 donnera le signal de départ à une expansion de l’activité de l’enseigne.

Mais au-delà de tout aspect commercial, « Le Gourmet » se veut être également une entreprise citoyenne et responsable. C’est dans ce contexte qu’elle n’a pas hésité à sponsoriser l’équipe tunisienne de pâtisserie qui s’apprête à prendre part à la prochaine Coupe du Monde de la Pâtisserie qui va se dérouler à Lyon en France les 22 et 23 janvier 2017. L’équipe tunisienne, présidée par Faker Jelassi, qui est également l’Executive Chef du « Gourmet », s’entraîne régulièrement dans les laboratoires mis à disposition par la direction du « Gourmet ».

Cette équipe compte également dans ses rangs 4 autres pâtissiers talentueux qui ont remporté la Médaille de Bronze à la Coupe d’Afrique 2016 de Pâtisserie : Wissemeddine Essoufi, Saïd Ali Ounalli et Ramon Kooli.

 

 



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A la FTH, la ministre du Tourisme annonce la création d’une agence pour la formation professionnelle

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La situation du secteur touristique a fait l’objet d’une séance de travail tenue ce matin sous la présidence de Selma Elloumi-Rekik, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, avec les membres du conseil exécutif de la Fédération tunisienne de l’hôtellerie (FTH) et les responsables de l’administration centrale.

Les discussions ont porté sur l’évaluation et l’analyse du comportement des marchés émetteurs, les questions ayant trait au transport aérien, les conditions de restructuration financières des entreprises touristiques ainsi que sur les questions relatives à la propreté et l’environnement.

L’amélioration de la qualité de services et la révision du dispositif de formation professionnelle ont été également évoqués.

A ce propos, la ministre a indiqué que la réforme de la formation dans le secteur a déjà atteint un stade avancé pour aboutir à la création d’une agence dédiée spécialement à ce créneau stratégique.

Elle a en outre souligné la nécessité de consolider les marchés qui ont réalisé des scores positifs dont notamment les marchés intérieur, algérien et russe. Il est à noter à cet égard que la Tunisie a accueilli au cours des neuf premiers mois de 2016 plus de 570 000 touristes russes et 1 246 000 touristes algériens.

La ministre a par ailleurs insisté sur la nécessité de maintenir une concertation permanente entre l’administration et la profession et d’être constamment solidaires pour relever les défis de la prochaine étape.

(Communiqué)



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Thomas Cook UK raye la Tunisie de l’été 2017

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Le voyagiste britannique Thomas Cook persiste et signe. La Tunisie ne sera pas réintégrée dans sa programmation de l’été 2017.

Le tour-opérateur a expliqué aujourd’hui dans un communiqué qu’étant donné le maintien par le Foreign Office (ministre des Affaires étrangères britanniques) des restrictions de voyages non essentiels sur la Tunisie, et qu’en l’absence de toute indication laissant penser que des changements à ce niveau seraient susceptibles d’intervenir, Thomas Cook UK a décidé d’annuler toutes ses opérations sur la destination jusqu’à l’année prochaine.

Il ne s’agit cependant pas d’une information réellement nouvelle ni surprenante pour la filière touristique tunisienne étant donné que le même voyagiste avait déjà fait savoir en avril dernier qu’il ne programmerait pas la Tunisie avant le 24 mai 2017. Il s’agit donc tout simplement d’une prolongation d’un désengagement déjà attesté.

La première annonce de Thomas Cook UK  de lâcher la Tunisie date du mois de janvier 2016, une annonce qui avait fait suite à un premier report en novembre 2015 (lire).

Cette situation est la conséquence directe de l’attentat du 28 juin 2015 à Sousse qui avait enregistré la mort de 30 ressortissants britanniques. Si dans les rangs des professionnels du tourisme, on estime que seule la diplomatie sera en mesure de lever ces restrictions, il n’en demeure pas moins vrai que les procès engagés par les familles des victimes concernant les indemnisations constituent le frein principal dans la levée des restrictions de voyage.

© Destination Tunisie



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AccorHotels en Tunisie: le partenariat avec Chebchoub annulé, la BIAT reste le partenaire privilégié

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Il n’y aura finalement pas d’hôtel portant l’enseigne Mercure du groupe Accor sur les Berges du Lac 2 à Tunis. Le projet, annoncé en grandes pompes en mai 2015, a été tout simplement enterré.

C’est un projet en collaboration avec le groupe Chebchoub concernant la construction d’un hôtel de catégorie 4 étoiles (133 chambres) destiné à être exploité par l’opérateur français Accor.

A l’époque, une grande cérémonie avec la bénédiction de l’ambassadeur de France François Gouyette avait été organisée. On avait même précisé que la construction allait être confiée au groupe Néji Chaâbane et que les plans avaient été dessinés par l’architecte Karim Berrached.

En fin de compte, le groupe Accor est revenu sur sa décision et a décidé de poursuivre son parcours avec son partenaire de toujours, la BIAT (via sa filiale la Société de Promotion touristique), pour lui confier l’exploitation de 4 de ses hôtels en Tunisie sous ses deux marques Novotel et Ibis Tunis et également Ibis pour le nouvel établissement en cours de construction à Sfax.

Le futur Novotel, 4e établissement en Tunisie géré par Accor, aura une capacité de 125 chambres et sera situé aux Berges du Lac à Tunis, avec une ouverture estimée à fin 2019. Le projet a été rendu public le 29 septembre lors d’une cérémonie qui s’est déroulée au siège de la BIAT en présence d’Ismaïl Mabrouk, président du conseil d’administration de la banque, et d’une importante délégation du groupe hôtelier français dont notamment Jacques Dessors (directeur général pour la Méditerranée, l’Afrique, l’Océan indien et le Moyen-Orient) et Thierry Delahaye, vice-président d’AccorHotels pour l’Afrique du nord. Le nouvel ambassadeur de France, Olivier Poivre d’Arvor, était également de la partie.

©DestinationTunisie

Photo d’illustration



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La Goulette: le premier bateau qui revient depuis « Le Bardo »

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Le port de la Goulette va enregistrer le retour du premier bateau de croisière accostant depuis l’épisode du Bardo en mars 2015.

La ministre du Tourisme, Selma Elloumi Rekik, a confirmé la nouvelle hier sans en préciser les contours.

Destination Tunisie confirme que le navire Europa, appartenant à la compagnie de croisières Hapag Lloyd, accostera le 6 octobre prochain avec 350 passagers à son bord.

Il ne s’agit pas d’un grand paquebot de type Costa ou MSC mais d’une croisière haut de gamme pour des passagers majoritairement germanophones à fort pouvoir d’achat puisque le billet moyen de la croisière tourne autour de 8000 euros dans le cadre d’un périple qui dure 14 jours.

Il s’agit pour la destination d’une escale test fondamentale qui devra réussir à tous les niveaux puisque les autres croisiéristes devront suivre dans la foulée.

D.T



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Bientôt, 24 portails pour la promotion touristique des 24 gouvernorats

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Faire de chaque étudiant un ambassadeur de sa région dans le domaine du tourisme et le préparer pour la vie active à travers 24 portails pour la promotion touristique des 24 gouvernorats du pays, c’est l’objectif de la convention signée aujourd’hui au complexe universitaire de La Manouba, entre l’Observatoire du tourisme (OT) et l’École supérieure de commerce de Tunis (ESCT).

À l’initiative de Afif Kchouk, président de l’OT, un projet se prépare depuis plusieurs mois à la faveur duquel les étudiants de l’ESCT bénéficieront de l’aide financière et matérielle de la part des professionnels du tourisme afin de mettre en ligne 24 portails dont chacun représente une région.

La première étape du projet a été couronnée par la signature d’une convention entre le président de l’Observatoire du tourisme et le directeur de l’ESCT, Maher Gassab. Baptisé « La e-promotion des régions », ce partenariat a pour objet le développement et la promotion des régions à travers la création d’un site web pour chacun des 24 gouvernorats du pays.

Chaque portail comportera toutes les informations sur le gouvernorat auquel il devra être dédié. « Ce sera en effet un site dynamique, marchand et contribuera à la mise à niveau numérique du gouvernorat, ainsi qu’au renforcement de sa présence sur la toile et les réseaux sociaux », a estimé Afif Kchouk qui ajouté: « d’ailleurs, les noms de domaine sont déjà achetés pour que les étudiants puissent se pencher rapidement sur la création des sites, de leur architecture et de leurs contenus ».

Le volet académique et l’encadrement des étudiants restent du ressort de l’ESCT qui se chargera, en effet, d’encourager et de recommander à ses étudiants en mastères « Management touristique et hôtelier (MTH) », « Entreprenariat et développement des activités innovantes en régions (EDAIR) » et « Gestion de la relation client (GRC) » de choisir comme thème de leurs projets de fin d’études (PFE) la présentation d’un gouvernorat, de ses potentialités et de ses opportunités de développement.

Cérémonie de signature entre le président de l'OT et le directeur de l'ESC sous le regard attentif de la ministre du Tourisme.

Cérémonie de signature entre le président de l’OT et le directeur de l’ESC sous le regard attentif de la ministre du Tourisme.

Adapter les cursus universitaires aux besoins du marché

Présente lors de la cérémonie de signature de la convention, Salma Elloumi Rekik, ministre du Tourisme, a apprécié cette initiative en estimant qu’elle permettra de faire connaître et valoriser les richesses naturelles, culturelles et touristiques de chaque région.

Pour sa part, Mohamed Ali Toumi, président de la FTAV, (Fédération tunisienne des agences de voyage), a indiqué que ce genre de partenariats a pour valeur de rapprocher les mondes professionnel et académique, en adaptant la formation académique aux besoins du marché du tourisme. Il a rappelé dans ce sens que la FTAV a signé dernièrement un partenariat avec l’ESCT pour que cette dernière révise ses cursus et programmes universitaires et les adapte aux besoins du marché du travail.

Notons, par ailleurs, que le rôle de l’OT dans ce partenariat consiste à faire passer le travail de la théorie à la pratique, en soutenant et assistant les étudiants auteurs des PFE à créer un portail qui portera l’appellation « visit (nom du gouvernorat).tn ». Cela introduira l’étudiant en question dans le monde du travail.

Les deux parties se fixent comme date de présentation des 24 portails le 5 avril 2017 lors de l’inauguration du salon du tourisme (MIT). Les étudiants pourront, par la suite, créer des sociétés de services qui gèreront les sites web et étendre leurs projets pour aider les autres sociétés dans leurs régions à créer également des sites web et promouvoir leurs activités.

K.C



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PIB: pourquoi veut-on sous-évaluer le poids du tourisme en Tunisie ?

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Selon les données officielles, le tourisme a toujours été présenté comme représentant 7,2% du PIB (produit intérieur brut) dans l’économie de la Tunisie. Un taux contesté notamment par les professionnels du secteur qui soutiennent que le poids du tourisme est nettement plus important puisqu’il serait de 19% au moins.

Un cabinet d’étude, mandaté par le ministère du Tourisme, a procédé récemment à une étude dans ce sens et a fait ressortir que le tourisme représentait en réalité 17,4% du PIB en Tunisie.

Cependant, les résultats de l’étude ont été soigneusement cachés pour ne pas divulguer ses résultats. L’information a été révélée aujourd’hui par Wajdi Skhiri, secrétaire général de la Fédération tunisienne de l’hôtellerie (FTH), lors d’un débat sur le secteur qui s’est déroulé à Hammamet. « Dire que le tourisme pèse 7 % du PIB induit en erreur dans la prise de décision » a-t-il déploré.

Pour Selim Ben Miled, hôtelier et ancien membre du bureau exécutif de la FTH, dans certaines zones comme Djerba, le tourisme représente facilement 90% du PIB. « Il n’est plus question de revenir en arrière et remettre en question le secteur, d’autant plus que nous avons le capital nécessaire », s’est-il exclamé lors de la même rencontre, faisant allusion au parc hôtelier.

Il est à signaler que les investissements dans l’hôtellerie sont évalués à 8700 milliards (de millimes) selon les estimations. Cependant, de nombreux hôtels sont actuellement en situation d’abandon, ce qui constitue un problème tant sur le plan environnemental que sécuritaire.

Les promoteurs, privés aujourd’hui de crédits de la part des banques qui refusent désormais de financer l’hôtellerie, se trouveraient par ailleurs dans une situation très délicate, sachant que le nombre de lits en construction actuellement est estimé à 10.000.

© Destination Tunisie

 

 

 



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Timbre de voyage: le ministère des Finances tourne autour du pot

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Le ministère des Finances dément la rumeur sur le timbre de voyage sans convaincre.

Suite aux nombreuses informations de presse concernant l’augmentation du prix du timbre de voyage de 60 à 100 dinars, auquel sont soumis les Tunisiens résidents lors de leur sortie du territoire, le ministère des Finances s’est contenté aujourd’hui d’un communiqué laconique dans lequel il a démenti l’augmentation de ce timbre.

Cependant, le ministère des Finances n’aborde en rien dans son communiqué l’éventualité de son augmentation en 2017 et son intention d’inclure la proposition dans son projet de loi de finance 2017, ce qui pourtant apparaît de plus en plus comme une évidence.

Lire aussi:

Le timbre de voyage, cette taxe discriminatoire



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Tozeur: les agences de voyage appelées à programmer les oasis de montagne

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Le commissariat régional au tourisme dans le gouvernorat de Tozeur a appelé les agences de voyage chargées d’organiser des visites aux différents sites touristiques dans la région, à insérer le circuit des oasis des montagnes (Chebika, Tamaghza, Midess) dans le programme d’excursion à ces sites a rapporté une dépêche de l’agence officielle TAP.

Des commerçants dans les localités de Tamaghza et Midès ont indiqué que ces circuits ont été ignorés par les agences de voyage contrairement aux sites de «Ong Jemal» et «Sbika», a indiqué le commissaire régional au tourisme, Anouar Chétoui, à la correspondante de la TAP dans la région.

Il a précisé que le commissariat a envoyé des correspondances aux agences de voyage afin de les inciter à programmer les localités de Tamaghza, Midès et Chebika à partir du mois de septembre courant.

Le commissaire régional au tourisme a affirmé que les nouveaux programmes élaborés par les agences de voyage et approuvés par le commissariat régional au tourisme comportent des excursions dans les circuits des oasis des montagnes dans le sud-ouest.



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Grande opération « BTOB Tourisme » à Tunis avec l’Algérie comme invitée

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AH Conseils, agence de communication et événementielle spécialisée dans l’organisation des événements professionnels, organise les premières rencontres des professionnels du tourisme de l’Algérie et de la Tunisie, les 17 et 18 novembre à l’hôtel The Residence Tunis.

L’opération se déroulera en partenariat avec l’ONTT (l’Office National du Tourisme Tunisien), la CONECT International (Confédération des Entreprises Citoyennes de Tunisie), la Fédération Tunisienne des Agences de Voyages et de Tourisme (FTAV), le Conseil International des femmes entrepreneures (CIFE), le groupe Louati ( Algérie – Tunisie) et plusieurs autres partenaires tunisiens et algériens professionnels du secteur.

Cette action BTOB Tourisme est « une initiative privée qui concrétise et renforce les partenariats publics privés (PPP), notamment dans le secteur du tourisme » souligne à ce propos Amel Hantous, instigatrice et responsable du projet.

Professionnels du tourisme tunisiens et algériens

Cette première édition est intitulée « Coopération, expertise, opportunités d’investissement et de croisement d’intérêt » et s’adresse aux professionnels du tourisme tunisiens et algériens visant à les faire rencontrer et s’ouvrir à de nouvelles opportunités.

Les participants algériens ciblés sont les investisseurs, actuels et futurs hôteliers, porteurs de projets touristiques d’envergure (complexes de loisirs, restaurants…), tour-opérateurs, agences de voyages, écoles et centres de formation spécialisés dans les services touristiques.

Selon Amel Hantous, « le choix de l’Algérie comme premier pays invité est dicté par plusieurs facteurs: un terrain potentiel, pour des affaires fructueuses dans le secteur du tourisme ; le pays connaît une amélioration constante du climat des affaires et l’émergence du secteur privé ; l’Algérie peut constituer une porte d’accès au marché d’un tourisme de qualité ; une localisation attractive à la fois culturelle et naturelle (un désert à perte de vue, des monuments historiques incomparables, la culture…).

En Algérie, entre 800 et 1400 projets touristiques

AH Conseils souligne également qu’à ces facteurs s’ajoute la volonté des autorités algériennes de développer le secteur touristique qui se matérialise par l’élaboration du « Schéma Directeur d’Aménagement Touristique » (SDAT) visant la construction de 800 à 1400 projets touristiques durant la prochaine décennie.

Pour la Tunisie, le pays a derrière lui plus de 50 ans d’expertise dans le tourisme, avec un savoir-faire reconnu et une main-d’oeuvre qualifiée constituant ainsi l’une des destinations principales du marché européen. En outre, forte de son potentiel, la Tunisie a pu réagir de manière positive à la crise du tourisme survenue après 2011. Cette réactivité, le pays la doit à ses voisins maghrébins, notamment algériens.

Développer son réseau professionnel

C’est compte-tenu de toutes ces données que l’Agence AH Conseils et ses partenaires se sont donné comme objectif de faire fusionner les efforts des deux pays en vue de créer des synergies positives.

« Aujourd’hui, en tant que professionnels des services à haute valeur ajoutée, nous ambitionnons d’être les catalyseurs des partenariats tuniso-algériens pour l’expansion touristique pérenne de l’un et le développement économique de l’autre » indique A. Hantous.

Plus de 100 entreprises et près de 500 décideurs sont attendus à ce rendez-vous, avec au programme plus de 500 rencontres, sachant également que des rendez-vous individuels sont préprogrammés à l’avance. Il est à noter que la plateforme de gestion de ces journées de rencontres de professionnels du tourisme permet de disposer d’une base de contacts qualifiés, ce qui est à même d’engendrer une multitude d’opportunités pour les participants afin de développer leur réseau professionnel.

Nouvelair, transporteur officiel

Pour permettre à la délégation algérienne de faire le déplacement à Tunis, la compagnie Nouvelair a mis en place un vol spécial Alger/Tunis/Alger à un tarif attractif (17.000 DZD) qui décollera de la capitale algérienne le 16 novembre, soit la veille de l’ouverture de l’événement, et repartira le 18 en fin de journée.

Cette action orientée vers le marché algérien n’est qu’un début puisque AH Conseil a l’ambition de réaliser d’autres actions similaires sur le thème du tourisme médical et du bien-être puis sur le tourisme de loisirs dans un 3e temps.

Contact : inscription@btobtourisme.com



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Khaled Houissa, acteur : « Le voyage est une escapade pour se connaître soi-même, découvrir l’autre et le monde »

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Il rêve de changer l’image persistance du cinéma tunisien avec de grandes œuvres d’un standing mondial. Il travaille hors des sentiers battus de la télévision en assurant une production tout au long de l’année et non pas uniquement pendant Ramadan. Khaled Houissa, qui joue désormais dans la cour des grands comédiens, a tracé son chemin et s’est imposé sur la scène de la comédie. Son succès est aussi dû à sa rigueur, sa discipline et à sa détermination. Le protagoniste de « Warda wa Kiteb » (Une rose et un livre), le feuilleton diffusé en Prime Time sur la chaîne de télévision publique Al Watania 1 durant le dernier Mois Saint, n’épargne aucun effort afin de booster sa carrière et enrichir son expérience. Dernièrement, il a participé à un film du réalisateur égyptien Samir Seif et produit par le réseau de télévision canadien CTV. Un film qui relate la vie de l’un des quatre pères de l’Église occidentale et l’un des trente-six docteurs de l’Église, le philosophe Augustin d’Hippone. Le tournage a été réalisé à Tunis, en Algérie, à Paris, à Milan et à Rome.
Persuadés de son talent, certains producteurs et réalisateurs ont renouvelé leur confiance en cet ambitieux comédien pour le faire participer à leurs prochains projets. On évoque le court-métrage qui sera produit au mois de juillet par CTV. Un autre projet de film est en cours de préparation avec le réalisateur de « Bab El Falla », Moslah Kraïem. Une participation dans une série-télévisée est aussi prévue prochainement pour la chaîne Al Watania 1.
Ses projets vont au-delà des frontières du pays. Il a en effet des contacts avec de grands producteurs et réalisateurs égyptiens pour une éventuelle prochaine collaboration. Pour Khaled Houissa, le voyage occupe une place importante dans la vie, ayant un effet remarquable sur la personnalité et la carrière de l’acteur.

Êtes-vous un voyageur passionné ?
Absolument. J’aime effectuer des voyages et découvrir le monde. Si j’ai l’opportunité d’aller en voyage, je sors ma valise immédiatement et sans hésitation. J’ajoute que j’ai vécu pendant 6 ans en France, une période durant laquelle j’ai visité plusieurs pays européens grâce à la facilité de déplacement dans la région et l’avantage de voyager sans avoir besoin de beaucoup d’argent.

Vous rappelez-vous de votre premier voyage ?
Ma première destination à l’étranger était Milan. C’était un voyage pour rendre visite à des amis de la famille. J’avais à l’époque 13 ou 14 ans et j’ai voyagé tout seul. Quand je suis arrivé à Milan, j’ai appelé mon père pour l’informer et lui dire que j’étais en train de boire un café. C’était un rêve pour moi. C’était donc une expérience extraordinaire durant laquelle j’ai pu visiter Genève et Lugano également, où pendant une semaine j’ai découvert ces régions montagneuses et ce monde encore mystérieux pour moi.

Et votre dernier voyage ?
Mon dernier voyage a eu lieu au mois de mars en Égypte. Il s’agissait d’un voyage d’affaires d’une semaine durant lequel j’ai rencontré un réalisateur et producteur égyptien de renommée pour discuter d’un éventuel travail après Ramadan. Ils ont proposé que j’y reste encore afin de voir comment se passent les choses et pour améliorer mon élocution égyptienne, car il me faut maîtriser le dialecte pour ne pas rencontrer de problèmes lors du tournage.

Quel est votre meilleur souvenir de voyage ?
C’était un voyage aux USA en 1998. J’ai visité à l’époque la Californie, San Francisco, Los Angeles et Las Vegas. J’ai eu l’occasion de découvrir l’University of California. C’était un nouveau concept d’université pour moi avec les piscines, les terrains de tennis, de basket et de hand, la bibliothèque avec le grand nombre d’ordinateurs qui s’y trouvaient. C’est comme si nous étions sur une autre planète. Sans oublier bien entendu la rigueur, la propreté des boulevards, le respect mutuel, etc. À Los Angeles, ils ont un boulevard baptisé « Sunset Boulevard » mesurant 40 km environ. Tout au long de la rue, nous avons pu découvrir un monde diversifié mais aussi risqué. Il y avait des zones dans lesquelles la police n’osait pas accéder. Un pays mystérieux et plein de paradoxes ; la beauté, la peur, la terreur, la facilité de vivre, la folie, etc. Même en comparaison avec l’Europe, il y a un énorme décalage au niveau des différences culturelles et au niveau du progrès. C’est le « rêve américain » tout court.

Quel est le pire souvenir que vous avez vécu ?
En voyage pour le Sultanat d’Oman, j’étais à Abu Dhabi avec un ami français. Nous n’avions pas de visas pour accéder à ce pays parce que nous pensions que son obtention se faisait à l’aéroport le même jour. Les autorités de la place m’ont informé que je devais attendre trois jours pour l’obtenir. Par contre, ils ont autorisé l’entrée de mon compagnon. J’ai eu du mal à maîtriser ma colère et à avaler la pilule contre ce traitement à géométrie variable. J’ai déploré alors l’absence de solidarité entre nous, les Arabes, et cette discrimination appliquée sur les ressortissants des pays qui parlent leur langue, mais en vain. Cette expérience m’a permis de m’ouvrir les yeux sur cette réalité amère, tandis que mon compagnon français a prouvé sa solidarité inconditionnelle et a refusé de faire le voyage sans moi.

Qu’est-ce que vous n’oubliez jamais de prendre avec vous en voyage ?
Les photos de mes enfants. Quand je suis en train de me préparer pour un voyage, je commence par mettre les photos de mes enfants dans le portefeuille. Je prends aussi un bloc-notes pour noter mes idées et mes réflexions. Je bouquine souvent aussi car j’aime beaucoup la lecture et les romans. Le dernier livre que j’ai lu, c’est le roman de Ahlem Mosteghanmi, « Fawdha Hawes » (Chaos des sens).

Quelle est votre destination rêvée ?
Les pays asiatiques comme le Japon et la Chine. Ce sont deux pays qui ont su s’imposer à l’échelle mondiale ; le Japon grâce à un rythme de développement incroyable et la Chine qui devient « l’atelier du monde ». Ce sont deux destinations que j’ai envie de visiter pour découvrir leurs cultures et leurs richesses.

En Tunisie, ce serait plutôt quelle destination ?
En Tunisie ? Je n’ai pas visité beaucoup de régions. Mais je choisis Tozeur comme première destination à visiter. J’ai beaucoup entendu parler de la splendeur de cette région et la beauté de ses oasis.

Combien de pays avez-vous visités ?
En somme, j’ai visité une quarantaine de pays. Je connais tous les pays arabes et presque tous les pays européens. Je dois expliquer à ce niveau que je travaillais avec une société spécialisée dans le commerce international. Ainsi, j’ai eu l’opportunité de voyager beaucoup.

Que représente le voyage pour vous ?
À mon avis, le voyage est une escapade pour se connaître soi-même, découvrir l’autre et le monde. Du point de vue artistique et esthétique, le voyage permet de découvrir la richesse des cultures et des civilisations, tout en levant le voile sur les facteurs permettant le développement et le progrès des pays. Cela permet également d’engager un débat avec soi-même sur les tenants et les aboutissants de certaines cultures et civilisations. De plus, le voyage enrichit la personnalité et cultive les sens car il permet de développer votre sens de l’analyse et du diagnostic. Le voyage vous pousse à vous poser des questions et à faire des comparaisons. Ainsi, vous commencez à vous forger une nouvelle personnalité plus consciente et plus forte avec des idées inspirées des autres expériences. L’ Afrique me séduit aussi. Il s’agit d’une autre sorte de voyage qui associe découverte et aventure.

Quel genre de voyage préférez-vous ? Shopping ? Découverte ? Aventure ?
Shopping ? Non merci. Je suis loin d’être passionné par le shopping. Même si quand je reviens à Paris où j’ai vécu 6 ans, j’essaie de découvrir les nouveautés artistiques, les derniers films qui jouent dans les salles de cinéma, les dernières pièces de théâtre et les derniers concerts. Bref, j’ai mon propre circuit où je consacre mon temps pour la découverte. Si j’emmène ma femme avec moi, je lui laisse le choix entre faire du shopping seule ou aller avec moi découvrir mon circuit.

À part l’interprétation des personnages, quelle est votre passion cachée ?
Je fais beaucoup de sport, notamment du jogging. Je fais aussi du sport en salle. J’aime également le football et suivre les matches à la télé. La lecture et les films sont mes deux autres passions.

Aimez-vous voyager en famille, avec des amis ou seul ?
Tout dépend du cadre et de mon état d’esprit. Tantôt, j’opte pour un voyage solitaire, tantôt pour un voyage en groupe d’amis ou en famille. Le fait d’être seul en voyage ne manque pas d’importance car il vous permet de régénérer votre énergie, de vivre des moments de paix et d’organiser vos idées et vos pensées. A certains moments, nous avons besoin de quelqu’un à côté de nous.

Projet ou rêve qui vous tient à cœur ?
Mon rêve est de participer à un grand travail au niveau cinématographique international car je considère que le cinéma en Tunisie est encore déconnecté par rapport à ce qui se passe dans le monde. Bien que certains jeunes tentent de changer la donne, nous sommes encore loin des normes internationales. Notre cinéma est malheureusement basé sur des scénarios incompréhensibles et mystérieux. Après, nous ne faisons qu’accuser le spectateur de ne pas avoir compris le message. Alors que réellement, un bon film est un conte à raconter qui permet de faire vivre le spectateur une belle histoire durant une heure et demie.

Propos recueillis par Kemel Chebbi



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Le timbre de voyage, cette taxe discriminatoire pour le voyageur tunisien

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Ballon d’essai envoyé par l’administration ou rumeur sans fondement ?

Des informations ont fait état ces derniers jours de l’augmentation probable du timbre de sortie imposé aux Tunisiens résidents quittant le territoire, qui passerait de 60 dinars actuellement à 100 dinars en 2017. Le projet serait dans le pipe du ministère des Finances qui s’apprêterait à l’intégrer dans le projet de loi des finances pour l’année prochaine.

Cette taxe, à maintes reprises décriée, est tout d’abord jugée discriminatoire car elle ne concerne que les Tunisiens résidents. Les TRE en sont exemptés alors qu’avec le glissement du dinar par rapport à l’euro, un timbre à 60 dinars vaut à peine 24 euros, une somme modique pour un salarié payé même au SMIG en Europe.

En second lieu, les voyageurs à destination du Maghreb en sont également exemptés. Et pourtant, jusqu’à une date récente, le flux d’allers et retours vers la Libye était certainement une source de recettes que l’Etat n’a pas su exploiter pour les raisons que l’on sait.

Aujourd’hui, si l’Etat veut décourager les Tunisiens à quitter le territoire pour économiser des devises, c’est certainement la plus mauvaise solution à adopter car il met dans le même panier les personnes qui partent en voyage d’agrément mais aussi les gens qui vont se faire soigner, les personnes qui se déplacent pour affaires et justement ramener des devises au pays, etc.

Augmenter le coût du timbre de sortie reviendrait à confirmer que pour collecter des ressources supplémentaires, les autorités continuent de taxer le citoyen lamba. Pendant ce temps, les contrebandiers et le marché parallèle qui ne payent ni TVA ni IS ni RS continuent de s’engraisser sur le dos d’un Etat qui, depuis 5 ans, s’acharne à porter des oeillères pour ne voir que ce qui l’arrange.

Marwa Kedia

Lire aussi:

Timbre de voyage: le ministère des Finances tourne autour du pot

 



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Djerba: l’ONTT décide de nommer un nouveau commissaire

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L’Office national du tourisme tunisien (ONTT) a décidé de procéder à un changement de commissaire régional au tourisme pour la zone Djerba-Zarzis.

C’est Amel Hachani, cadre de l’Office, qui vient d’être nommée en remplacement d’Ahmed Kalboussi qui occupait le poste depuis un an exactement.

Rappelons qu’en août dernier, 3 autres commissaires au tourisme avaient été nommés à Yasmine Hammamet, Skanès-Monastir et Mahdia (lire).



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Taxe imposée aux Algériens: Ennahdha prend position

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Dans une déclaration rendue publique à l’issue de la réunion de son bureau exécutif tenue hier sous la présidence du président du parti, Rached Ghannouchi, le bureau exécutif d’Ennahdha a abordé la question de la taxe d’entrée sur le territoire tunisien imposée aux Algériens, appelant, à ce propos, le bloc parlementaire du Mouvement à l’ARP à appuyer les efforts allant dans le sens de l’annulation de cette taxe, en prévision de sa discussion dans le cadre de la nouvelle loi des finances.



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« Les aéroports tunisiens sont très bien sécurisés » déclare l’OACI

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L’Organisation de l’aviation civile internationale certifie la sécurité dans tous nos aéroports après y avoir mené une opération d’audit général.

Anis Ghdira, ministre du Transport, a révélé que l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) a mené dernièrement une opération d’audit général qui a touché tout le secteur de l’aviation civile en Tunisie.

Le rapport d’audit de l’Organisation a certifié que l’engagement des autorités de tutelle pour répondre aux exigences internationales en matière de sécurisation des aéroports a atteint un stade très avancé et un niveau très élevé. En effet, les aéroports tunisiens sont tous très bien sécurisés selon l’OACI.

Rappelons, dans le même registre, que la Tunisie a reçu aujourd’hui10 appareils de détection d’explosifs sous forme de don de la part de la Grande Bretagne (photos de la cérémonie ci-dessus et ci-dessous). Ces appareils, d’une valeur totale de 400.000 dinars, seront installés dans les différents aéroports tunisiens pour renforcer leur sécurité.

Il est à noter, par ailleurs, que ce don s’inscrit dans le cadre du mémorandum d’entente signé entre les deux pays.

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Un protocole d’entente tuniso-congolais signé dans l’aviation civile

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Un protocole d’entente a été signé aujourd’hui au ministère du Transport entre l’OACA (Office de l’Aviation civile et des aéroports) et l’Agence nationale congolaise de l’aviation civile.

Aux termes de ce contrat, les deux parties entendent développer et renforcer la coopération bilatérale dans tous les domaines de l’aviation civile, dont notamment les services de navigation aérienne ainsi que l’exploitation et la gestion des aéroports.

La signature du protocole s’est déroulée en présence du ministre du Transport, Anis Ghdira, du consul  général congolais en Tunisie, du président-directeur général de l’OACA, Khaled Chelly et du directeur général de l’aviation civile, Habib Mekki.

À cette occasion, le ministre du Transport a mis en valeur cet accord qui va permettre de consolider dans le futur les relations et les échanges économiques et commerciaux entre les deux pays. Il a expliqué, dans le même sens, que cette initiative s’inscrit dans le cadre du processus général du ministère du Transport portant sur l’ouverture vers le marché africain.

D.T

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Carthagea prépare la transformation de son premier hôtel en EHPAD

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La société Carthagea, opérateur français gestionnaire de résidences médicalisées en Tunisie, qui va transformer l’hôtel Saphir Palace à Yasmine Hammamet en Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD), vient de signer un accord de partenariat avec Business Reform&Competitiveness Project-BRCP), programme financé par l’Agence Américaine pour le développement International (USAID).

Cet accord s’inscrit dans le cadre du plan de développement de ladite société, en l’occurrence par la formation et la mise à niveau du personnel hôtelier, des aides-soignantes ainsi que des infirmières recrutés dans le cadre des activités de la société Carthagea.

L’intervention du BRCP se concentre sur le soutien à la formation du personnel à travers divers ateliers spécifiques et propres à chaque corps de métier, qui s’articulent autour de thèmes tels que : « Mieux connaître et accompagner la personne dépendante », « la prise en charge des personnes dépendantes » ou encore « les soins infirmiers chez les malades d’Alzheimer ».

Paraphé par Alexandre Canabal pour le compte de Carthagea et par Iskander Ben Mustapha, représentant le BRCP, cet accord vient soutenir la création de quelques 300 emplois directs et pérennes à forte valeur ajoutée pour la Tunisie.

A cette occasion, Alexandre Canabal, président-fondateur de Carthagea, « s’est félicité de ce partenariat, qu’il présente comme étant primordial pour la mise à niveau de la formation du personnel de Carthagea en amont du démarrage de son activité ».

Alexandre Canabal, président-fondateur de Carthagea.

Alexandre Canabal, président-fondateur de Carthagea

Et d’ajouter « Nous sommes convaincus de la viabilité du projet de Carthagea et de ses bénéfices pour la Tunisie. Pour cette raison,nous accueillons favorablement la collaboration du BRCPafin de nous aider à mener à bien notre mission, marquant ainsi sa confiance en notre projet. »

Il est à noter que le Business Reform and Competitiveness Project (BRCP) est un programme financé par l’USAID (Agence Américaine pour le Développement International) qui a pour objectif de renforcer la compétitivité des entreprises tunisiennes avec pour finalitéla création d’emplois durables.



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Nouvelair: des uniformes new look pour ses hôtesses

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Nouvelair change l’uniforme de ses hôtesses pour accompagner ses nouveaux objectifs de croissance et sa stratégie de développement des vols réguliers.

« Ce changement reflète l’image moderne et innovante de la compagnie, qui ne cesse de fournir à ses clients les meilleures conditions de voyage » souligne le transporteur privé.

En effet, Nouvelair estime que ses équipages sont les ambassadeurs de la compagnie auprès de ses clients et la tenue vestimentaire est un élément majeur de son image.

La nouvelle tenue a été conçue d’une manière coopérative et représente le fruit d’une réflexion partagée par l’ensemble du personnel de la compagnie.

« Ces nouveaux uniformes expriment les aspirations de Nouvelair à savoir, les valeurs de proximité, professionnalisme et élégance » précise encore la compagnie dans un communiqué.



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Yacht Med Festival : refaire parler de la Tunisie touristique comme il se doit

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L’incontournable Yacht Med Festival va tenir sa première édition en Tunisie du 12 au 16 octobre prochain. En collaboration avec la Chambre tuniso-italienne de commerce et de l’industrie, ce rendez-vous constituera une opportunité inédite pour relancer la destination Tunisie.  

 Le Yacht Med Festival débarquera pour la première fois en Tunisie après avoir atteint sa 10e édition en Italie. Du 12 au 16 octobre, le Port-Marina de Gammarth  va vivre au rythme des affaires entre les opérateurs économiques et touristiques tunisiens et italiens. Des rencontres B2B, des conférences internationales, des jeux, des concours, des prix sont au menu de cet événement incontournable. « Cette première édition du Yacht Med Festival : Blue Tunisia-Lazia International » vise à solliciter et développer des opportunités d’affaires et de partenariat entre les entreprises de la région de Lazio et les entreprises tunisiennes dans tous les secteurs d’intervention, ainsi que faciliter le processus d’interaction et le développement de projets communs », ont estimé les organisateurs du projet lors de la conférence de presse organisée le 19 septembre à Tunis.

Elle a aussi pour but d’ouvrir de nouveaux horizons sur le marché maghrébin dans plusieurs secteurs, comme le nautique, les activités portuaires touristiques, le tourisme, l’artisanat, etc. Le projet du Yacht Med Festival a pu voir le jour grâce à de nombreux partenariats entre des institutions tunisiennes et autres italiennes. Il s’agit notamment du Port-Marina de Gammarth, l’Association tunisienne des activités nautiques de plaisance, l’Institut supérieur professionnel du tourisme, la Fédération tunisienne de voile, la Chambre de commerce de Latina et les ministères du Tourisme, du Transport et des Affaires locales.

Événement exceptionnel

Sans aucun doute, le YMF revêt un intérêt particulier pour la Tunisie. Il représente une opportunité exceptionnelle à saisir par les autorités et les opérateurs touristiques tunisiens afin de relancer la destination tunisienne et faire revenir les touristes européens. Cette valeur exceptionnelle de l’événement se justifie, tout d’abord, par le fait qu’il va permettre à la Tunisie de rassurer les Italiens en particulier et les Européens en général quant à la situation sécuritairedans le pays.

Les autorités tunisiennes seront ainsi contraintes de faire preuve de leur engagement pour réussir ce grand événement. Elles devront aussi confirmer qu’elles ont pris les choses en main et que les soucis sécuritaires n’ont plus aucune raison d’être.

Secundo, il faut dire que cet événement interviendra dans une période cruciale. Sa réussite permettra, ainsi, d’envoyer un message fort au monde pour soutenir le pays non seulement dans le domaine du tourisme, mais également pour réussir le grand rendez-vous international sur l’investissement qui aura lieu fin novembre. « La tenue du Yacht Med Festival en Tunisie témoigne de l’engagement de l’Italie à aider la Tunisie à relancer son économie, à montrer notre engagement en ce qui concerne la Conférence internationale sur l’investissement et pour encourager le retour des touristes européens», a déclaré Raimondo De Cardona, l’ambassadeur d’Italie en Tunisie.

Développer l’activité yachting et des croisières

Bien que plusieurs activités soient concernées par les travaux du Yacht Med Festival, l’activité yachting et des croisières dans la Méditerranée va occuper une place importante dans les rencontres. Ce qui permettra aux acteurs touristiques tunisiens d’aborder la question du retour des croisières en Tunisie et peut-être de persuader les tour-opérateurs qui y participeront à reprogrammer la Tunisie à partir de l’été 2017.

« Si nous sommes conscients que ce n’est pas une tâche facile à mener, nous œuvrons actuellement d’arrache-pied en concordance avec le ministère du Tourisme pour convaincre les parties concernées à reprogrammer la Tunisie à partir de l’été 2017 », a indiqué l’ambassadeur De Cardona.

Nouvelle vision du tourisme    

Lors du YMF, les participants se pencheront, par ailleurs, sur l’élaboration d’une nouvelle vision du tourisme dans la  zone Méditerranée. La conférence qui aura lieu le 15 octobre  sous le thème « Les parcours soutenables des stations touristiques et la valorisation de leur beauté. Vers un nouveau modèle de développement touristique de luxe et culturel », traitera le sujet autour des nouveaux circuits touristiques pouvant tirer vers le haut les produits touristiques et les diversifier.

In fine, il est à rappeler que plus de 100 exposants sont attendus au festival, plus de 400 rencontres B2B, 9 séminaires et workshops seront organisés. En outre, plusieurs compétitions sportives (voile, windsurf, kayak, moto marines, The Summer Ribat Raid…) seront disputées. En effet, plus de 20.000 visiteurs sont attendus, ainsi que plus de 10 agences de presse nationales et internationales seront invitées pour la promotion de l’événement à l’international. Sans oublier, par ailleurs, les spectacles musicaux, un défilé de mode et une cérémonie de remise d’Awards.

K.C.



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Voyage culinaire à l’italienne au Mövenpick Gammarth

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Le Mövenpick Hotel Gammarth Tunis et en collaboration avec  le groupe RM organisent une semaine gastronomique italienne du 20 au 25 septembre au restaurant The Breeze. Durant cette semaine, le chef étoilé Enrico  Gerli, venu spécialement d’Italie et en collaboration avec le chef Tahar Trabesli, invitent à savourer et à déguster une cuisine italienne, ensoleillée et authentique, un pur moment de bonheur pour les gourmets.

Les clients se verront proposer avec la carte gastronomique pour les dîners d’une ambiance de musique live aux notes italiennes. Le dimanche 25, la clôture avec un Brunch un buffet toujours aux saveurs de l’Italie au restaurant Horizon.



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Tunisair: mouvement dans ses représentations à l’étranger

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La compagnie Tunisair a annoncé aujourd’hui de nouvelles nominations de ses représentants à l’étranger dont 3 femmes.

Les marchés concernés sont la Belgique (couvrant également Luxembourg et Pays-Bas), l’Italie, la France (représentants régionaux à Paris et Nice), l’Algérie, l’Egypte, la Russie et le Niger.

Ont été nommés:

Helmi HASSINE (photo), représentant général pour l’Italie avec siège à Rome,

Abderraouf KHELIL, représentant général pour le BENELUX avec siège à Bruxelles,

Houda BEN YOUSSEF, représentante pour l’Egypte avec siège au Caire,

Sofiene DEBBECH, représentant pour le Niger, basé à Niamey,

Belgacem AOUINA, représentant pour l’Algérie basé à Alger,

Kais BESBES, représentant pour le marché russe basé à Moscou,

Imen AMARA, représentante régionale à Paris,

Nabila BLOUZA TOUMI,  représentante régionale à Nice.

 

 

 

 

 

 

 



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Elle ne dort pas, elle passe le temps

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C’est l’histoire d’une photo qui a fait le buzz sur les réseaux sociaux, celle d’une préposée à l’accueil des touristes au Ribat de Monastir. L’ONTT, pointé du doigt dans un premier temps, est vite monté au créneau pour démentir qu’il s’agisse de l’une de ses salariés.

En fait, il s’est avéré que la pauvre malheureuse était bien chargée de distribuer des brochures touristiques pour le compte de l’Agence de mise en valeur du patrimoine relevant du ministère de la Culture.

Mais faute de touristes, elle n’a certainement pas résisté à l’envie de piquer un petit somme. Encore heureuse qu’on ne lui ai pas piqué son sac à main.

D.T



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Radhouane Ben Salah, président de la FTH : «Signer des contrats en devises, solution bloquée par la BCT»

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Dans la tourmente de la crise qui secoue les unités hôtelières désertées depuis 2015 après les attentats du Bardo et de Sousse, le plan de sauvetage du secteur tarde à être mis en application. Des décisions prises depuis juin 2015 afin d’alléger les charges financières sur les hôteliers sont toujours bloquées.

D’autres initiatives ont du mal à voir le jour, comme la signature des contrats en devises avec les T.O. Bref, les professionnels sont entre le marteau des problèmes structurels et l’enclume des contraintes conjoncturelles et la lourdeur administrative. Dans cet entretien, Radhouane Ben Salah, président de la FTH (Fédération tunisienne de l’hôtellerie) pointe du doigt la Banque centrale qui bloque selon lui la mise en application des mesures prises en faveur du secteur, ainsi que la signature des contrats en devises avec les tour-opérateurs.

On ne cesse de parler depuis un bon bout de temps de la restructuration du secteur touristique et de l’amélioration des services dans les hôtels, mais réellement rien n’a changé. Ne pensez-vous que c’est le moment de faire bouger les choses ?

En parlant de la restructuration, bien qu’une partie nous revienne, le gouvernement a la charge de la plus grosse partie, compte-tenu du fait que les finances propres des professionnels ne suffisent plus pour mettre sur pied un tel programme. J’ajoute qu’un programme de restructuration veut dire alléger les charges financières des hôtels en envisageant une solution pour le fardeau de l’endettement. Mais pas seulement, car il fallait trouver de nouvelles ressources de financement qui soient exploitées avec les fonds propres dans la rénovation des hôtels, la formation des personnels et la modernisation des moyens de commercialisation.

En réalité, nous l’avons demandé depuis longtemps. Or, le gouvernement n’a réagi qu’en 2015 avec la Loi de finances complémentaire. Hélas, cette dernière ne suffit pas car elle requiert aussi une circulaire de la Banque centrale détaillant les mesures autorisant l’application de ces décisions. Cette circulaire n’a jamais vu le jour malheureusement. De plus, nous avons besoin d’une nouvelle stratégie dont nous avons déjà esquissé les grandes lignes.

Si nous voulons avancer avec ce secteur qui devra rebondir le plus rapidement, nous sommes contraints de lui donner les moyens pour qu’il puisse le faire. D’ailleurs, nous n’avons jamais demandé de l’argent sans contrepartie. Toutefois, le remboursement devra être dans les délais similaires aux pays concurrents, soit sur 20 et 25 ans, avec des conditions beaucoup plus avantageuses et non pas sur 10 ans et avec des clauses trop strictes. Il faut savoir que dans les pays concurrents, le TMM est très bas, soit entre 0 et 2%, tandis qu’en Tunisie, le TMM est à 4,8%. Avec les 4% -la marge de la banque-, cela devient insupportable pour les hôteliers, d’autant plus que cela pèse énormément sur la compétitivité de nos unités hôtelières par rapport aux pays concurrents.

D’après vous, où réside le mal ? Et que proposez-vous comme alternatives ?

À mon avis, nous avons suffisamment de lits pour le balnéaire et le tourisme classique. Il est crucial, de ce point de vue, de développer d’autres modes d’hébergement comme les maisons d’hôtes et les gîtes ruraux, mais également diversifier les nouvelles composantes de produits, comme le tourisme sportif, le tourisme de chasse, le tourisme saharien et culturel, etc.

Toutes ces alternatives sont tracées noir sur blanc sur le papier, mais nous n’arrivons pas à les mettre en exécution. Et c’est là où le bât le blesse, car le ministère du Tourisme n’est pas le seul concerné par le secteur touristique, puisqu’il y a aussi le ministère des Affaires culturelles, le ministère des Finances, le ministère de l’Intérieur, le ministère des Affaires étrangères et la Banque centrale. Sans oublier, par ailleurs, l’environnement qui constitue un maillon important de la chaîne touristique.  Les touristes n’acceptent pas de venir en Tunisie aujourd’hui pour voir autant de saleté dans les rues.

On constate d’après ce que vous avez dit que la stratégie pour le développement du secteur et sa restructuration sont là, mais les autorités concernées font toujours la sourde oreille. Ne pensez-vous pas que c’est le moment d’exercer un forcing auprès du ministère du Tourisme et du gouvernement afin d’accélérer l’application de cette stratégie et des mesures annoncées en 2015 pour sauver le secteur ?

Justement, nous sommes en train de le faire. En effet, la ministre du Tourisme va, soit nous réunir avec le chef du gouvernement, soit lui transmettre toutes nos doléances pour qu’il agisse afin de mettre le plan de sauvetage du secteur en application.

Le gouverneur de la Banque centrale a déclaré récemment à notre site que le secteur du tourisme est en train d’agoniser et qu’il n’existe pas de solutions pour le sauver. Qu’en pensez-vous ?

Ce n’est pas vrai. Les solutions existent toujours. Dans ce sens, j’évoque que le nouveau gouvernement est en train de trouver des lignes de crédits à long terme, entre 20 et 25 ans. Par ailleurs, je demande de nous octroyer des avantages similaires à nos concurrents et vous allez voir que nous sommes capables de développer et faire sortir le tourisme de l’ornière.

Quand pourrez-vous bénéficier de ces lignes de crédits ?

Je ne sais pas exactement car c’est le gouvernement qui travaille là-dessus. Néanmoins, je pense que le nouveau ministre de l’Investissement et de la Coopération internationale, Mohamed Fadhel Abdelkefi, est bien sensibilisé sur ce sujet et il a de grandes relations et connaissances concernant les sources de financement qui peuvent nous octroyer des crédits à long-terme et avec des conditions intéressantes.

L’une des solutions qui pourrait avoir un impact positif sur l’avenir du secteur touristique, c’est la signature des contrats en devises avec les T.O et pas en dinar. Pourquoi tarde-t-elle encore à être appliquée ?

Signer des contrats en devises, cette solution a été toujours bloquée par la BCT. Cette dernière a juste recommandé de signer des contrats en devises afin d’éviter les pertes subies en cas de glissement du dinar. Mais cette recommandation ne sert à rien. Nous voulons une circulaire qui exige des contrats en devises pour qu’on puisse dire aux T.O. que nous avons une exigence. A ce moment-là,  les hôteliers pourront se réunir autour de cette décision et pousser les T.O. à l’appliquer. Mais actuellement, ces T.O. sont plus forts que les unités hôtelières et nous sommes incapables de leur imposer quoi que ce soit.

C’est une décision urgente et nécessaire pour le bien du secteur mais aussi du tourisme. Cette année, nous avons enregistré des pertes atteignant 11% qui sont allées directement dans les poches des T.O, car le dinar tunisien a affiché un glissement de 11% en 6 mois. Il faut donc arrêter cette hémorragie et penser à intervenir rapidement avant qu’il ne soit trop tard.

Quel rôle pourrait être joué par les chaînes d’hôtels internationales qui sont installées ou qui comptent s’installer en Tunisie pour aider à sortir de la crise actuelle de l’hôtellerie ?

Il faut, d’abord, comprendre que les chaînes hôtelières internationales prennent les hôtels en gestion pour compte. C’est-à-dire, c’est le propriétaire qui paye, mais c’est eux qui gèrent. Donc, il y a des chaînes qui peuvent améliorer l’image de la Tunisie comme Four Seasons qui compte s’implanter en Tunisie, car il a une qualité de clientèle qui est supérieure à ce qui existe en Tunisie. Idem pour Ritz Carlton qui va être à Carthage. Cela contribuera à redorer l’image de la Tunisie. Par contre, il y a des chaînes qui n’ont pas un grand savoir-faire ou leur savoir-faire est l’équivalent du gestionnaire tunisien, pour ne pas dire inférieur.

Propos recueillis par Kemel Chebbi

 

 

 

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L’ONTT nomme 3 représentants à l’étranger

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L’Office national du tourisme tunisien a complété l’affectation de ses 3 bureaux à l’étranger restés sans représentants jusqu’à présent. La première vague dévoilée à la mi-août avait vu la nomination de représentants en Allemagne, Grande-Bretagne, Italie et Scandinavie (lire les détails).

Désormais, c’est au tour de la Hollande dont la représentation a été confiée à Mohamed Attia. A Budapest, c’est Raja Ammar Chehata qui a été nommée en tant que représentante, tandis qu’à Bruxelles, la direction du bureau a été confiée à Ichrak Ben Faten.

il est à noter qu’il s’agit d’un mouvement traditionnel des représentants qui ont été sélectionnés sur concours interne.

Lire aussi sur le même sujet:

L’ONTT réduit son personnel à l’étranger et ferme une représentation.



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Dernière minute: la grève dans les hôtels n’aura pas lieu

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Les propriétaires des hôtels ont eu chaud. La grève annoncée pour les 17 et 18 septembre n’aura finalement pas lieu.

Un accord a été arraché à la dernière minute cet après-midi entre la Fédération tunisienne de l’hôtellerie et la Fédération Générale des Industries Alimentaires, du Tourisme, de l’Artisanat et du Commerce relevant de l’UGTT.

Cependant, les hôteliers ont dû consentir des majorations de salaire de 6% mais avec effet rétroactif au 1er janvier 2016 et non plus 2015 comme l’exigeait la partie syndicale initialement. Ces augmentations devront être effectives à partir du mois de septembre courant.

L’annonce de la grève avait créé un climat de tension dans les milieux touristiques en ce sens qu’elle s’annonçait difficile avec aucun service minimum assuré.

C’est à Djerba, où les mouvements syndicaux sont généralement les plus durs, que la grève était particulièrement crainte étant donné le nombre important de clients qui séjournent actuellement dans les hôtels de l’Île, notamment des Russes mais aussi des touristes allemands et français qui enregistrent un retour timide mais perceptible.

Cérémonie de signature de l'accord entre la FTH et l'UGTT pour l'augmentation de 6% des salaires des employés du secteur en présence du ministre des Affaires sociales et de la ministre du Tourisme.

Cérémonie de signature de l’accord entre la FTH et l’UGTT pour l’augmentation de 6% des salaires des employés du secteur en présence du ministre des Affaires sociales et de la ministre du Tourisme le 15 septembre 2016.



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France: l’Etat met 10 millions d’euros sur la table pour aider le tourisme

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Frappé de plein fouet par les attentats de Paris et de Nice, le tourisme en France a enregistré une baisse notable de ses principaux indicateurs. Dans un pays où le secteur pèse 170 milliards d’euros de chiffre d’affaires (dont 90 milliards provenant des secteurs cafés, hôtels, restaurants) et compte 2 millions d’emplois directs et indirects, on mesure toute l’importance qui lui est due.

Le ministre des Affaires étrangères et du Développement international Jean-Marc Ayrault a annoncé le 13 septembre courant, à l’issue du deuxième comité d’urgence économique dédié au tourisme, le déblocage de 10 millions d’euros supplémentaires pour la promotion du secteur selon des informations rapportées par l’AFP. Ce deuxième comité d’urgence a réuni une cinquantaine de professionnels du tourisme, comme AccorHotels, Sodexo, SNCF, Booking, Galeries Lafayette, l’Umih, le GNI, mais aussi des institutionnels comme Atout France, les élus de divers départements.
Un climat de mobilisation

«C’était un climat de mobilisation, il n’y a pas de résignation. Même si nous avons identifié des problèmes, l’envie est d’avoir un message positif pour promouvoir la destination touristique France. C’est la raison pour laquelle j’ai annoncé le déblocage de 10 millions d’euros du ministère des Affaires étrangères pour financer, avec Atout France, une campagne qui se déclinera dans les régions de France, pour la promotion de la France», a déclaré au Quai d’Orsay, J.M. Ayrault cité par l’AFP.

Le ministre, qui avait présenté en mars un plan doté d’un million d’euros pour promouvoir la France à l’étranger après les attentats de 2015, centré sur Paris et quelques destinations associées dont le Val de Loire, avait annoncé fin août «mobiliser 500.000 euros additionnels» au profit de ce programme piloté par Atout France, pour couvrir notamment la Côte d’Azur.

Chute de fréquentation
«Il faut regarder les choses en face, il y a une baisse d’environ 8% de la fréquentation (arrivées internationales, ndlr) en France par rapport à l’an dernier, mais en même temps, il y a une capacité de résistance remarquable dans certaines régions de France », a assuré le ministre.
Selon lui, «dans la région Provence Alpes Côte d’Azur (PACA), il y a eu aussi une mobilisation des professionnels qui a été bénéfique, mais il ne faut pas nier qu’une partie de la clientèle internationale a diminué à Paris et en Ile-de-France et aussi en PACA», a-t-il dit.



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Menaces de grève dans les hôtels: la tension à son paroxysme

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La Fédération tunisienne de l’hôtellerie (FTH) a ameuté la presse aujourd’hui pour mettre le syndicat UGTT face à ses responsabilités et a appelé l’Etat à jouer son rôle dans un climat de menace de grève décrétée pour le 17 et le 18 septembre courant alors que les hôtels comptent encore plusieurs milliers de clients en cette fin de haute saison qui se termine par des chiffres négatifs.

En présence des différents membres de son bureau exécutif, la FTH a tenu un point de presse aujourd’hui pour jeter la lumière sur son bras de fer avec l’Ugtt qui date déjà depuis un moment mais qui vient de passer un nouveau seuil. Le président de la FTH, Radouane Ben Salah, a expliqué que les raisons de ce bras de fer reviennent à la volonté de l’organisation syndicale d’augmenter les salaires des employés des hôtels au titre de l’année 2015.

Selon lui, les hôtels ne sont pas prêts aujourd’hui à assumer un engagement financier supplémentaire dans les circonstances actuelles. « Les chiffres enregistrés en 2015 en disent beaucoup sur la crise qui secoue le secteur depuis l’année de la révolution. Avec seulement 16 millions de nuitées enregistrées dans les hôtels, le bilan est largement négatif par rapport à 2014 où le secteur avait enregistré 29 millions nuitées hôtelières, soit une chute d’environ 38%.

Pou preuve les recettes touristiques qui ont subi une perte majeure. Par ailleurs, le taux d’occupation des hôtels a été de 27,7% en 2015 contre 44,9% en 2014, sachant de surcroit que le nombre total des lits en exploitation a connu une baisse considérable atteignant 20% passant de 192.000 lits en exploitation en 2010 à 177.000 lits à fin 2015. Autrement dit, le taux d’occupation dépasse largement les 20% », a-t-il argumenté.

Depuis 2010, et d’après la FTH, les hôteliers ont consenti plusieurs sacrifices afin qu’un climat social favorable soit assuré. Les salaires ont été augmentés à deux reprises (2012 et 2014). Mais  les hôteliers sont aujourd’hui dans l’impasse. « L’Ugtt veut une majoration de 6% des salaires, comme le reste du secteur privé. Cependant, les secteurs privés ne sont pas dans la même situation. D’ailleurs, plusieurs hôteliers ont injecté de leur propre argent dans les caisses de leurs hôtels pour les sauver », a rappelé le président de la FTH.

Mobilisation des hôteliers de toutes les régions: Slim Dimassi (Monastir), Nabil Ben Abdallah (Aïn Draham) et Habib Bouslama (Hammamet)

Hôteliers de toutes les régions mobilisés: Slim Dimassi (Monastir), Nabil Ben Abdallah (Aïn Draham) et Habib Bouslama (Hammamet).

Les professionnels ont les mains liées

Il a, par ailleurs, considéré que les professionnels ont les mains liées, à cause non seulement de leur situation financière mais aussi par la lourdeur administrative, la restructuration du secteur qui tarde toujours à être initiée et à cause de l’impuissance face à un climat économique défavorable et morose. « Certains hôtels ont du mal aujourd’hui à payer les salaires de leurs employés, comment supporter une nouvelle charge financière ? », s’est-il demandé, avant d’ajouter : « Ces hôteliers seront condamnés à annoncer leur faillite et à fermer leurs portes. Il faut savoir, en outre, que les hôtels travaillent réellement 3 ou 4 mois seulement par an. Le reste de l’année, l’activité touristique est en stagnation ».

Radhouane Ben Salah a indiqué, dans le même contexte, que les gens parlent beaucoup des aides octroyées aux hôteliers. Néanmoins, à peine 10% de ces décisions en faveur du secteur ont été appliquées. Le reste n’a jamais vu le jour. « Ne parlons pas des banques qui ont barré la route au devant des hôteliers et les privent des prêts bancaires. Seuls les hôteliers qui acceptent des conditions très strictes et très exigeantes avec des taux d’intérêt très élevés ont la possibilité d’accéder aux crédits bancaires », a-t-il enchaîné.

Le président de la FTH a conclu que l’augmentation des salaires est impossible ni pour l’année 2015, ni pour 2016, surtout que les décisions gouvernementales prises le 29 juin 2015 en faveur du secteur de l’hôtellerie pour soi-disant l’aider tardent à être appliquées, en rappelant que plusieurs réunions ont regroupé les deux parties sans avoir pu aboutir à une solution concrète.

Hôteliers de Yasmine Hammamet.

Des coûts d’exploitation majorés

Pour sa part, Jalel Henchiri, président de la Fédération régionale de l’hôtellerie de Djerba-Zarzis, a appelé les parties syndicales à mettre fin aux actes provocateurs et à se réunir autour d’une même table pour discuter d’abord de comment sauver le secteur, le restructurer et préserver les postes d’emploi. Il a rappelé, dans ce sens, que les hôtels ont toujours honoré leurs engagements envers leurs salariés.

« Les hôtels ont continué à payer leurs salariés permanents pendant les périodes de fermeture même les plus difficiles. De plus, les syndicats savent que 2015 était une année difficile. C’est pour cette raison d’ailleurs qu’ils n’ont pas négocié l’augmentation des salaires en 2015. Pourquoi ils la demandent aujourd’hui ?» s’est-il interrogé.

J. Henchiri a ajouté que le syndicat justifie sa revendication par le pouvoir d’achat détérioré du citoyen, tout en ignorant que cette augmentation au niveau des factures de la Steg et de la Sonede a touché également les hôtels qui souffrent désormais des coûts d’exploitation majorés. En parallèle, les hôteliers sont en train de baisser les prix pour attirer les touristes et relancer le secteur.

« L’absence d’un service minimum durant cette grève va faire beaucoup de tort à l’image de notre secteur et de notre pays. Donc, la mise en arrêt total de l’activité des hôtels pendant deux jours ou le fait de forcer leurs collègues à ne pas travailler va achever le secteur. Nous appelons le gouvernement à trouver une solution, car ces grèves vont toucher l’image de tout le pays et pas seulement le tourisme », a-t-il regretté.

Hôteliers de Monastir: Wajdi Skhiri (à g.) et Slim Dimassi.

Hôteliers de Monastir: Wajdi Skhiri (à g.) et Slim Dimassi.

Il faut ouvrir aussi le dossier de la flexibilité du travail. L’activité touristique varie d’une région à l’autre. Certains hôtels travaillent trois ou quatre mois seulement par an, tandis qu’ils paient 14 mois de salaires comme le dicte la convention collective. Il faut repenser le système et voir une solution qui aille avec les particularités de chaque région. « Avec ce genre de grèves, nous risquons de perdre, par exemple, le marché russe, qui a sauvé la saison cette année, notamment avec une concurrence féroce et le retour de la destination turque », a conclu Jalel Henchiri.

K.C

 



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Mise en place d’une instance « Réflexion-action » entre la FTAV et le ministère du Tourisme

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Les membres du conseil d’administration de la Fédération tunisienne des agences de voyages et de tourisme (FTAV) ont été reçus le 9 septembre courant par la ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Selma Elloumi Rekik, dans le cadre d’une réunion périodique d’information et d’échanges s’inscrivant dans la lignée des bonnes relations instaurées entre la FTAV et l’administration du Tourisme.

A l’ordre du jour, la situation du secteur touristique en général, sachant qu’ont également assisté à cette réunion 6 présidents de commissions au sein de la FTAV, à savoir ceux en charge de l’Outgoing, de la Omra, du transport aérien, du MICE, du tourisme médical et des croisières.

L’ensemble de ces thèmes ont été examinés à la lumière de la situation qui prévaut et des mesures à prendre afin de résoudre les grosses difficultés rencontrées, s’agissant dans plusieurs cas de questions de survie de certaines entreprises touristiques.

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La situation difficile qui prévaut sur les marchés émetteurs traditionnels a également été évoquée ainsi que ses conséquences sur les agences de voyage réceptives qui ont vu leurs activités plonger face à la chute des arrivées. Concernant les arrivées russes, les relations entre les tour-opérateurs et les réceptifs de ce marché ont débattues à la lumière de la dernière saison marquée par un record de touristes russes en Tunisie.

Autre point stratégique abordé, celui de la situation des agences de voyages de la région du sud-ouest dans un contexte marqué par une crise situation extrêmement préoccupante pour le tourisme saharien.

Lors de cette réunion, le président de la FTAV, Mohamed Ali Toumi, a soumis à la ministre du Tourisme et de l’Artisanat, une proposition consistant à mettre en place une instance bipartite dénommée « Réflexion-action » dont la mission sera de résoudre avec célérité les problèmes nécessitant des solutions urgentes grâce à une structure légère composée à la fois de représentants de l’administration du tourisme et de la FTAV.

Cette proposition a été acceptée par Madame Selma Elloumi Rekik qui a apporté tout son soutien à l’initiative.

(Communiqué)

 



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Les hôteliers « exaspérés par les menaces et le chantage syndicaux »

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Les hôteliers tunisiens se disent outrés par le climat syndical qui prévaut actuellement. Le préavis de grève dans les hôtels déposé pour le 17 et le 18 septembre courant exaspère au plus haut au point les professionnels du secteur qui se sont réunis à ce sujet aujourd’hui sous l’égide de leur fédération de tutelle, la FTH, et de son président, Radhouane Ben Salah.

Le patronat hôtelier déclare ne plus tolérer la pression exercée sur eux pour les pousser à ouvrir des négociations salariales au titre de l’année 2015 au profit des employés du secteur. Ils déplorent que déjà, du 29 au 31 juillet, ces derniers avaient porté un brassard rouge en signe de protestation.

Pourtant, le 6 septembre dernier, lors d’une réunion avec les syndicats au siège du ministère des Affaires sociales, les représentants de la FTH avaient clairement signifié leur désaccord concernant l’ouverture de négociations pour d’éventuelles augmentations de salaires.

La FTH explique que la situation réelle du secteur du tourisme a été faussée. Elle s’indigne de l’appel à la grève lancé par l’UGTT (sans le nommer) et du climat social qui en résultera, avec les conséquences qui pourront en découler. Mais c’est aussi cet appel à interdire l’accès des hôtels aux arrivants qui irrite les hôteliers. Ceux-ci en appellent par conséquent à l’Etat afin qu’il assure la protection des « hôtes de la Tunisie et afin que leur soient assurées les prestations » qu’ils sont en droit d’attendre.

Lors de la réunion tenue ce matin à Tunis, le conseil national de la FTH a prévenu les syndicats que la grève ne contribuera qu’à aggraver la situation et que les salaires pourraient ne pas être versés à la fin de ce mois.

Le patronat s’est dit cependant disposé à ouvrir un nouveau round de négociations avec les syndicats mais loin de toute forme de « pression et de terreur ». Des négociations qui ne pourront se faire qu’en prenant en considération la véritable situation économique des hôtels qui enregistrent leur 5e année de crise successive a-t-il prévenu.

La FTH annonce qu’elle va tenir ce mercredi une conférence de presse pour en dire plus sur le climat qui prévaut.



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Tunisair et la protection des données personnelles de ses passagers

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La compagnie Tunisair a annoncé aujourd’hui avoir obtenu 5 certifications dans le domaine de la protection des données personnelles attribuées par l’Instance nationale de la protection des données personnelles.

Dans un communiqué, le transporteur public explique que la protection des données concerne le transfert à l’étranger des informations personnelles des passagers, la vidéosurveillance et le traitement des données personnelles biométriques.

Un trophée a été remis pour la circonstance à Sarra Rejeb, PDG de Tunisair, par Chawki Gueddes, président de l’Instance (photo ci-dessus). Ce dernier, lors de la cérémonie, a considéré Tunisair « comme une entreprise pionnière dans le domaine de la protection des données personnelle en Tunisie ».

De son côté, la présidente de Tunisair a indiqué que « ce sujet est une priorité pour le transporteur national qui ne cesse  d’accroître ses efforts pour s’améliorer et que l’obtention de ses certifications constitue une garantie pour les clients et les agents de la compagnie ».

Cette rencontre a aussi été l’occasion d’évoquer les domaines de coopération entre Tunisair et l’instance nationale de protection des données personnelles notamment en matière de formation.

 



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Rencontres culinaires méditerranéennes à Monastir

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L’expérience gastronomique étant devenue une composante importante du voyage, les produits des terroirs ayant de plus en plus de potentiel d’attirer les voyageurs internationaux, la restauration est devenue indissociable de l’image de toute destination et capable de lui apporter une réelle valeur ajoutée.

Etant donné dans ce cadre que l’axe culinaire est devenu un des premiers pas pour la promotion de la destination touristique d’un pays, MéditéaTunisia, association du réseau Méditéa, l’Agora des cuisines méditerranéennes, s’apprête à organiser le 1er événement Cook&ShareTunisia et ce du 14 au 16 octobre 2016.

Organisé sous forme de Rencontres culinaires méditerranéennes entre professionnels, cet événement va faire partager les fondamentaux de la cuisine tunisienne et de l’art culinaire dans la  ville de Monastir.

Cook&Share, un concept innovant et unique :

Cook & Share Tunisia va donc associer au sein d’un même espace interactif des show-cookings, masterclasses et ateliers entre chefs, experts, producteurs et fournisseurs qui partagent leur savoir-faire et leurs pratiques : des show-cookings et master-classes à partir de produits tunisiens permettront de découvrir des fondamentaux de la cuisine et de l’art culinaire tunisiens. Les chefs tunisiens sont choisis pour leur maîtrise des techniques traditionnelles et pour leur façon de revisiter la cuisine tunisienne. Avec des chefs renommés des pays méditerranéens, ils vont faire découvrir et partager leur savoir-faire.

Ensuite, des ateliers d’échange avec des experts scientifiques (médecins, nutritionnistes, sociologues, historiens), économiques (conseil pour le développement de concepts de restauration), chefs et producteurs suivront chaque show-cooking sur les thèmes « Patrimoine et Innovation », « Restauration hôtelière et « Concepts de restauration».

Un marché de produits avec les producteurs et les fournisseurs permettra de réfléchir avec les chefs aux besoins spécifiques du développement de la restauration tunisienne.

Valoriser une identité culinaire tunisienne forte

Le but de l’événement est de valoriser et faire rayonner à l’international la Tunisie à travers son identité culinaire et les produits de son terroir. MéditéaTunisia s’est donné pour objectif au travers de ce premier événement Cook&ShareTunisia d’accompagner le développement de concepts de restauration tunisiens en Tunisie et à l’international, de développer l’offre de restauration d’hôtel comme un élément distinctif de l’offre touristique, et de contribuer à améliorer le circuit spécifique des produits pour la restauration.

Une forte participation et de nombreux partenaires

Près de 25 chefs méditerranéens participeront activement à cet événement montrant leur interprétation des thèmes selon leur culture culinaire à partir des produits tunisiens sélectionnés et mis à leur disposition, apportant ainsi un autre regard sur la cuisine tunisienne et d’autres savoir-faire.

Ils viendront de France, d’Italie, d’Espagne, de Grèce, de Croatie, deTurquie, du Maroc, d’Algérie, du Liban, d’Egypte et bien sûr de Tunisie.

Les Rencontres seront réservées aux professionnels de la restauration et de l’hôtellerie et aux experts de l’alimentation. Chefs, directeurs d’hôtels mais aussi boulangers et pâtissiers sont conviés sur invitation en tant que visiteurs.

Cook&ShareTunisia 2016 sera soutenu par de nombreux partenaires dont l’Office National du Tourisme Tunisien,  l’Institut National du Patrimoine, l’Agence de Mise en Valeur du Patrimoine,  FTH, Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie, FTRT (Fédération Tunisienne des Restaurants Touristiques), FTAV (Fédération Tunisienne des Agences de Voyage),  le gouvernorat de Monastir, SAULA Centre, Prima Tour, hôtel Royal Thalassa, Monastir, les écoles hôtelières…

A propos de Méditéa

Méditéa est un réseau international fondé par Agnès Caso, dirigeante de la société Créons du Sens à Lyon spécialisée dans l’accompagnement au développement d’activités, avec une expertise particulière dans le secteur foodservice, gastronomie, boulangerie et pâtisserie à l’international. Méditéa accompagne le lancement de Cook&ShareTunisia.

Le principe de Méditéa est de développer des événements professionnels pour les pays du bassin méditerranéen.

Le réseau Méditéa rassemble des professionnels, chefs renommés et experts de l’alimentation de haut niveau (économiques, scientifiques, médecins, nutritionnistes, historiens, sociologues…), de producteurs et de fournisseurs ainsi que de partenaires du foodservice, de l’hôtellerie, de la gastronomie, de la boulangerie et de la pâtisserie. Tous des passionnés de la Méditerranée.

Il a pour vocation de préserver le patrimoine culinaire, culturel et touristique des pays du bassin méditerranéen, de le partager entre professionnels et de faire rayonner l’excellence des cuisines méditerranéennes à l’international.

Tous ces chefs et experts sont les ambassadeurs pour valoriser, promouvoir, partager et transmettre l’excellence des produits et cuisines tunisienne et méditerranéenne.

A propos de MéditéaTunisia

MéditéaTunisia est une association du réseau Méditéa qui a pour vocation d’organiser des activités et événements pour préserver, valoriser et faire rayonner le patrimoine culinaire, culturel et touristique de la Tunisie.

Elle est présidée par Faten Zghal, également directrice de la Promotion au sein de la Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie, et directrice générale de Thalassa-Hôtels, Sousse

Sonia Hamzaoui fait partie des experts Méditéa international, Docteur en sociologie de l’Alimentation, nutritionniste et chercheur dans le domaine du patrimoine, Tunis.

Au-delà de l’organisation d’un événement pérenne en Tunisie avec les acteurs tunisiens, l’objectif de MéditéaTunisia consiste à innover pour promouvoir le tourisme tunisien à travers son art culinaire et à démarquer la destination culinaire Tunisie à l’international.

Communiqué-

 

 



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La Tunisie dans le viseur du groupe hôtelier allemand Steigenberger ?

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Il paraît que le groupe hôtelier allemand Steigenberger s’intéresse à l’investissement dans notre pays.

Cette information vient du ministère du Tourisme où Selma Elloumi Rekik a reçu hier 8 septembre, le président du groupe. Lors de la rencontre (photo ci-dessus), les deux parties ont abordé les éventuelles opportunités d’investissement en Tunisie, selon le communiqué publié sur la page officielle Facebook du ministère sans pour autant divulguer les détails de la rencontre ni les résultats.

Quoi qu’il en soit, si le groupe hôtelier allemand a décidé d’investir en Tunisie, cela permettrait d’envoyer un message rassurant aux autres opérateurs touristiques dans cette période de crise puisque l’investissement en Tunisie dans cette période difficile et dans le domaine touristique constitue un bon signe pouvant redonner confiance aux touristes européens en notre destination désertée depuis l’attentat du Bardo.

L’importance de cet investissement tient sa valeur également dans le poids du groupe hôtelier allemand Steigenberger lui-même présent actuellement dans 9 pays, à savoir : l’Allemagne, l’Egypte, la Chine, la Suisse, la Belgique, les Pays-Bas, l’Autriche, la Turquie et l’Espagne. Il y gère plus de 80 hôtels comptant plus de 14.000 chambres.

Il est, par ailleurs, à noter qu’en 2015, 22 hôtels appartenant au groupe ont obtenu le certificat d’excellence de TripAdvisor. Ce qui fait de Steigenberger l’un des meilleurs groupes hôteliers dans le monde qui assure une très bonne qualité de services et assurent un taux de satisfaction important chez ses clients.

K.C.



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La FTAV se penche sur le marché russe avec ses principaux acteurs en Tunisie

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A l’initiative de la FTAV (Fédération tunisienne des agences de voyages), une réunion s’est tenue hier à Tunis pour débattre de l’état des lieux du marché touristique russe et de ses perspectives. En présence des principaux acteurs du secteur, agences de voyage réceptives et représentants de tour-opérateurs russes ainsi que de plusieurs hôteliers, les débats ont porté sur les réalisations qui ont dépassé les attentes, mais aussi sur les défaillances constatées et sur les moyens d’y remédier sur la base d’un certain nombre de recommandations techniques concrètes émises par les professionnels.

L’île de Djerba, qui a reçu un contingent russe assez important cet été, a également été au centre des débats, que ce soit pour les problèmes environnementaux qu’elle a rencontrés ou pour la qualité du produit hôtelier qui, dans certains cas, a causé beaucoup de tort à l’image de la destination. A ce titre, plusieurs parmi les participants à la rencontre ont confirmé que les hôtels avec des produits déficients en début de saison sur le plan de la qualité avaient été immédiatement sanctionnés par les T.O qui les avaient retirés de leur programmation en juillet et en août.

Plus encore, ce sont surtout les perspectives pour l’année 2017 qui ont été débattues étant donné la nouvelle distribution des cartes intervenue récemment, en l’occurrence la reprise du charter sur la Turquie et probablement la levée prochaine des restrictions de voyages russes sur l’Egypte.

Le grand défi pour la Tunisie sera par conséquent de réussir en 2017 à se rapprocher autant que possible des réalisations de 2016 en se préparant dès à présent. Pour ce faire, un ensemble de mesures devra être arrêté en concertation avec l’administration du tourisme, laquelle devrait recevoir incessamment de la part de la FTAV un rapport comprenant un lot de recommandations dont la finalité est de préserver la part de marché de la Tunisie. Si les mesures préconisées par les professionnels sont véritablement adoptées et mises en application, que ce soit au niveau du soutien à l’aérien, de l’environnement, du produit hôtelier…, il y a lieu d’espérer garder une part de marché, même si tous les professionnels sont unanimes à admettre que le volume de cette année ne pourra pas se répéter.

Les professionnels préconisent également la mise en place d’un certain nombre d’actions de marketing et de communication urgentes au risque de perdre la part de marché du tourisme tunisien aussi vite qu’il l’a gagné cette année au départ de la Russie.

Mais au-delà de la situation qui a prévalu cette année et des estimations théoriques de l’année 2017, les professionnels invités par la FTAV ont également avancé des propositions pour le long-terme concernant le marché russe, s’agissant désormais de ne plus chercher à chaque fois à sauver la saison en urgence mais à mettre en place des fondements solides pour préserver notre part de marché, une approche valable également pour les autres marchés.

© Destination Tunisie

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Le C.A du réseau Selectour/Afat vient à Hammamet

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Le réseau français d’agences Selectour/Afat a choisi de tenir son prochain conseil d’administration en Tunisie. Celui-ci se déroulera du 13 au 15 octobre à Hammamet.

Les principaux patrons d’agences de voyage françaises, dont les agences de province ont confirmé leur participation.

La compagnie Tunisair est le transporteur officiel de l’opération qui se déroule en partenariat avec l’ONTT.

Présidé par Laurent Abitbol, Selectour-Afat est le premier réseau français avec 1200 agences adhérentes.

Le groupe est né de la fusion de deux réseaux historiques de la distribution de voyages en France : en janvier 2010, les groupements Selectour, créé en 1971, et AFAT Voyages, créé en 1989, ont fusionné pour donner naissance à un groupe puissant, qui conserve une particularité chère aux deux réseaux fondateurs : l’indépendance. Les agences adhérentes conservent leur autonomie et le réseau est structuré en coopérative.

©Destination Tunisie



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Au Tabarka Jazz Festival, tempête dans un verre d’eau

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L’édition 2016 du Tabarka Jazz Festival a provoqué l’ire d’un parti politique qui n’a pas apprécié la subvention accordée par le ministère du Tourisme. En attendant, les concerts se déroulent loin de la polémique.

Le ministère du Tourisme a publié aujourd’hui 2 septembre un communiqué dans lequel il s’exprime sur la polémique qui enfle ces derniers temps concernant la subvention accordée au Tabarka Jazz Festival. Les explications du département du Tourisme portent sur les informations circulant dans les médias disant qu’une plainte a été déposée contre la ministre pour avoir consacré une enveloppe de 300.000 dinars afin de subventionner le Festival. « Le ministère du Tourisme subventionne régulièrement et depuis sa création le Tabarka Jazz Festival dans le but de le transformer en un rendez-vous constant pour l’animation touristique susceptible de promouvoir le tourisme à Tabarka en particulier et dans la région Nord-Ouest en général et ce, dans le cadre de la stratégie globale de la promotion touristique nationale et régionale », lit-on dans le document.

Comité d’organisation nommé par le gouverneur

Le communiqué ajoute qu’un tel événement revêt un intérêt particulier dans la promotion du tourisme dans les régions. Le ministère a, par ailleurs, souligné que l’Office national du tourisme traite avec un comité d’organisation nommé par le gouverneur de la région à l’instar de toutes les manifestations nationales et régionales. Le ministère a rappelé, dans ce sens, que la décision du gouverneur a été prise après avoir consulté les différents acteurs du tourisme dans la région. « L’ONTT traite avec les comités d’organisation de ce genre de manifestations via des conventions et selon les règles de gestion des deniers publics qui exigent des rapports financiers certifiés par un expert-comptable assermenté garantissant la transparence des dépenses », souligne le communiqué.

Il est à noter que c’est le parti « le Congrès pour la République » qui aurait porté plainte contre le ministère du Tourisme, considérant la subvention accordée au comité d’organisation du Tabarka Jazz Festival comme mauvaise gestion.

La FTH soutient l’administration

De son côté, la Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie (FTH) est montée elle aussi au créneau pour soutenir la position du ministère, expliquant que « Le Comité d’organisation du Festival approuvé par Monsieur le Gouverneur de Jendouba a présenté un dossier de sponsoring devant le Comité de Gestion du Fonds de veloppement de la Compétitivité dans le secteur du tourisme, un comité constitué par des représentants de la Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie, la Fédération Tunisienne des Agences de Voyages, la Fédération Tunisienne des Restaurants Touristiques, Tunisair, le ministère des Finances, et de l’Office National du Tourisme Tunisien et présidé par le ministère du Tourisme.

Le Comité de Gestion du FODEC a décidé, après étude du dossier, d’accorder au festival de Jazz de Tabarka, à l’instar d’autres événements, une subvention qui ne sera décaissée qu’après le déroulement du Festival ».

K.C

 



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Reprise des vols charters russes vers la Turquie

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La reprise des charters russes vers la Turquie et notamment vers Antalya va pousser les T.O à revoir leur programmation et certainement détourner une partie de clientèle touristique qui était destinée à la Tunisie.

Le gouvernement russe a signé le 28 août dernier un document portant sur la levée des restrictions imposées aux vols charters à destination de la Turquie au terme d’une interdiction de huit mois en raison des tensions entre les deux pays après qu’un avion de combat russe ait été abattu par Ankara en novembre 2015.

Suite à cette décision, un nombre de compagnies aériennes russes a commencé à soumettre des requêtes à la Rosaviatsiya, l’agence fédérale du transport aérien russe, pour assurer des trajets à la demande vers la Turquie. Dans un communiqué, le ministre des Transports russe, Maksim Sokolov, a indiqué que « les autorités sont prêtes à délivrer toutes les autorisations nécessaires aux vols charters vers la Turquie ». Le gouvernement russe a, lui, suggéré que les compagnies aériennes prennent des mesures supplémentaires en matière de sécurité pour les vols charter entre la Russie et la Turquie.

L’association des tour-opérateurs russes, de son côté, a annoncé que 15 compagnies étaient déjà prêtes à reprendre les vols charters vers la Turquie dès le 2 septembre.

Le 30 juin dernier, le président russe Vladimir Poutine avait décidé de lever l’interdiction des voyages à forfait et demandé au gouvernement de faire le nécessaire pour la reprise des vols charters entre la Russie et la Turquie après que le président turc Recep Tayyip Erdogan se soit excusé pour le fait que l’appareil de combat russe ait été abattu.



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Air France Tunis: Claude Maire prend le relais

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A compter du 1er septembre, la direction d’Air France-KLM change de responsable : Claude Maire succède à Nicolas Delaporte qui était en poste depuis 4 ans.

Claude Maire a plus de 30 ans d’expérience au sein du Groupe Air France-KLM, que ce soit à l’étranger (en Allemagne et en Grèce) ou en France. En France, il a été successivement Responsable des Grands Comptes « Corporate », puis Directeur des Ventes « Tourisme et Groupes ». Il a ensuite exercé des fonctions de Directeur Régional, dans le Nord (basé à Lille), puis dans l’Est de la France (basé à Strasbourg).

De gauche à droite, Denis Hasdenteufel, Claude Maire et Nicolas Delaporte.

De gauche à droite, Denis Hasdenteufel, Claude Maire et Nicolas Delaporte.

Ce changement de titulaire a été l’occasion pour Air France de réunir quelques-uns de ses clients et partenaires, dans une ambiance conviviale. Le directeur régional pour l’Afrique du Nord et le Sahel, Denis Hasdenteufel, a remercié Nicolas Delaporte et son équipe pour le travail accompli, qui a permis à Air France, dans un contexte particulier, ces dernières années, de renforcer la position d’Air France en tant que leader qualitatif. Cette position a permis à Air France, sur cette dernière année, de réaliser une bonne performance sur le marché tunisien.

Denis Hasdeneufel a également profité de cette occasion pour remercier les personnalités présentes de la confiance toujours renouvelée qu’elles témoignent à l’égard des services d’Air France.

Enfin, Denis Hasdenteufel a exprimé le souhait que l’action de Claude Maire et de son équipe puisse maintenant s’exprimer dans un contexte de développement serein. Il a déclaré à cette occasion « Air France est présente en Tunisie depuis plus de 80 ans. Nous essayons d’être des  « facilitateurs » des échanges, qu’ils soient commerciaux ou culturels, entre la Tunisie et le reste du monde. Nous sommes heureux d’être reconnus comme des partenaires du développement de la Tunisie. C’est aussi dans ce cadre, et avec cette mission, que Claude Maire, en lequel j’ai toute confiance, va inscrire son action ».

(Communiqué)



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Tunisair Express dément tout « complot » contre Djerba

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Après une saison été marquée par d’importantes perturbations dans sa programmation aérienne, la compagnie Tunisair Express sort de sa réserve et explique le pourquoi du comment.

Tout d’abord concernant les retards sur ses vols, la compagnie a reconnu aujourd’hui dans un communiqué avoir enregistré « des perturbations entraînant d’importants retards durant la saison avec des effets boules de neige qui se sont répercutés sur d’autres vols vers d’autres destinations ».

La direction générale de la compagnie a présenté « ses excuses les plus sincères à ses passagers pour les moments déplaisants qu’ils ont eu à subir ».

Cependant et face aux nombreuses critiques et plaintes constatées sur internet, la compagnie a tenu à démentir certaines allégations qu’elle a qualifiées « d’absurdes » de « complot » contre l’île de Djerba et de son tourisme véhiculées sur les réseaux sociaux, des rumeurs qui vont totalement à l’encontre de la raison » a-t-elle estimé.

Manque flagrant d’avions

Dans un souci de transparence assez inédit, Tunisair Express a expliqué les difficultés auxquelles elle a été confrontée. Extrait de son communiqué : « Pour mieux saisir la problématique rencontrée par la compagnie cet été, il n’est pas inutile de rapporter que toutes les dispositions avaient été prises en début de saison par la location d’un appareil de type Boeing 737 auprès d’une compagnie européenne (procédure d’usage dans le transport aérien) et ce pour la période comprise entre le 6 juillet et le 5 septembre 2016 pour spécifiquement consolider la capacité mise en place sur l’axe Tunis-Djerba à compter de l’Aïd El Fitr. Or, il se trouve que le loueur étranger s’est désisté à la toute dernière minute malgré nos garanties et ce pour des considérations soi-disant sécuritaires dans le pays. Le marché international de la location d’avions étant totalement saturé cet été, Tunisair Express a été acculée à devoir compter sur ses propres avions et sur Ghadames Air Transport (seule compagnie à avoir un avion disponible dans la région), tout en faisant de la sécurité de ses vols et de ses passagers l’une de ses priorités absolues.

Il est à souligner que les années passées, Tunisair Express, dans le cadre d’une complémentarité avec les compagnies du pavillon national, avait recours à des appareils de Tunisair et de Nouvelair pour répondre à ses besoins notamment pour la desserte de Djerba. Il se trouve que cet été, ces compagnies n’avaient pas de disponibilités.

Pourquoi une compagnie libyenne

Par ailleurs, la compagnie a utilisé un Airbus d’une compagnie quasiment inconnue, en l’occurence Ghedames Air, pour assurer certains vols notamment entre Djerba et Tunis, à la grande surprise des passagers qui n’étaient pas spécialement rassurés de voler sur cette compagnie.

Tunisair Express a expliqué aujourd’hui que « pour répondre à la très forte demande de trafic au cours de cet été, et notamment sur l’axe Tunis-Djerba, elle a dû recourir ponctuellement à un appareil de la compagnie libyenne « Ghadames Air Transport » pour pouvoir assurer certains de ses vols.

« Tunisair Express tient à informer son aimable clientèle qu’il s’agit d’une compagnie parfaitement en règle sur le plan de la navigabilité, l’avion opère sur la Tunisie et est soumis à l’inspection de l’aviation civile tunisienne.

Sur le plan technique, l’appareil de la compagnie « Ghadames Air Transport » est entretenu à Monastir dans les ateliers de la société Sogerma, ce qui constitue un gage de confiance et de fiabilité. Les équipages (PNT- dont des commandants de bord tunisiens à la retraite- et PNC) de la compagnie libyenne disposent des qualifications requises selon les règles en vigueur dans le transport aérien international ».

 

En tout état de cause, Tunisair Express souligne regretter les situations de désagréments subies par ses passagers et tient à souligner que tous les efforts ont été déployés par la compagnie afin d’atténuer autant que possible les délais d’attente en dépit de situations quelquefois complexes propres au transport aérien.

Elle annonce également qu’une grande réflexion est en cours sur le positionnement de la compagnie à l’avenir. Une solution durable et viable sera adoptée pour que les situations vécues cet été ne se reproduisent plus et que la compagnie poursuive sa mission dans les meilleures conditions au service de ses passagers et du tourisme tunisien a indiqué la compagnie.



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44% des touristes européens en Tunisie sont Russes

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Les Russes sont suivis par les Français qui ont été 240 mille à venir entre le 1er janvier et le 10 août, en net recul par rapport à 2015 (-16.5%) et surtout 2014 (-52.5%).

La Tunisie touristique a comptabilisé jusqu’au 10 août 2016 l’entrée de 361 mille touristes russes sur un total de 824 mille Européens, ce qui représente 44% du total des entrées européennes dans le pays depuis le début de l’année.

Les marchés touristiques dits traditionnels comme l’Allemagne et l’Italie n’ont pas renoué avec la croissance, mais bien au contraire. Depuis le début de l’année, seuls 65 mille Allemands sont venus en Tunisie contre 148 mille en 2015 et 228 mille en 2014. Idem pour les Italiens qui sont passés de 149 mille touristes en 2014 à 56 mille en 2015 et 43 mille en 2016 (à la date du 10 août toujours).

Il est à noter que les touristes britanniques, malgré les restrictions de voyage qui ont été décrétées par leur gouvernement, ont tout de même été 13 mille à venir en Tunisie depuis le début de l’année (contre 255 mille il y a 2 ans, ce qui équivaut à un effondrement du marché de 94%).

Au total, la Tunisie a recensé 824.000 Européens à ses frontières depuis le début de l’année, en recul de 16.4% par rapport à 2015 (985.000 touristes) et de 52.5% si l’on se réfère aux réalisations de 2014 à la même date (1.736 mille touristes).

©Destination Tunisie



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Les arrivées touristiques ont reculé de 8,5% en un an

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Le total des arrivées de visiteurs étrangers non-résidents en Tunisie a été de 2,368 millions entre le 1er janvier et le 10 août 2016, ce qui constitue une baisse de 8,5% par rapport à 2015 (2,5 millions) et de 34,9% par rapport à 2014 (3,6 millions).

Les entrées de visiteurs russes et algériens, en nette progression par rapport aux années passées, a permis de juguler la baisse des arrivées touristiques de manière générale.

Tous les autres marchés enregistrent des baisses pouvant atteindre jusqu’à 93% (dans le cas des Anglais).

Le nombre de nord-américains entrés en Tunisie depuis le début de l’année a été de 15 mille (en baisse de 5%) tandis que les moyen-orientaux ont été 21 mille (en baisse de 38%).

Il est à noter par ailleurs que le nombre de Tunisiens résidents à l’étranger (TRE) rentrés au pays depuis le début de l’année a été de 789 mille, en progression légère de 1,2%. Ce chiffre ne prend cependant pas en considération les TRE ayant voyagé plus d’une fois entre leur pays de résidence et leur pays d’origine.

©Destination Tunisie



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Traveltodo annonce trois soirées pour «Rabi Yahfadh Tounes»

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Quand une agence de voyages passe sur le devant de la scène et devient une locomotive pour la réussite commerciale des événements culturels.

Du 1er au 10 septembre, l’Amphithéâtre de Carthage redonne rendez-vous aux fans de la musique tunisienne et arabe pour vivre des moments agréables avec de grands spectacles animés par des stars de renommée.

Il s’agit du festival « Rabi Yahfadh Tounes » dont une partie des recettes sera reversée au Fonds de lutte contre le terrorisme.

Un point de presse a été tenu le 26 août à Gammarth par le directeur général de l’agence de voyage Traveltodo, Tarek Lassadi (photo ci-dessus), afin de jeter la lumière sur l’avancement des préparatifs et exposer aux médias les détails des trois soirées qui seront organisées par l’agence de voyage.

Traveltodo commercialisera en exclusivité trois soirées les 2,4 et 9 septembre. Tamer Hosny assurera le premier show. Le choix du chanteur égyptien s’explique par son profil qui va plus avec les jeunes. « Il est connu par son dynamisme sur la scène. Une chose qui ne laisse pas le public indifférent. Puis, il est l’une des stars capables de faire le plein à Carthage », explique T. Lassadi.

La deuxième soirée Traveltodo sera animée par Hussein Eddeek, un chanteur en vogue ces derniers temps. « Ce chanteur est de plus en plus sollicité. Bien qu’il ait animé plusieurs soirées du genre diner-gala où les prix sont élevés, il n’était pas programmé dans les festivals de Tunis. Donc, c’est une occasion pour que tout le monde puisse avoir l’occasion d’assister à son concert avec des prix abordables », a-t-il estimé.

La dernière soirée qui sera organisée par Traveltodo aura lieu le 9 septembre avec le chanteur syrien, Nour Mhanna. « C’est un  grand chanteur qui peut réussir de grands spectacles », a souligné le directeur général de Traveltodo.

Quant à la vente des billets, Tarek Lassadi a fait savoir qu’elle va bon train et qu’avec le rythme actuel, les billets seront tous vendus avant 24 heures de la tenue des soirées.

Un événement symbolique

L’événement « Rabi Yahfaddh Tounes » qui a été entrepris par l’Amicale des cadres et des agents de la Présidence du gouvernement est symbolique dans le sens où une partie des revenus sera réservée au Fonds de lutte contre le terrorisme.

« L’Amicale des agents et des cadres de la Présidence du gouvernement a fait appel à nos services pour les aider à organiser trois soirées. Nous avons, tout de suite, répondu oui, sachant que dans l’événementiel, il y a trop de risques vu que l’investissement est important. D’ailleurs, c’est la première fois que nous organisons des soirées à Carthage. Un défi de plus pour notre agence. Mais le côté symbolique de l’événement nous a encouragés et nous nous lançons dans cette aventure », a dit le directeur général de Traveltodo.

« J’ajoute que nous avons commencé depuis deux ans à organiser des soirées et de l’animation pour le compte de nos clients. Cela permet d’améliorer le taux d’occupation des hôtels qui souffrent d’une chute vertigineuse de leurs activités pendant la basse saison», a-t-il enchaîné.

Il est à noter que Traveltodo a déjà encouragé plusieurs festivals cette année, comme ceux de Sfax, de Bizerte, d’El Jem, de Hammamet et de Carthage et de Dougga. Pour ce dernier, les organisateurs ont trouvé beaucoup de difficultés avant de faire appel à Traveltodo. Cette dernière les a aidés à organiser un grand événement qui a connu beaucoup de succès.

K.C

 



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